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Sarajevo - Le président palestinien Mahmoud Abbas s'est dit lundi «très satisfait» de ses discussions avec des dirigeants de la Bosnie, pays membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, où il est venu demander le soutien à la future demande palestinienne d'adhésion à part entière à l'ONU.

«J'ai été très satisfait des deux réunions, de la première avec la présidence (bosnienne) et de la seconde avec le ministre des Affaires étrangères», a déclaré M. Abbas à la presse, à l'issue de son entretien à Sarajevo avec le chef de la diplomatie bosnienne, Sven Alkalaj.

«Nous nous attendons à un soutien entier de leur part, tel qu'ils nous l'ont dit, et nous y croyons», a-t-il ajouté, sans préciser s'il avait obtenu les promesses d'un soutien de la partie bosnienne à l'initiative palestinienne pour tenter de faire reconnaître un État de Palestine lors de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre à New York.

M. Abbas a rencontré dans la matinée aussi les membres de la présidence collégiale bosnienne, Zeljko Komsic (Croate), Nebojsa Radmanovic (Serbe) et Bakir Izetbegovic (Musulman), chargés de la politique étrangère du pays.

Le président palestinien présentera le 20 septembre une demande d'adhésion à part entière aux Nations unies, malgré l'hostilité d'Israël et des États-Unis, avait annoncé samedi le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad al-Malki.

Israël et les États-Unis s'opposent à l'initiative palestinienne, insistant sur la nécessité de négociations directes pour mettre fin au conflit au Proche-Orient et permettre l'instauration d'un État palestinien.

Les États-Unis menacent de faire usage de leur droit de veto au Conseil de sécurité.

Brièvement relancées en septembre 2010 sous l'égide de Washington, les négociations israélo-palestiniennes se sont enlisées depuis dix mois.

Pour faire approuver une résolution, neuf des quinze membres du Conseil de sécurité (10 non permanents, 5 permanents avec droit de veto) doivent voter «pour».


Négociations

Le président palestinien a dit avoir discuté avec des responsables bosniens de «tous les sujets, dont des négociations (de paix), des Nations unies (...) et de la réconciliation palestinienne».

«Nous sommes d'accord sur tous ces sujets et nous avons convenu de poursuivre nos consultations dans un avenir proche, avant d'aller devant l'ONU», a affirmé M. Abbas.

Les positions des trois membres de la présidence bosnienne ne semblaient pas toutefois être cohérentes.
M. Komsic, qui est le président en exercice, a affirmé soutenir «la requête juste du peuple palestinien» et M. Izetbegovic a dit que la Bosnie «doit voter en faveur d'une reconnaissance d'un État de Palestine» à l'ONU.


Consensus

M. Radmanovic a, pour sa part, insisté sur «le besoin de travailler sur des initiatives qui ne perturberont pas la paix», en soulignant qu'un consensus des trois membres de la présidence était «nécessaire» pour la prise de décisions concernant l'ONU.

Lors de son entretien avec le chef de la diplomatie bosnienne, M. Abbas a expliqué que les négociations n'avaient pas d'alternative, mais que l'initiative palestinienne auprès de l'ONU était destinée à les relancer, selon un communiqué du ministère bosnien des Affaires étrangères.


Décision en septembre

Le ministre bosnien des Affaires étrangères a dit pour sa part que les autorités bosniennes prendraient une décision en septembre à propos de l'initiative palestinienne.

«Il est nécessaire d'entendre les opinions des autres, notamment des membres permanents du Conseil de sécurité (Chine, États-Unis, Russie, France et Royaume-Uni)», a déclaré M. Alkalaj, cité par le quotidien Oslobodjenje.


Source : AFP, le 15 août 2011.

Sarajevo - Le président palestinien Mahmoud Abbas est arrivé dimanche en Bosnie, pays membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, où il plaidera auprès des dirigeants locaux en faveur de la future demande palestinienne d'adhésion à part entière à l'ONU, a rapporté la radio nationale (BHR1).

«Il s'agit d'une visite de travail pour parler de la situation politique au Proche-Orient et qui s'inscrit dans les efforts des dirigeants palestiniens visant à obtenir le statut de membre à part entière d'un État de Palestine au sein de l'ONU», a déclaré l'ambassadeur palestinien en Bosnie, Khaled Al Atrash, à la BHR1.

M. Abbas rencontrera lundi les membres de la présidence collégiale bosnienne, Zeljko Komsic (Croate), Nebojsa Radmanovic (Serbe) et Bakir Izetbegovic (musulman), a indiqué la présidence bosnienne dans un communiqué.

Il s'entretiendra également avec le ministre des Affaires étrangères bosnien, Sven Alkalaj.

La Bosnie fait partie des dix membres non permanents du Conseil de sécurité de l'ONU.

Devant l'impasse du processus de paix, l'Autorité palestinienne a lancé une initiative pour tenter de faire reconnaître un État de Palestine lors de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre à New York.

Le président palestinien présentera le 20 septembre une demande d'adhésion à part entière aux Nations unies, malgré l'hostilité d'Israël et des États-Unis, a annoncé samedi le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad al-Malki.

Israël et les États-Unis s'opposent à l'initiative palestinienne, insistant sur la nécessité de négociations directes pour mettre fin au conflit au Proche-Orient et permettre l'instauration d'un État palestinien.

Les États-Unis menacent de faire usage de leur droit de veto au Conseil de sécurité.

Brièvement relancées en septembre 2010 sous l'égide de Washington, les négociations israélo-palestiniennes se sont enlisées depuis dix mois.

Pour faire approuver une résolution, neuf des quinze membres du Conseil de sécurité (10 non permanents, 5 permanents avec droit de veto) doivent voter «pour».


Source : AFP, le 14 août 2011.

Je crois que la criminalité dans nos rues ne peut pas être dissociée de la perte de toute moralité dans les échelons les plus élevés de la société britannique moderne. Ces deux dernières décennies ont vu une baisse terrifiante des normes de moralité traditionnelle des élites britanniques. Nos politiciens actuels trouvent tout à fait normal de mentir, de tricher et de voler. Rappelons que Tony Blair a entraîné le pays dans une guerre en Irak sur le fondement de mensonges et que des soldats britanniques sont morts sur le fondement de ces mensonges.

Au cours des deux dernières décennies est apparue une culture quasi-universelle de l’égoïsme et de la cupidité. Comment s’étonner alors que les enfants de Tottenham aient oublié, en grandissant, qu’ils avaient des droits et des devoirs ?

Nos politiciens sont mauvais. Durant des années ils se sont voilés la face et ont essentiellement cherché à s’enrichir. Dois-je rappeler que David Cameron, l’actuel Premier ministre britannique, a des voyous dans sa propre équipe, mais ne semble pas en être gêné ? Quelle différence y a t-il entre un jeune délinquant qui vole des ordinateurs et un député qui détourne de l’argent public pour accaparer des ordinateurs portables pour des amis ? Certes, il y a une différence entre la tricherie par évasion fiscale et des vols de délinquants, mais il est choquant d’entendre des politiciens tricheurs réclamer une action draconienne contre des délinquants qui volent.

Le Premier ministre parle de restaurer la morale pour les délinquants sans s’exprimer d’une manière générale, sans dire que cette morale s’applique aussi aux riches et aux puissants, que lui-même fréquentent. La vérité tragique est que D. Cameron, en dissociant la morale entre le sommet du pouvoir et les pauvres, devient vulnérable et perd toute crédibilité.

Gardons en mémoire que beaucoup de nos jeunes ne connaissent rien aux règles élémentaires de la civilité. La culture de la cupidité telle qu’on nous la sert à la télévision depuis des années explique les tristes scènes que nous vivons en Angleterre. Cette culture de la cupidité sévit aussi dans les conseils d’administration de nos sociétés, dans la police, dans les structures de notre monde politique. Ce n’est pas seulement à la jeunesse qu’il faut inculquer la morale, mais c’est l’Angleterre qui a besoin d’une réforme morale. (Source : The Telegraph)


Source : liesidotorg.wordpress.com

Les citoyens et citoyennes de Bosnie-Herzégovine, d'après les médias, vont bientôt pouvoir bénéficier d'une nouvelle déclinaison du HDZ. Outre le HDZ BiH et le HDZ 1990, le HDZ Ljubuški va faire son entrée dans l'arène politique.

Le journal Dnevni list rapporte que dans la ville de Ljubuški s'est réuni jeudi le Comité d'initiative du nouveau parti qui rassemblera les mandataires élus à tous les niveaux ainsi que d'éminents hommes d'affaires. D'après le journal, plusieurs décisions ont été prises lors de la réunion du comité, dont celle de faire de la municipalité de Ljubuški le siège principal du nouveau parti.

Les auteurs de l'initiative justifient la création d'un troisième HDZ par la mauvaise situation sociale et politique en Bosnie-Herzégovine. Une source proche du futur parti signale que le groupe de membres réunis autour du HDZ Ljubuški souhaite travailler au moyen d'une nouvelle option politique à l'amélioration du "tableau social" dans le pays tout entier.

Comme tout parti qui se veut sérieux, la troisième mouture du HDZ a défini ses objectifs politiques en vue de capter le corps électoral des deux entités et du district de Brčko : "(...) Les objectifs politiques du troisième HDZ sont de lutter contre la corruption et la criminalité, de résoudre le chômage et, le plus important de tout, d'assurer l'existence du peuple croate avec les autres peuples en Bosnie-Herzégovine". C'est du moins ainsi que la source proche du nouveau parti a esquissé leur stratégie au journaliste du Dnevni list.

Rappelons qu'en 2006 le HDZ BiH dirigé par Dragan Čović s'était scindé en deux parti et qu'en avril de cette même année avait été fondé le HDZ 1990, dont le président est Božo Ljubić.

Du reste, d'après la Commission électorale centrale de Bosnie-Herzégovine (CIK), 190 partis politiques sont enregistrés en Bosnie-Herzégovine, avec un maximum à Banja Luka (92) tandis que Sarajevo vient en deuxième position avec 27 partis enregistrés. Cinquante six partis avaient pris part aux dernières élections générales, celles d'octobre 2010, et leur nombre ne cesse d'augmenter d'année en année.


Source : e-novine.com, le 13 août 2011.

 

 

Malgré la meilleure saison touristique à ce jour, l'Agence nationale pour l'emploi de Croatie a annoncé qu'en juillet plus de 287.000 personnes étaient inscrites au chômage, c'est-à-dire 4.800 de plus que l'année dernière à la même époque. Cette information a été commentée par le ministre de l'Economie, Đuro Popijač, qui a trouvé une explication à cette hausse. 

 

En effet, le ministe de l'Economie pense que ce nombre de 4.800 chômeurs de plus par rapport à l'année dernière indique la confiance des jeunes à l'endroit des institutions puisque les bacheliers qui ne se sont pas inscrits dans les facultés se sont dirigés vers l'Agence nationale pour l'emploi afin de chercher une aide à l'embauche.

 

[...] 

 

Source : danas.net.hr, le 13 août 2011.