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Husein el-Sharkawi a déclaré aux journalistes que les Egyptiens de Sarajevo, qui ont commencé à manifester hier, se sont à nouveau réunis aujourd'hui pour soutenir leurs compatriotes qui manifestent dans la patrie.

Une trentaine d'Egyptiens de Sarajevo ont organisé une manifestation devant l'Ambassade d'Egypte en Bosnie-Herzégovine. Ils ont demandé que le président de leur pays, Hosni Moubarak, abandonne tranquillement le pouvoir. L'organisateur de la manifestation, Husein el-Sharkawi, a déclaré aux journalistes que les Egyptiens de Sarajevo, qui ont commencé à manifester hier, se sont à nouveau réunis aujourd'hui à 15h00 afin d'apporter leur soutien aux compatriotes qui manifestent dans toutes les villes d'Egypte.

"En Egypte tous ont répondu aux manifestations. Les musulmans, les chrétiens ainsi que les représentants de tous les partis politiques. Tous souhaitent dire que cela suffit avec le régime de Moubarak qui a entraîné le pays dans la pauvreté", a déclaré el-Sharkawi.

Il a souligné que les Egyptiens de Sarajevo sont particulièrement mécontents qu'en Egypte aient été coupés internet, la téléphonie mobile et la chaîne de télévision qatarie Al Jazeera.

"Nous, tous les Egyptiens, qui avons répondu à la manifestation contre Moubarak dans les villes européennes voulons souligner qu'il s'agit de manifestations pour la liberté de l'Egypte, car il y en a marre de la pauvreté", a déclaré el-Sharkawi.

Plusieurs milliers d'Egyptiens de tous les horizons - étudiants, médecins ou chômeurs les plus pauvres dans les villes - sont descendus dans les rues du Caire dans ce qui représente jusqu'à présent la plus grande manifestation contre le pouvoir du président Moubarak.

Des manifestations de masse se déroulent également à Alexandrie et à Suez où les manifestants ont scandé "Dégage, dégage" et "La révolution est partout".




Husain El Šarkavi izjavio je novinarima da su se Egipćani iz Sarajeva, koji su juče počeli proteste, i danas okupili kako bi podržali sunarodnike koji demonstriraju u domovini

Pred Ambasadom Egipta u BiH danas je protestovalo 30 Egipćana iz Sarajeva koji su tražili mirni odlazak sa vlasti predsjednika te zemlje Hosnija Mubaraka. Organizator demonstracija Husain El Šarkavi izjavio je novinarima da su se Egipćani iz Sarajeva, koji su juče počeli proteste, i danas okupili u 15.00 časova kako bi podržali sunarodnike koji demonstriraju u svim većim gradovima Egipta.

"U Egiptu su se na demonstracije odazvali svi. Muslimani, hrišćani i predstavnici svih političkih partija. Svi žele uputiti poruku da je dosta Mubarakovog režima koji je zemlju doveo u siromaštvo", rekao je El Šarkavi.

On je istakao da su sarajevski Egipćani posebno nezadovoljni zbog činjenice da su u Egiptu ukinuti internet, mobilna telefonija i katarska TV stanica "Al džazira".

"Svi mi Egipćani koji smo se odazvali na proteste protiv Mubaraka u evropskim gradovima želimo da istaknemo da su to demonstracije za slobodu Egipta, jer je dosta siromaštva", rekao je El Šarkavi.

Nekoliko stotina hiljada Egipćana, od studenata i ljekara do najsiromašnijih nezaposlenih građana, izašlo je danas na ulice Kaira u do sada najvećim demonstracijama protiv vlasti predsjednika Mubaraka.

Masovni protesti odvijaju se i u Aleksandriji i Suecu, gdje su demonstranti uzvikivali "Odlazi, odlazi" i "Revolucija je svuda"


Source : dvevniavaz.ba, le 1 février 2011.

Bivši američki senator ocijenio je nerazumnom podršku Vašingtona diktatoru iz Egipta te je upozorio na širenja vala revolucija na druge arapske zemlje.

Majk Gravel, bivši senator iz San Franciska je u razgovoru za Press tv naglasio da vlada Baraka Obame oprezno analizira i prati posljednja dešavanja u Egiptu dok istovremeno ne radi ništa za egipatski narod jer konzervativci smatraju da Vašington do posljednjeg trenutaka treba podržavati Mubaraka što ukazuje na lucidne poteze aktuelne vlade koja slijedi politiku Izraela u regionu. Najbolju stvar koji Amerika može da učini u aktuelnim uvjetima je šutnja spram dešavanja u Egiptu te da omogući i dozvoli Egipćanima da razmisle u ostvarivanju vlastitih prava, smatra Gravel. Treba sačekati i vidjeti do kakvih će doći promjene u Egiptu narednih dana a interesantna je činjenica da vojska nije poduzela nikakve poteze protiv nardonih masa, zaključio je bivši senator Gravel.        

Source : bosnian.irib.ir, le 1er février 2011.

Aujourd'hui à 15h00 a eu lieu une manifestation des citoyens de Bosnie-Herzégovine en face de l'Ambassade de la République arabe d'Egypte, rapporte Radio Sarajevo.

Une trentaine de protestataires ont manifesté contre la répression dans le sang exercée par le régime contre les manifestants au Caire et dans d'autres villes égyptiennes, lesquels réclament le départ de l'actuel dictateur Hosni Moubarak qui occupe le pouvoir depuis 30 ans.

Danas je u 15 sati ispred ambasade Arapske Republike Egipat u Sarajevu održan protest građana ove zemlje sa prebivalištem u Bosni i Hercegovini, javlja Radio Sarajevo.

Oko 30 demonstranata je protestovalio protiv krvavih režimskih represalija nad demonstrantima u Kairu i drugim egipatskim gradovima, koji žele smjenu aktuelnog diktatora Hosnija Mubaraka koji je na vlasti već 30 godina.


Source : protest.ba, le 31 janvier 2011.

L'abattoir d'autruches Virje a déposé le bilan sur décision du Tribunal de commerce à Bjelovar. C'est ainsi qu'un trait final symbolique a été tiré sur l'élevage d'autruches depuis longtemps à la dérive en Croatie, alors qu'il y a une dizaine d'années il était encore considéré comme le travail du futur.

Le journal Lider n'a pas pu joindre le responsable de cet abattoir Željko Kopec, toutefois l'un des derniers Mohicans dans cette branche d'activité Kata Kolarić de la ville de Novska nous a confié que l'abattoir situé à Virje a commencé à fonctionner et a reçu un numéro d'exportation à l'époque où l'on savait déjà que cette activité ne donnerait rien. Il a bien fonctionné un certain temps, mais ces trois dernières années on n'en compte pas beaucoup à qui cette firme a remboursé ses dettes. La meilleure preuve que ce travail était voué à l'échec nous est probablement fournie par l'information que les fermiers se voyaient obligés de vendre leurs autruches à l'abattoir pour 1.500 kunas (alors qu'ils payaient de 2000 à 3000 euros les autruches adultes importées de Belgique), et ce n'est pas pour autant que la plupart des fermiers s'acquittaient d'une telle somme à l'abattoir de Virje.

En outre l'Etat qui offre pourtant des aides pour tout et n'importe quoi dans l'agriculture n'a pas reconnu cette activité, si bien que les fermiers n'ont jamais reçu une kuna d'aide. Quant aux vétérinaires ils n'étaient pas prêts à l'essor soudain de ce négoce. Kolarić s'en est sortie grâce au fait de ne pas vivre seulement de l'élevage d'autruche, jusqu'à présent elle est parvenue à couvrir ses dépenses en vendant des oeufs de Pâques d'autruches, en produisant des pâtes et en fabriquant des bijoux à partir de coquilles d'oeufs. Elle voit une porte de sortie dans le développement du tourisme car elle a déjà eu des visites organisées d'élèves dans sa ferme. Certains parmi les autres fermiers, au moins 200 en Croatie, ont vécu un sort tragique en investissant leurs économies qu'ils ne reverront jamais.

 


Klaonica nojeva Virje na osnovi rješenja Trgovačkog suda u Bjelovaru otišla je u stečaj. Tako je simbolično stavljena točka na odavno propali uzgoj nojeva u Hrvatskoj, za što se prije deset godina vjerovalo da je posao budućnosti.

Lider do čelnog čovjeka te klaonice Željka Kopeca nije mogao doći, no jedan od posljednjih Mohikanaca u ovom poslu Kata Kolarić iz Novske ispričala nam je da je klaonica u Virju počela raditi i dobila izvozni broj u vrijeme kad se već znalo da od tog biznisa neće biti ništa. Jedno je vrijeme funkcionirala, no unatrag tri godine u ovoj tvrtki malo su kome platili dug. Koliko je takav posao bio predodređen za propast, možda najbolje govori podatak da su farmeri bili prinuđeni klaonici prodati nojeve za 1.500 kuna (kad su uvozili odrasle nojeve iz Belgije, plaćali su ih dvije-tri tisuće eura), no klaonica u Virju ni taj iznos većini farmera nije isplatila.

Osim toga ni država koja potiče sve i svašta u poljoprivredi nije prepoznala taj biznis, pa farmeri nikad nisu dobili ni kune poticaja, a ni veterinari nisu bili spremni za nagli razvoj tog biznisa. Kolarić je izlaz našla u tome da ne živi od uzgoja nojeva, a istodobno je troškove do sada uspjela pokriti prodajom uskrsnih nojevih jaja, proizvodnjom tjestenine te izradom nakita od ljuske. Izlaz vidi u razvoju turizma jer je već imala organizirane posjete učenika svojoj farmi. Neki od ostalih farmera, a najmanje ih je 200 u Hrvatskoj, kaže Kolarić, doživjeli su tragične sudbine uloživši ušteđevinu koja je otišla u nepovrat.


Source : liderpress.hr, le 29 janvier 2011.

Zahra Bahrami, 46 ans, mére de deux enfants, exécutée à Téhéran        

L’opposition appelle à « cesser d’alimenter cette machine à tuer et à torturer »

La télévision d'Etat iranienne a annoncé samedi matin, citant un communiqué du bureau du procureur de Téhéran, la pendaison de Zahra Bahrami, 46 ans, mère de deux enfants, pour « trafic de drogue ». Arrêtée en décembre 2009 à Téhéran alors qu'elle participait à une manifestation contre le gouvernement, Zahra Bahrami faisait également l'objet d'un autre procès pour appartenance à un groupe armé opposé au gouvernement, crime pour lequel elle encourait également la peine de mort, selon sa fille.

Le 5 janvier, les Pays-Bas avaient manifesté leur "préoccupation" et demandé à l'Iran des "éclaircissements" sur Mme Bahrami, qui détenait la double nationalité.
"Nous réclamons des informations, la possibilité de lui apporter une aide consulaire et un procès équitable", avait déclaré le ministre néerlandais des Affaires étrangères, Uri Rosenthal.

La semaine dernière, Téhéran avait rejeté les appels des autorités néerlandaises. "Ils n'ont pas le droit d'interférer dans nos affaires internes", avait déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, affirmant que le système judiciaire iranien était "totalement indépendant".

Dans un communiqué publié à Paris le samedi, Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne, estime qu’il « est temps que les pays du monde, en particulier l’Union européenne, ne se contentent plus de publier des communiqués mais qu’ils stoppent leurs échanges économiques, rompent leurs relations diplomatiques avec ce régime moyenâgeux, et cessent d’alimenter cette machine à tuer et à torturer. »

« A travers cette exécution barbare, le régime cherche à propager la terreur dans la population excédée, en particulier les femmes, qui désire vivement le renversement du fascisme religieux en Iran, » ajoute Mme. Radjavi.

Source : csdih.org, le 29 janvier 2011.

 

 

 

 

 

Parmi tant d'autres déjà exécutés et torturés, Zahra Bahrami a été envoyée au casse-pipe par l'Occident décadent qui a tenté de renverser le régime iranien en sachant qu'il ne s'agissait que d'une simple partie de poker sans la moindre certitude quant au résultat. Ah ils sont beau nos occidentalistes de salon. Tiens pourquoi est-ce que BHL ne s'est pas proposé pour prendre la place de Zahra Bahrami ? Après tout elle n'était qu'un pion. Les orchestrateurs de ces manifestations vouées à l'échec, n'était-ce pas plutôt les BHL et consort ? Eux n'ont cessé d'exciter contre le régime d'Iran, en prenant leurs excitations pour la réalité. On voit bien le résultat. 

 

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Exécution publique en Iran