http://balkanikum.vefblog.net/

  VEF Blog

Balkanikum

posté le 19-01-2011 à 21:17:50

Sanader a versé 3,8 millions de kunas à Thompson rien que pour qu'il ne chante pas lors des élections
 

Thompson se dit surpris que Barišić, qu'il ne connaît nullement, puisse ainsi mentir et il se demande pourquoi il invente de telles histoires mensongères

Dans sa seconde déposition qu'il a faite vers le Nouvel An, l'ancien trésorier du HDZ et chef des douanes croates, Mladen Barišić, a confié aux enquêteurs de nouveaux détails sur l'extorsion d'argent aux entreprises publiques, mais aussi sur la façon dont cet argent a été utilisé dans la campagne en 2007.

C'est ainsi qu'il a révélé, avons-nous appris auprès de sources bien informées, qu'au cours de l'été 2007 il a versé à la demande de Sanader 515.000 euros (3,8 millions de kunas) au chanteur Marko Perković Thompson pour que celui-ci ne chante pour aucun parti lors des élections parlementaires en novembre de cette année-là !

Marko Perković Thompson nous a confirmé qu'il a été interrogé en qualité de témoin et que les enquêteurs l'ont questionné à propos des affirmations de Barišić selon lesquelles de l'argent lui a été versé pour qu'il ne chante pas. Thompson se dit surpris que Barišić, qu'il ne connaît nullement, puisse ainsi mentir et il se demande pourquoi il invente de telles histoires mensongères. Il est choqué rien qu'à l'idée que quelqu'un puisse être payé pour ne pas se produire.

 

Sanader platio Thompsonu 3,8 mil. kn samo da ne pjeva na izborima
 
 

Thompson kaže da je iznenađen kako Barišić, kojega uopće ne poznaje, može tako lagati i pita se zašto konstruira takve lažne priče

U svom drugom velikom iskazu koji je dao oko Nove godine, bivši HDZ-ov rizničar i šef Carine Mladen Barišić istražiteljima je povjerio nove detalje o izvlačenju novca iz javnih poduzeća, ali i o tome kako se tim novcem manipuliralo u izbornoj 2007. godini.

Tako je otkrio, doznajemo iz dobro upućenih izvora, da je po Sanaderovu nalogu u ljeto 2007. godine pjevaču Marku Perkoviću Thompsonu isplatio 515.000 eura (3,8 milijuna kuna) kako na parlamentarnim izborima u studenom te godine ne bi pjevao ni za jednu stranku!

Marko Perković Thompson potvrdio nam je da je bio na ispitivanju u svojstvu svjedoka te da su ga istražitelji pitali o Barišićevim tvrdnjama da mu je isplaćen novac za “nepjevanje”. Thompson kaže da je iznenađen kako Barišić, kojega uopće ne poznaje, može tako lagati i pita se zašto konstruira takve lažne priče. Šokiran je samom idejom da bi netko bio plaćen za nenastupanje.


Source : vercernji.hr, le 19 janvier 2011.

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 19-01-2011 à 12:47:59

Les services pénitentiaires croates travaillent déjà à configurer les barreaux de la cellule prête à accueillir Vladimir Šeks

 

 

 

 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 18-01-2011 à 17:36:29

Crimes/guerre: Amnesty exhorte la Croatie à enquêter sur un haut responsable
 


Zagreb - Amnesty International a réitéré mardi son appel aux autorités croates à ouvrir une enquête sur des allégations mettant en cause un très influent homme politique local, Vladimir Seks, dans une affaire de crimes de guerre commis pendant le conflit serbo-croate (1991-95).

"Des allégations visant Vladimir Seks doivent faire l'objet d'une enquête", a déclaré une responsable de l'ONG de défense des droits de l'Homme, Nicola Duckworth, citée dans un communiqué.

M. Seks, qui est actuellement le vice-président du Parlement croate et haut responsable du parti au pouvoir en Croatie, l'Union démocratique croate (HDZ), a été la principale personnalité politique dans l'est de la Croatie au début de la guerre.

"Il (M. Seks) ne doit pas (...) abuser de son pouvoir, en tant qu'homme politique influent, pour bloquer un procès en justice", a ajouté Mme Duckworth.

Selon l'ONG, M. Seks est mis en cause par de "nouvelles" allégations l'accusant de ne pas avoir stoppé de "graves abus perpétrés par les forces sous son commandement".

Début janvier, une ONG locale avait fait état du témoignage d'une personne, affirmant que M. Seks n'avait pas ordonné une enquête sur des crimes de guerre commis en 1991 par ses subordonnés.

Selon la justice internationale, des responsables militaires et politiques peuvent être tenus responsables pour des crimes de guerre commis par leurs subordonnés s'ils n'ont rien fait pour les arrêter ou pour punir leurs auteurs.

M. Seks a rejeté vendredi ces accusations et a déclaré avoir fait, de sa propre initiative, une déposition à ce sujet devant le parquet.

Amnesty avait déjà accusé la Croatie, dans un rapport publié en décembre, de n'avoir jamais ouvert d'enquête visant M. Seks et d'autres anciens responsables, malgré des "allégations publiques".

Le ministère croate de la Justice a rejeté ces remarques de l'ONG internationale et exprimé ses "regrets que le rapport d'Amnesty n'ait pas été fait en coopération avec les institutions croates compétentes", dans un document publié sur son site internet.

Quant à M. Seks et d'autres hauts responsables, le ministère estime que les accusations d'Amnesty ont été avancées "sans aucune vérification et une enquête impartiale des faits".

La proclamation par la Croatie de son indépendance de la Yougoslavie, en 1991, a été suivie d'une guerre entre les forces de Zagreb et les sécessionnistes serbes soutenus par Belgrade. Ce conflit a fait environ 20.000 morts.



Source : romandie.com, le 18 janvier 2011.

 

 

Croatian politician must face inquiry over war crimes claims
 


A number of high profile Croatian military and political leaders have evaded war crimes investigations

18 January 2011

Amnesty International has renewed its call on the Croatian authorities to investigate claims that a senior politician failed to prevent war crimes committed by Croatian forces during the 1991-1995 war.

Vladimir Šeks, currently Deputy Parliament Speaker, who was a leading political figure in the Eastern Slavonija region in 1991, faces fresh claims that he failed to stop grave abuses perpetrated by forces under his command.

On 13 January, the Youth Initiative for Human Rights, a Croatian non-governmental organization (NGO), submitted new testimony from a witness claiming that Vladimir Šeks had failed to investigate her report of a crime allegedly committed by his subordinates in 1991. The NGO provided statements by five other witnesses related to other crimes allegedly committed in Eastern Slavonija at that time.

“The allegations against Vladimir Šeks must be investigated. It is well documented that during the war he was in a position of political command, as the Head of Crisis Headquarters in Eastern Slavonija, and that his subordinates committed crimes with impunity,” Nicola Duckworth said.

“He must not be allowed to misuse his power as an influential political figure in order to block the justice process.”

Croatian forces under Vladimir Šeks’ command are said to have tortured civilians during the conflict that followed the disintegration of the former state of Yugoslavia.

In its report, Behind the Wall of Silence: Prosecution of War Crimes in Croatia, published in December 2010 Amnesty International expressed its concern that a number of high profile Croatian military and political leaders have to date still managed to evade investigation for alleged war crimes.
 
Following publication, one of the people named in the report – Tomislav Merèep – was arrested and an investigation against him opened by the Croatian State Prosecutor’s Office.

In relation to the alleged responsibility of Vladimir Šeks, the Amnesty international report documented allegations about the potential command responsibility of Vladimir Šeks for crimes committed in the town of Osijek in 1991. The allegations are based on publicly available information such as court judgments and court testimonies of several witnesses.

“According to the Geneva Conventions, which Croatia is a party to, military and civilian superiors may be criminally responsible for the acts of their subordinates if they knew, or had information that such crimes under international law were committed or were about to be committed.”

“The wounds of the war in Croatia are still open. Accountability for war crimes and redress for the victims and their families irrespective of ethnic origin, accompanied by a frank and informed debate in the public sphere will help Croatia move forward,” said Nicola Duckworth, Europe and Central Asia Programme Director.

Vladimir Šeks has been a member of the Croatian Parliament since the country’s independence in 1991 as a representative of the Croatian Democratic Union (Hrvatska Demokratska Zajednica – HDZ). He held several senior positions including the posts of the Speaker of the Parliament (December 2003-January 2008), Vice-Speaker of the Parliament (from January 2008 until present), Deputy Prime Minister (1992-1995) and the State Prosecutor (April – August 1992).

 

Source : amnesty.org, le 18 janvier 2011. 

 

 

PRIOPĆENJE ORGANIZACIJE
AMNESTY INTERNATIONAL


17. siječnja 2011. godine

Hrvatski političar mora biti stavljen pod istragu zbog navoda o ratnim zločinima

Organizacija Amnesty International ponovo je pozvala hrvatske vlasti da istraže tvrdnje kako visoki političar nije spriječio ratne zločine koje su počinile hrvatske snage tokom rata vođenog od 1991. - 1995. godine.

seks-1.jpg
Vladimir Šeks, trenutno potpredsjednik Sabora, koji je bio vodeća politička ličnost u regiji istočne Slavonije 1991. godine, suočen je s novim tvrdnjama da nije reagirao kako bi zaustavio grube zloupotrebe koje su počinile snage pod njegovim zapovjedništvom.

13. siječnja, Inicijativa mladih za ljudska prava, hrvatska nevladina organizacija (NVO), podnijela je novo svjedočenje svjedokinje koja tvrdi da Vladimir Šeks nije ispitao njenu prijavu zločina kojeg su navodno počinili njegovi podređeni 1991. godine. Ova NVO priložila je izjave još pet svjedoka u vezi sa drugim zločinima navodno počinjenim u istočnoj Slavoniji u to vrijeme.

"Navodi protiv Vladimira Šeksa moraju biti ispitani. Dobro je dokumentirano da je on tijekom rata bio na položaju političkog zapovjednika, kao načelnik Kriznog štaba u istočnoj Slavoniji, i da su njegovi podređeni počinili zločine za koje nisu kažnjeni", izjavila je Nicola Duckworth.

"Ne smije mu se dopustiti da zloupotrijebi vlast kao utjecajna politička ličnost i blokira pravosudni proces."

Hrvatske snage pod zapovjedništvom Vladimira Šeksa su navodno mučile civile tijekom sukoba koji je uslijedio nakon raspada bivše države Jugoslavije.

U svom izvještaju, Iza zida šutnje: Procesuiranje ratnih zločina u Hrvatskoj, objavljenom u prosincu 2010. godine, Amnesty International izrazio je zabrinutost što jedan broj istaknutih hrvatskih vojnih i političkih lidera do danas uspješno izbjegava istragu o navodnim ratnim zločinima.

Nakon njegovog objavljivanja, jedan od ljudi imenovanih u izvještaju - Tomislav Merčep - je uhićen i Državno odvjetništvo Republike Hrvatske je otvorilo istragu protiv njega.

U vezi sa navodnom odgovornošću Vladimira Šeksa, izvještaj organizacije Amnesty International dokumentirao je navode u vezi s potencijalnom zapovjednom odgovornošću Vladimira Šeksa za zločine počinjene u Osijeku 1991. godine. Ovi navodi su zasnovani na javno dostupnim informacijama poput sudskih presuda i svjedočenja nekoliko svjedoka pred sudom.

"Prema Ženevskim konvencijama, kojih je Hrvatska potpisnica, vojni i civilni zapovjednici mogu biti kazneno odgovorni za djela svojih podređenih ako su znali, ili imali informacije da su takvi zločini po međunarodnom pravu počinjeni ili postoji namjera da budu počinjeni."

"Rane nanijete ratom u Hrvatskoj još uvijek su otvorene. Odgovornost za ratne zločine i zadovoljenje za žrtve i njihove obitelji bez obzira na etničko porijeklo, praćeni iskrenom i potkrijepljenom debatom u javnoj sferi, će pomoći Hrvatskoj da napreduje", rekla je Nicola Duckworth, programska direktorica za Europu i centralnu Aziju.

Pozadina


Vladimir Šeks zastupnik je u Saboru Hrvatske od njene nezavisnost 1991. godine kao predstavnik Hrvatske demokratske zajednice (HDZ). Obavljao je nekoliko visokih dužnosti, uključujući dužnost predsjednika Sabora (prosinac 2003. - siječanj 2008.), potpredsjednika Sabora (od siječanj 2008. do danas), vicepremijera (1992. - 1995.) i državnog tužitelja (travanj - kolovoz 1992.).
Tagovi: ratni zločini, Vladimir Šeks

 

Source : h-alter.org, le 18 janvier 2011. 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 18-01-2011 à 16:59:40

"Nous avons reçu la plus lourde peine parce que mon père n'est plus là. Nous voilà détruits..."
 


L'épouse de Chen, Maja Bratić, dont le père est mort une demi heure après [avoir volé au secours de] son mari agressé, a réagi de manière résignée au verdict. Elle dit qu'elle n'espérait rien parce qu'il n'y a pas de justice sur terre.

Les frères Boris (32) et Mario (37) Delonga ont été condamnés en première instance à une peine assortie d'un sursis pour crime haineux lorsqu'ils ont agressé Liang Chen dans l'ascenseur d'un immeuble de Zagreb, des faits commis l'année dernière en août. La peine leur a été infligée par le juge Zorislav Kaleb qui les a avertis que la mesure d'interdiction de s'approcher de la famille de la victime est toujours en vigueur, une mesure prononcée en novembre après qu'ils eurent été remis en liberté.



La peur persiste

Les frères Delonga étaient accusés d'homicide involontaire sur la personne du beau-père de Chen, Mirko Bratić, qui est décédé une demi heure après l'agression subie. L'accusation avait toutefois laissé tomber ce chef d'inculpation après l'expertise parce qu'il n'était pas prouvé que Bratić, sujet à des troubles cardiaques, est décédé suite aux chocs subis.  

Boris Delonga s'est vu infliger une peine d'un an et demi de prison avec un sursis de quatre ans en raison d'un comportement violent. Cela pour avoir causé de graves blessures à M. Chen, lequel a déclaré qu'en rentrant du travail la nuit des faits vers 23h20, l'accusé en état d'ébrité avant de le frapper lui a lancé "petit jaune, qu'est-ce que tu fabriques ici".

Son frère Mario a été condamné à huit mois de prison avec un sursis de deux ans. S'il ne récidive pas, il n'aura pas à aller en prison.

L'épouse de Liang Chen, Maja Bratić, s'est montrée résignée face au verdict lorsque nous l'avons appelée.

-  Nous avons reçu la plus lourde peine parce que mon père n'est plus là. Nous voilà détruits. Je n'espérais rien car dans ce pays il n'y a pas de justice. Si les accusés peuvent vivre avec leur conscience, c'est leur affaire. Moi personne ne me rendra mon père. Mon mari va bien, il est plus affecté par la mort de mon père que pour avoir été agressé. Ce n'est pas pour autant qu'après tout cela il ne s'en fait pas quand il quitte le travail pour rentrer à la maison, vous ne pouvez plus avoir confiance après cela, la peur reste... - déclare Maja Bratić.



Première fois qu'il se heurte à la loi


Le juge Kaleb dans les attendus du jugement a fait savoir que c'est la première fois que les frères Delonga se sont heurtés à la loi. Il pense que la peine avec sursis aura un effet sur eux et qu'il ne commettront plus jamais de délit.

Le juge a invoqué que Boris Delonga a suivi des études à la faculté (il a obtenu un diplôme à la Faculté d'ingénierie du trafic, N.D.A.) et qu'il n'a jamais été condamné. D'après lui, il a agressé Chen parce qu'il était sous l'influence de l'alcool.

De leur côté les accusés n'ont pas nié qu'ils étaient en état d'ébriété. Boris Delonga a déclaré qu'il avait bu de la bière toute la journée avec son frère revenu du Canada. Avant son arrestation Boris Delonga était secrétaire du Club de natation Medveščak.



Il comptait se rendre dans l'immeuble en dépit de la mesure d'interdiction toujours en vigueur


Mario Delonga, qui a passé ces dix dernières années à Toronto avec sa femme et son enfant, s'est vu restituer son passeport sur décision du juge. Après la condamnation il ne semblait visiblement pas avoir compris qu'était toujours en vigueur la mesure d'interdiction de s'approcher de l'immeuble dans lequel Chen habite à moins de 200 mètres. C'est pourquoi il a demandé au juge s'il pouvait aller y chercher ses affaires. Le juge lui a répondu par la négative tout en lui demandant s'il comptait retourner au Canada, ce à quoi Mario Delonga a déclaré que ce n'était pas encore le moment.

Les deux frères ont exprimé des remords durant leur procès et il se sont excusés auprès de Chen. Boris Delonga en sanglotant et en exprimant ses regrets a dit qu'il ne pensait jamais retourner vivre dans l'immeuble.



"Mi smo dobili najveću kaznu jer oca više nema. Uništeni smo..."
 

 

Chenova supruga Maja Bratić, čiji je otac umro pola sata nakon napada na njezina muža, rezignirano je reagirala na presudu. Kaže da ništa nije očekivala jer u zemlji nema pravde

Braća Boris (32) i Mario (37) Delonga nepravomoćno su uvjetno osuđeni zbog napada motiviranog mržnjom na Liang Chena u dizalu jednog zagrebačkog nebodera lani u kolovozu. Presudu im je izrekao sudac Zorislav Kaleb, upozorivši ih da im i dalje ostaje na snazi zabrana približavanja obitelji oštećenog koja im je izrečena u studenom, nakon što su pušteni iz pritvora.

Strah uvijek ostaje

Braća Delonga bili su optuženi i za smrt iz nehaja Chenova punca Mirka Bratića (60), koji je umro pola sata nakon napada, no tužiteljstvo je nakon vještačenja odustalo od optužbe jer nije bilo dokaza da je Bratić, srčani bolesnik, umro od šoka.

Borisu Delongi zbog teškog ozljeđivanja Chena, koji je svjedočio da mu je te noći oko 23.30 sati, kad se vraćao s posla, okrivljeni pijan prvo dobacio “mali žuti, što ti imaš tu raditi”, a nakon toga ga udario, zbog nasilničkog ponašanja izrečena je godina i pol dana zatvora uz rok kušnje od četiri godine.

Njegovu bratu Mariju izrečena je uvjetna kazna od osam mjeseci zatvora uz rok kušnje od dvije godine. Ako ne počine novo kazneno djelo, neće ići u zatvor.

Supruga Liang Chena Maja Bratić kad smo je nazvali bila je rezignirana presudom.

– Mi smo dobili najveću kaznu jer mog oca više nema. Životi su nam uništeni... Nisam ništa očekivala jer u ovoj zemlji nema pravde. Ako optuženi mogu živjeti sa svojom savješću, to je na njima. Meni tatu više nitko neće vratiti. Moj je muž dobro, njemu je više žao zbog moga oca nego što je on napadnut. Ali nije mu svejedno nakon svega kad se vraća kući s posla, ne možete nakon toga više imati povjerenje, strah ostaje... – kaže Maja Bratić.

Prvi sukob sa zakonom

Sudac Kaleb u obrazloženju presude kazao je da su se braća Delonga prvi put našla u sukobu sa zakonom. Vjeruje da će uvjetna presuda djelovati na njih te da više nikad neće činiti kaznena djela.

Sudac je naveo i da je Boris Delonga fakultetski obrazovan (diplomirao je promet, nap. a.), nikad nije bio kažnjavan te smatra da je Chena napao jer je bio pod utjecajem alkohola.

Da su te noći bili pijani, optuženi u obrani nisu ni skrivali pa se Boris Delonga tako branio da je cijeli dan pio pivo s bratom koji se vratio iz Kanade. Inače, Boris Delonga prije nego što je pritvoren bio je tajnik plivačkog kluba Medveščak.

Mislio je ići u neboder iako je i dalje na snazi zabrana pristupa

Mariju Delongi, koji je posljednjih desetak godina sa ženom i djetetom živio u Torontu, odlukom suca vraćena je putovnica. Nakon presude očito nije shvatio da je još na snazi zabrana približavanja neboderu u kojem Chen živi na udaljenost manju od 200 m pa je pitao suca može li otići u stan po stvari. Sudac mu je uzvratio da ne može, pitajući ga vraća li se u Kanadu, na što je Mario Delonga kazao da još ne.

Obojica su braće tijekom suđenja izrazila žaljenje zbog učinjenog i ispričali se Chenu, a Boris Delonga jecajući i govoreći koliko mu je žao kazao je kako ne vjeruje da će se ikad vratiti živjeti u taj neboder.

 

Source : vecernji.hr, le 18 janvier 2011. 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 18-01-2011 à 14:46:38

Grenade/ambassade de Croatie: une mise en garde à Josipovic et Tadic



Zagreb - Le colis explosif contenant une grenade, expédié à l'ambassade de Croatie à Berlin, contenait un message d'avertissement aux présidents croate Ivo Josipovic et serbe Boris Tadic, favorables tous deux à une amélioration des relations bilatérales, a rapporté mardi la presse croate.

"Cette petite grenade est un avertissement adressé à Ivo Josipovic et Boris Tadic", a rapporté le quotidien Vecernji List, citant des extraits du message.

Ce message contenait une série d'insultes adressées aux deux dirigeants, dont les bonnes relations sont de notoriété publique, a indiqué le quotidien, citant des sources allemandes.

L'envoi du paquet intervient deux jours avant la visite à Berlin du président croate qui aura lieu comme prévu, selon la présidence croate.

L'auteur du message, qui signe des initiales HF, a également promis de "venger" le meurtre d'un policier croate commis il y a vingt ans par des Serbes de Croatie. "Rien ne peut nous arrêter", a assuré le message.

"Il s'agit selon toute évidence de cercles politiques extrémistes qui ne tiennent pas à la démocratie, ni au progrès de la Croatie, ni à la Croatie européenne", a déclaré mardi M. Josipovic à la radio nationale.

"Nous savons que notre politique régionale est un élément important de notre politique européenne", a ajouté M. Josipovic. "La Croatie ne renoncera pas à sa voie européenne".

La proclamation de l'indépendance de la Croatie en 1991 a entraîné un conflit long de quatre ans avec les Serbes de Croatie qui s'y opposaient. Pendant la guerre, qui a fait 20.000 morts, Belgrade leur a fourni un soutien politique et militaire.

Selon le quotidien Jutarnji List, le message émane d'un groupe extrémiste croate, Hrvatski Feniks (Phoenix croate).

Pourle moment, la police de Berlin ne dispose pas de pistes crédibles sur les suspects possibles.

Les rapports entre la Croatie et la Serbie se sont graduellement améliorés depuis le conflit de 1991-1995.

Mais le processus s'est notablement accéléré depuis la prise de fonctions du président Josipovic, au début de 2010. Ivo Josipovic et Boris Tadic ont fait depuis plusieurs gestes importants en faveur de la réconciliation.



Source : romandie.com, le 18 janvier 2011.




 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article