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Balkanikum

posté le 26-02-2011 à 18:40:38

Incidents entre manifestants et policiers à Zagreb

 

 

ZAGREB — Quelque 15.000 manifestants hostiles au gouvernement se sont rassemblés samedi dans la capitale croate. Selon la télévision publique, des heurts ont éclaté entre des protestataires et les forces de police, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes pour les disperser.

 

Des dizaines de manifestants se sont rués sur un cordon de police qui les empêchait d'atteindre une place du centre de Zagreb où se trouve le siège du gouvernement, a rapporté la télévision croate. Ils ont lancé des pierres et des briques sur les policiers, qui ont riposté au moyen de gaz lacrymogènes. Selon la télévision, plusieurs personnes ont été blessées et des vitres ont été brisées.

 

Sur une autre place de Zagreb, plusieurs milliers de personnes ont protesté dans le calme contre le gouvernement et en signe de soutien à un ancien combattant de Croatie, en attente d'extradition vers la Serbie dans une prison bosniaque. "Stop aux poursuites" contre "les défenseurs croates" et "Les défenseurs croates sont des héros", pouvait-on lire sur des banderoles.

 

Les organisateurs, des groupes d'anciens combattants de la guerre de Croatie (1991-95), ont déclaré que des centaines de manifestants avaient été empêchés par les forces de police de rejoindre le rassemblement, selon l'agence de presse Hina.

 

Source : tempsreel.nouvelobs.com, le 26 février 2011.

 

Quelques liens :

 

Savez za promjene (L'Alliance pour les changements)

Page Facebook d'Ivan Pernar

 

 

Video de la police qui charge les manifestants sur index.hr

 

 

 


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posté le 26-02-2011 à 16:36:31

Galerie de photos qui montrent comment l'ordure Kosor massacre son propre peuple. Ne cherchez pas d'informations sur Internet, vous n'en trouverez pas car ceci se passe à huis-clos. En effet, l'ordure Kosor, non élue, travaille pour l'Europe.

 

Sur večernji.hr

Sur index.hr

 

 

 

L'ordure Kosor fait entrer son propre peuple à genoux dans l'UE, tant pis pour ceux qui se relèvent

 

Du bon travail, l'ordure Kosor est au mieux

 

 


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posté le 26-02-2011 à 15:31:08

Zéro pointé : Ne tombons pas dans ces histoires de sécession, ce qui nous préoccupe est la pauvreté et la faim !

 

 

 

 

On n'arrivait pas à croire que les gens puissent déambuler avec insouciance et acheter des décoration pour le Nouvel an tandis que nous n'avions de notre côté que le désespoir. On a choisi de faire quelque chose à ce propos, de ne pas être passifs et c'est ainsi qu'est né Zéro pointé (Oštra nula)..."

 

Depo Portal vous présente les rebelles de Banja Luka - des membres d'un mouvement activiste ayant poussé les citoyens de la Republika Srpska à se bouger.

 

 

 

Zéro pointé a pris part à l'organisation des récentes marches de protestation à Banja Luka. Dirigées par l'étudiant Stefan Filipović, ces manifestations ont rassemblé des centaines de citoyens, à la surprise générale des habitants de la Republika Srpska mais aussi du reste du pays.

 

- Notre action a reçu un grand appui des gens ordinaires de toutes les classes sociales et nous avons mis en route un processus qui ne va pas s'arrêter, car les raisons de la grogne générale ne cessent de se multiplier de jour en jour alors que le pouvoir ne fait preuve que d'insouciance, déclare Filipović. Et il annonce toute une série de nouvelles actions qui d'après lui seront bien plus massives.  

 

Les cerveaux et les fondateurs de Zéro pointé sont l'étudiante en philosophie Đulija Aćimović, la professeure de philosophie et de sociologie Dražana Lepir, le peintre académicien Davor Paponja ainsi que l'étudiant de philosophie et de sociologie Dejan Cocić.

 

Dans une courte interview pour Depo Portal, les membres et les fondateurs de Zéro pointé nous parlent ouvertement des questions sociales et politiques affectant la Republika Srpska et le reste du pays.

 

 

 

 

De qui et de quoi Zéro pointé est-il le représentant ?

 

Zéro pointé : L'association de citoyens Zéro pointé dont les membres sont des étudiants, des travailleurs et des personnes diplômées a pour objectif de sensibiliser les citoyens à leurs droits humains, civiques, politiques, économiques, sociaux et culturels.

 

Par nos activités nous tentons dans cette situation apparemment bouchée de trouver une voie légale à emprunter pour résoudre les problèmes et faire prendre conscience aux citoyens qu'ils font aussi partie de la situation dans laquelle nous nous trouvons et sur laquelle nous pouvons agir en commun.

 

D'où est venue l'idée de créer cette organisation non gouvernementale ?

 

ZP : L'idée de créer Zéro pointé est venue spontanément et elle est née en réaction à la hausse des prix annoncée en 2010. On n'arrivait pas à croire que les gens puissent déambuler avec insouciance et acheter des décoration pour le Nouvel an tandis que nous n'avions de notre côté que le désespoir. On a choisi de faire quelque chose à ce propos, de ne pas être passifs et c'est ainsi qu'est né Zéro pointé.

 

L'appellation même indique que nous ne voulons pas être de simples zéros mais de cinglants zéros et que nous luttons pour nos droits.

 

Quels sont les motifs concrets qui vous ont poussés à l'activisme ?

 

ZP : Tout d'abord et généralement parlant nous sommes mécontents de l'apathie dans la société et plus particulièrement de l'"impuissance" prétendue des jeunes dans la Republika Srpska, des jeunes qui sont littéralement en voie de disparition dans ce milieu.

 

Les jeunes, en particulier dans les petits endroits, ne voient leur accès au travail ou toute activité qu'au travers du parti qui est au pouvoir et c'est ainsi qu'ils deviennent des nombres et des statistiques aux yeux des politiciens... leur voix dans ce parti ne s'y faisant pas entendre ni respecter. C'est pourquoi l'activisme est important et réprésente chez nous à peu près une nouvelle forme d'action... pour que les jeunes voient par des exemples concrets qu'il existe des méthodes pour faire et dire quelque chose en dehors des milieux stagnants des partis ou porteurs d'autres étiquettes.

 

Est-ce que vous collaborez avec d'autres organisations non gouvernementales similaires en Bosnie-Herzégovine ?

 

ZP : Nous collaborons étroitement avec le mouvement Dosta, avec qui nous avons participé aux manifestations du 1er mai à Sarajevo, ainsi qu'avec YIHR et l'Action des citoyens de Sarajevo. Pour l'essentiel toutes ces organisations s'occupent de choses pareilles ou similaires. Par cette collaboration nous infirmons les déclarations des politiciens bosno-hercégoviniens qui prétendent que la collaboration entre les entités n'est pas possible.

 

On entend souvent dire qu'en Republika Srpska règne la léthargie générale et que les citoyens n'ont pas la volonté de "prendre les choses en mains". Est-ce exact ?

 

ZP : C'est un fait qu'en Republika Srpska règnent la passivité et la léthargie, mais il existe des indices suggérant que cela change. Récemment ont eu lieu à Banja Luka des manifestations qui ont rassemblé 300 personnes. Il s'agit d'un grand succès si vous tenez compte qu'un seul étudiant, Stefan Filipović, en est à l'origine, en bénéficiant de l'appui de Zéro pointé.

 

Que reprochez-vous aux autorités en Republika Srpska ?

 

Zéro pointé : Nous n'avons rien à reprocher aux autorités parce que nous, les citoyens, nous portons notre part égale de responsabilité pour la situation dans laquelle nous nous trouvons, par notre inaction. Il existe des institutions et des gens qui reçoivent de gros salaires, dont le travail est d'oeuvrer à notre avantage et non pas au leur. La liste des "reproches" à faire en tant que citoyens est fort longue ; nos principaux problèmes sont eux principalement d'ordre existentiel.

 

Est-ce qu'il existe une opposition en Republika Srpska ?

 

ZP : Brièvement - Non !

 

Comment est-ce que les autorités profitent du peuple ?

 

ZP : Nous, en tant que Secteur non gouvernemental, de même que tout citoyen, nous pouvons citer mille exemples... le problème est qu'en Republika Srpska les lois favorisent la mafia et la corruption au point de la rendre légale, de plus en plus difficile à prouver.

 

Dans quel domaine les citoyens de la Republika Srpska sont-ils les plus menacés ? La corruption, les bas standards, le manque d'emplois... ?

 

ZP : Justement tout cela. Si les gens avaient une vie normale, du travail, sans doute tout le reste ne les intéresserait-il pas autant, mais le citoyen lambda de la Republika Srpska est contraint de régler quotidiennement mille soucis : la santé, l'éducation, la circulation... Où que l'on se tourne on se retrouve avec les mêmes problèmes et les mêmes hiérarchies d'individus, instrumentalisés par les partis, qui ne demandent qu'une seule et même chose : le pot-de-vin.

 

Les facultés privées prolifèrent à travers tout le pays et jamais il n'a été plus facile d'obtenir un diplôme. Que pensez-vous de ce phénomène ?

 

ZP : Chaque étudiant est libre de choisir son établissement d'enseignement. La question fondamentale est la qualité aussi bien dans les facultés nationales que privées, or celle-ci est affligeante.

 

Quel est le principal problème dans la Fédération de Bosnie-Herzégovine ?

 

ZP : Le principal problème sont les gouvernements locaux et leurs employés. Un nombre élevé de ministères, d'adjoints, de conseillers... faut-il en dire plus ? Ce sont ceux qui sans aucun besoin grignotent le budget.

 

Pour ou contre les entités ? Que pensez-vous de la question croate d'une "troisième entité" ?

 

ZP : Cette question à l'heure du dénuement général et de la faim ne nous intéresse vraiment pas. Il convient en effet de ne pas tomber dans ces histoires nationalistes, car ce n'est qu'ainsi que nous donnons une légitimité à la politique existante.

 

Et pour finir, y a-t-il un espoir pour la Bosnie-Herzégovine ?

 

ZP : Le futur nous appartient à nous les citoyens !

 

 

 

 

Source : abrasmedia.info, le 26 février 2011.

 

 

 

 

 


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posté le 25-02-2011 à 17:51:56

En se basant sur un article du quotidien serbe "Alo!", le site globalvoices nous parle des mercenaires serbes qui défendraient Kadhafi.

 

 

 

Traduction de l'article utilisé comme source :

 


Les "chiens de guerre" serbes gardent Kadhafi
 
Les Serbes sont les premiers mercenaires étrangers à être arrivés en Libye ! En effet, plusieurs dizaines de mercenaires serbes mènent actuellement la guerre dans les rues des villes libyennes du côté de Mouammar Kadhafi.
D'après les informations d'"Alo!", les mercenaires serbes gagnent des dizaines de milliers de dollars pour ce job... ils viennent en Serbie principalement à partir d'autres pays africains dans lesquels ils travaillent depuis des années comme "chiens de guerre". A part ces pays, nos mercenaires viennent aussi de Serbie, mais par l'intermédiaire d'agences bosniennes et croates qui se chargent du recrutement pour ce genre de travail.
"Les légionnaires serbes", comme "Alo!" l'a appris, sont constitués par des vétérans des conflits datant de l'ex-Yougoslavie. Outre les anciens membres des unités militaires et policières, le gros de ces forces sont les anciens "bérets rouges", qui se sont dispersés à travers le monde après que cette unité eut été dissolue en 2003. Dans les pays africains ils ont surtout travaillé comme personnel de sécurité privé pour divers présidents, comme l'ancien dirigeant zaïrois Mobutu Sese Seko, ainsi que pour de nombreux politiciens, mais aussi comme instructeurs dans les armées locales.
Outre les Serbes, la première escouade venue en Libye comprenait des mercenaires des pays africains. Comme le dit notre interlocuteur qui a insisté pour rester anonyme, les mercenaires serbes ont été engagés dans un délai record, étant donné qu'ils sont connus pour être d'excellent soldats, très expérimentés.
Kadhafi les payent autant qu'ils demandent ! Le prix pour les recruter s'élève jusqu'à plusieurs dizaines de milliers de dollars et d'euros. Beaucoup d'entre eux avaient un travail très bien payé dans différents pays africains, mais c'était une offre à ne pas refuser. Avant le début de la révolte, dès que les choses ont commencé à chauffer, les nôtres en Afrique ont tout de suite pris contact avec les Libyens, l'inverse étant vrai aussi. Ce travail est effectué par diverses "agences" qui sont spécialisées pour offrir de tels services et qui possèdent d'excellents contacts avec les renseignements, déclare la source d'"Alo!", proche des milieux militaires.
Les mercenaires serbes sont partis en Libye par le biais d'agences bosniennes et serbes parce qu'ici ils ne sont pas encore parvenus à se mettre d'accord sur le prix du boulot.
- On peut s'attendre à ce que très bientôt nos mercenaires rejoignent Kadhafi, lequel place du reste une énorme confiance dans les soldats serbes. On sait bien que les nôtres ont pendant des décennies entraîné non seulement son armée, mais aussi les services de sécurité privés... et il existe pas mal de leurs officiers qui ont étudié dans nos écoles militaires et à l'Académie militaire.
Il a aussi été dit qu'à Benghazi ont été tués des mercenaires, mais pour autant que je sache les nôtres vont bien, affirme notre source.
Le docteur Salem Zavi, membre de la Conférence pour l'opposition libyenne, a confirmé pour la BBC britannique que Kadhafi a engagé au côté de l'armée et de la police un grand nombre de mercenaires d'Afrique et d'Europe.
- Kadhafi a grassement payé la participation des mercenaires étrangers dans les affrontements à Benghazi. Cet argent vient du budget de l'Etat libyen et nous savons qu'un grand nombre de mercenaires se proposent pour aider le pouvoir libyen actuel.
 ____________________
"Des Serbes nous assassinent"
Sur les forums internet, de même que sur "twitter", il a également été fait état de mercenaires serbes en Libye. "Des mercenaires africains et serbes ont été envoyés en Libye pour tuer des civils", est l'un des thèmes parmi les forums sur la situation dans ce pays. Et parmi les messages sur "twitter" il a été révélé que les "soldats européens" venus en aide à Kadhafi sont en fait des Serbes.
Nos pilotes leur ont laissé de bons souvenirs
Les mercenaires serbes ont laissé au colonel Kadhafi de bons souvenirs qui remontent aux années 90 du siècle dernier. En effet, après que l'armée régulière de Libye n'eut accepté qu'à contre-coeur de réprimer les militants islamistes, Kadhafi avait engagé des pilotes serbes qui ont participé aux combats mais aussi aux actions menées contre des civils, comme soutien aux forces terrestres.

 

En compagnie des frères russes !

 

 

Il n'y a pas que les Serbes. Des mercenaires de Russie et d'autres ex-républiques soviétiques sont venus afin de protéger Kadhafi et réprimer sans pitié les manifestants. D'après des témoins, les Russes et les autres "mercenaires blancs" ont été rejoints par un groupe de soldats venus de pays africains, qui parlent le français, probablement issus du Tchad et du Darfour. Les soldats de fortune ont reçu 18.000 livres, soit environ 20.000 euros.

 

 

 

Source : alo.rs, le 23 février 2011.

 

 

PS : je m'excuse pour la présentation de l'article mais je ne travaille pas avec mon ordinateur habituel et tout le texte "colle" ensemble.

 

 

 

 


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posté le 25-02-2011 à 14:02:25

Croatie : affrontements entre police et manifestants anti-gouvernementaux

 

 

ZAGREB – La police croate a utilisé des gaz lacrymogènes jeudi soir à Zagreb pour disperser un millier de manifestants qui tentaient de s’approcher du siège du gouvernement en réclamant la démission du Premier ministre Jadranka Kosor, a constaté une journaliste de l’AFP.

 

Des forces spéciales de la police ont été déployées sur la place Sveti Marko, dans la vieille ville de Zagreb, où se trouve le siège du gouvernement, pour empêcher les manifestants de s’en approcher.

 

Des manifestants ont jeté des pierres et des bouteilles contre des policiers. Ces derniers ont utilisé des gaz lacrymogènes pour repousser ceux qui tentaient de percer le cordon de sécurité.

 

Les manifestants scandaient « Voleurs! Voleurs! » et « Jadranka, va-t-en! ».

Onze personnes ont été interpellées, a indiqué dans la soirée la police dans un communiqué. Il n’y a pas eu de blessés, selon la même source.

 

La manifestation avait été organisée sur le site de socialisation Facebook. Une autre, similaire, avait rassemblé mardi quelque 300 personnes.

 

Les organisateurs ont réclamé la démission de Mme Kosor. Ils ont accusé le gouvernement de « rendre tous les jours la vie des citoyens plus difficile et de mener le pays vers un chaos économique ».

 

« La Croatie a été pillée jusqu’à l’os par ses hommes politiques. Tout ce que nous voulons, c’est travailler et avoir une vie décente grâce au travail », a déclaré à l’AFP une manifestante, Mirela Basic, 29 ans.

 

Les manifestants brandissaient des pancartes réclamant la « Lutte contre les pots-de-vin et la corruption ».

 

Des manifestants se sont rassemblés aussi dans plusieurs autres grandes villes, notamment à Pula (ouest), où quelque 500 personnes ont protesté.

Mme Kosor dirige le gouvernement croate depuis 2009. Elle a succédé à Ivo Sanader, arrêté en décembre en Autriche à la demande de la justice de son pays qui le soupçonne de détournement de fonds et de corruption.

 

L’économie locale devrait s’être contractée de 1,9% en 2010, selon les prévisions de la Banque centrale, après un recul du PIB de 5,8% en 2009.

Le chômage touchait en janvier 19,6% de la population active. Le nombre de chômeurs enregistrés (334.378 personnes sur 4,4 millions d’habitant) était à son plus haut niveau depuis huit ans.

 

Source : AFP, le 24 février 2011

 

Galerie de photos sur h-alter.org

 

Video de la manifestation sur le site index.hr

 

 


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