Le sens de l'essentiel
Une vidéo où la débile absolue, ex animatrice de radio devenue Premier ministre de Croatie, explique en long et en large comment elle compte faire des économies dans les différents ministères. Un résumé de ses explications:
"Peut-être que quelqu'un va à nouveau tourner cela en dérision, mais nos premiers entretiens consistaient à savoir s'il nous faut autant de feutres, de stylos à bille, de trombones, etc... Tout part de là !", a déclaré Kosor en expliquant la décision de faire des coupes budgétaires au niveau du matériel de bureau.
"Il existe des demandes pour que l'on commande de l'eau avec des arômes d'abricot, de myrtille, etc... J'ai dit non, l'eau est l'eau. Si nous commandons de l'eau, alors que ce soit de l'eau", a-t-elle ajouté, en concluant que ceux qui veulent des arômes dans leur eau n'ont qu'à l'acheter eux-mêmes.
Une fois de plus on voit que Kosor est une charmante petite mèmère, qui ferait très bien avec ses fils et ses aiguilles, éventuellement avec ses casseroles, mais rien de plus. Cela ne va pas au-delà. Intellectuellement on ne peut pas lui demander plus.
Il y a deux jours, elle s'occupait d'assurer la préférence nationale pour la profession des bergers. Faire en sorte que ce soit absolument un travailleur croate qui garde les moutons plutôt que par exemple un Roumain ou un Monténégrin. Grande source de développement pour la Croatie ! Aujourd'hui elle s'occupe personnellement de déterminer la quantités de trombones, d'agrafes et de feutres de couleur qui seront utilisés dans les ministères, c'est elle qui s'entretient avec le responsable des fournitures et qui s'en explique aux journalistes. Il n'y a plus rien à dire sur cette débile mentale. Laissons-là à ses limites. Oublions cette vioque dont le cervelet est complètement cramé.
Demandons-nous plutôt ce que cherche Bruxelles dans cette histoire. Quel est le but ? Vers quoi allons-nous ? A quoi ça rime ? Parce que c'est une chose que d'avoir des crétins absolus comme Kosor qui viennent vous manger dans la main à Bruxelles, des crétins sortis de leurs villages qui lorsqu'ils montent dans la capitale n'ont jamais rien vu, découvre le monde, découvre la modernité et la civilisation, des crétins héberlués qui signeront à coup sûr tous les papiers que vous leur présenterez sous leur nez... et c'est une tout autre chose que d'avoir des gens responsables qui soient capables de faire évoluer les choses ici sur place en Croatie, un pays censé devenir le 28ème membre de l'UE.
Les deux sont incompatibles. Soit vous avez des demeurés comme Kosor et sa bande avec qui vous pouvez tout à Bruxelles soit vous avez des gens intelligents qui chez eux savent développer leur pays. D'autre alternative il n'y en a pas.
Alors je répète la question : Qui a placé Kosor ? Quel est le but ? Qu'est-ce qu'on a voulu avec ça ? Qui va répondre de ça ?
U Banjaluci je, u prostorijama Udruženja nezavisnih stvaralaca i aktivista GETO, uspostavljena info-tačka Nevidljivih radnika svijeta (IWW – Invisible Workers of the World). Zadatak koji ima info-centar jeste prikupljanje dosijea oštećenih radnika iz Bosne i Hercegovine koji su radili ili rade u Republici Sloveniji u periodu unazad 20 godina
U današnjoj Sloveniji oko 14 000 bosansko-hercegovačkih radnika potražuje svoja prava iz rada i socijalnih prava, koja su im bila i još uvijek su im sistematično kršena u Republici Sloveniji. Riječ je o radnicima koji su trebali napustiti Sloveniju, a poslodavci im duguju plate i druga prava iz radnog odnosa.
Radnici i aktivistička ekipa će, uspostavljanjem info centra, imati pristup do nužne infrastrukture (kancelarija, internet, telefon) za skupljanje baze podataka radnika, za mobiliziranje i organiziranje oštećenih radnika u potrazi za njihovim socijalnim i pravima proisteklim iz rada u Sloveniji.
Kontakti info centra u Banjaluci: Udruženje nezavisnih stvaralaca i aktivista GETO, +38765 730 343, +38762 245 518; unsageto@gmail.com.
Source : abrasmedia.info, le 8 février 2011.
Même si ça ne le concerne pas directement, Misérad Dodik ne pouvait pas rester indifférent face à une telle nouvelle.
Ah, ah, ah...
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