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Balkanikum

 
posté le 15-01-2011 à 15:10:29

« Orient Express » recrute ses reporters : 8 capitales balkaniques, 8 équipes babéliennes de journalistes/photographes


De la crise économique aux Balkans. Après le succès de 5 années de reportages réalisés dans toute l’Europe grâce à notre projet éditorial « on the ground » - où tous les frais des journalistes sont à notre charge - cafebabel.com est heureux d’annoncer que nous allons continuer à envoyer 5 journalistes… Hors de l’Union Européenne pour une fois ! Chaque équipe de 5 personnes sera composée de trois journalistes et d'un photo-journaliste du réseau de cafebabel.com, accompagnés par un des éditeurs du magazine en ligne basé à Paris...

 

Lire la suite sur coffeefactory.cafebabel.com

 

ainsi que les reportages déjà entamés dont celui-ci

 


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posté le 14-01-2011 à 22:56:44

Avez-vous remarqué que les Tunisiens ont choisi une excellente fenêtre de tir pour se révolter. Juste avant que la saison touristique ne redémarre. Par conséquent les dommages économiques seront sans doute limités alors que les gains sociaux sont déjà énormes : apprentissage de la solidarité, implication citoyenne, réappropriation des médias, etc...

 

Quel contraste avec les Croates qui eux attendent impatiemment la saison touristique en croyant que cela va régler leurs problèmes. Certes dès les premiers rayons de soleil les hordes de touristes vont à nouveaux défiler sur leurs plages et faire baisser le chômage de quelques points mais à partir de septembre-octobre la crise les frappera de plus belle. 

 

Alors les Croates seront obligés de constater que pour eux rien n'a changé et qu'ils n'ont aucune chance de redresser la barque avec les nains qui les gouvernent. Ils continueront à subir les structures féodales en place. Ils continueront à endurer la clique au pouvoir qui représente la lie de la société : Vladimir Šeks, Hloverka Novak-Srzić, Mladen Bajić, Jadranka Kosor, Darko Milinović, Ninoslav Pavić... , le tout sous l'oeil bienveillant du garde chiourme suprême, l'individu Foley, l'abject, l'innommable individu Foley, cette concierge dressée à ragoter, entraînée à commérer et à répandre les pires bruits qui lui passent par sa tête de radoteuse née et formée dans les bureaux de la CIA. 

 

 

 


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posté le 14-01-2011 à 19:26:28

 
 
 
 
Comment allons-nous pouvoir attaquer l'Iran si les populations arabes se révoltent ? Voila la question que la "communauté internationale" a dû se poser.  Par "communauté internationale" il faut bien entendu comprendre la Bande des Quatre : USA, Grande-Bretagne, France et Allemagne. Ces quatre qui un beau jour ont eu l'idée profitable de se réunir pour mieux commettre leurs multiples exactions et qui se sont rarement brouillés sauf brièvement lors de l'invasion de l'Irak. 
 
Désormais cette Bande des Quatre, ces quatre Attilas, voit son règne s'achever petit à petit. Lors de l'attaque contre l'Irak, les populations arabes n'avaient pas bougé mais il semble que les choses ont changé depuis lors. De manière générale on constate de plus en plus d'actes d'insubordination qui ne font que confirmer le pouvoir déclinant de la Bande des Quatre petits caïds. Citons par exemple la Côte d'Ivoire lorsque Sarkozy avait intimé à Gbagbo de s'en aller d'ici la fin de la semaine. Plusieurs semaines se sont écoulées depuis ce claquement de doigt du petit prétentieux et Gbagbo est toujours accroché aux manettes. 
 
On peut également mentionner la chute du gouvernement au Liban (lien en serbo-croate). Un nouvel acte d'insubordination envers la Bande des Quatre. Un de plus.
 
Soyez sûr que le mouvement va se généraliser. La bande des Quatre est finie. Un jour nous instruirons son procès. 
 
 

 
 
Non la Bande des Quatre de fait plus recette, pas plus que le machin qu'ils ont détourné à leur profit : 
 
Podrška građana ulasku Srbije u Evropsku uniju opala je na 57 odsto, što je najmanje od 2002, pokazalo je istraživanja javnog mnjenja o stavovima građana o procesu Evropske integracije Srbije. Građani smatraju da se Srbija ka članstvu u Uniji kreće brzinom puža, u sve većem procentu odgovornost za to pripisuju vlastima, a čak trećina građana smatra da će se EU uskoro raspasti
 
La faveur des citoyens pour l'entrée dans l'Union européenne est tombée à 57%, ce qui représente le plus faible pourcentage depuis l'année 2002, a révélé un sondage d'opinion sur les vues qu'ont les citoyens par rapport au processus de l'intégration européenne de la Serbie. Les citoyens estiment que la Serbie avance vers l'adhésion à l'UE à la vitesse d'un escargot. Ils sont de plus en plus nombreux à rejeter la responsabilité sur les autorités, et un tiers des citoyens va jusqu'à penser que l'UE va bientôt se désintégrer. 
 
 
Source : e-novine.com, le 14 janvier 2011. 
 
 
 
 
 
 


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posté le 14-01-2011 à 16:28:40

Il existe suffisamment de preuves contre Vladimir Šeks
 

La directrice [du programme Europe et Asie centrale] d'Amnesty International a réaffirmé dans une interview pour le journal croate Novosti qu'il est nécessaire d'ouvrir une enquête à l'encontre de Vladimir Šeks pour les crimes commis en 1991.

"Nous croyons, je répète, qu'il existe déjà suffisamment de preuves pour ouvrir une enquête, nous savons très bien par l'accusation lors du procès contre Branimir Glavaš que Vladimir Šeks a admis avoir été en situation de commandement à Osijek en 1991, lorsque de nombreux crimes de guerre ont été commis. C'est la base, la preuve suffisante pour que soit ouverte une enquête à l'encontre de Šeks", a déclaré Nicola Duckworth, directrice du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International, dans un entretien pour l'édition d'aujourd'hui du journal Novosti basé à Zagreb. Le 8 décembre de l'année dernière Nicola Duckworth est venue remettre un rapport à Zagreb contenant les noms principaux des personnes dont l'implication dans les crimes de guerre est systématiquement ignorée par la justice depuis des décennies. Il s'agit de Tomislav Merčep, Vladimir Šeks et Davor Domazet Loša.

Deux jours après la parution du rapport d'Amnesty, Tomislav Merčep a été arrêté, toutefois Duckworth continue de réclamer deux mois plus tard une réaction des institutions croates. Comme elle l'a révélé dans l'entretien, la raison probable de cet état des choses tient à ce Šeks occupe une haute position en Croatie.

"Nous sommes conscients qu'il s'agit d'un politicien très influent en Croatie, et cela depuis de nombreuses années. La position quant à la responsabilité de commandement rend possible que soient poursuivies des personnes qui étaient au pouvoir, qui savaient ou devaient savoir pour les crimes de guerre. Il en va de même avec Domazet Loša", affirme Duckworth pour le Novosti. Elle ajoute que la non instruction des crimes de guerre pourrait éventuellement poser problème à la Croatie lors de son entrée dans l'Union européenne.

D'autre part Amnesty International est persuadé que si les enquêtes étaient ouvertes, à la faveur d'une quantité de preuves publiquement disponibles, cela indiquerait de manière très positive que la Croatie se débarrasse d'un des héritages les plus lourds du passé, en ce qu'elle établit la responsabilité sans se contenter des plus bas échelons du pouvoir.

Interrogée par le journaliste du Novosti qui lui demande sans détour s'il serait plus facile d'ouvrir une enquête à l'encontre de Vladimir Šeks s'il n'était pas un politicien influent, la responsable d'A.I. ne démord pas de son avis sur la forte influence de la haute hiérarchie politique.

"Lorsque vous considérez l'échantillon des procès pour crimes de guerre, vous voyez qu'il s'y trouve considérablement plus de commandants subalternes que de personnes qui occupent des positions élevées au pouvoir. Le procès de Glavaš a révélé toutes les difficultés de confronter à la justice celui qui occupe une position de pouvoir. Un tel procès est frustrant. Il est clair que les gens avec plus de pouvoir, s'ils en abusent, peuvent bloquer la procédure judiciaire", affirme Duckworth. Et elle ajoute qu'elle est un peu déçue que la réunion prévue avec la Premier ministre Jadranka Kosor n'ait pas eu lieu.

La Premier ministre a estimé que nos réunions au Parquet et au ministère de la Justice étaient suffisantes pour nourrir une forme de dialogue. Nous avons été déçus car c'est justement l'engagement du Premier ministre et du président d'un pays qui constitue les meilleurs signes de bonne volonté. Il est évident que l'instruction des crimes de guerre importe plus au président Josipović qu'à la Premier ministre Kosor", a déclaré à la fin Nicola Duckworth.




Protiv Šeksa postoji dovoljno dokaza
 

Direktorica Amnesty Internationala Nicola Duckworth potvrdila je još jednom u intervjuu za Novosti da je nužno pokretanje istrage protiv Vladimira Šeksa za zločine iz 1991.

"Vjerujemo, ponavljam, kako već postoji dovoljno dokaza za pokretanje istrage, dobro znamo od tužiteljstva sa suđenja Branimiru Glavašu da je Vladimir Šeks svjedočio kako je bio u poziciji zapovijedanja u Osijeku 1991. godine, kad su počinjeni mnogi ratni zločini. To je temelj, dovoljan dokaz da se pokrene istraga protiv Šeksa", rekla je u razgovoru za današnje izdanje zagrebačkih Novosti programska direktorica Amnesty Internationala za Europu i središnju Aziju Nicola Duckworth koja je 8. prosinca prošle godine u Zagreb donijela izvještaj s ključnim imenima čija se umiješanost u ratne zločine sustavno, više od desetljeća i pol, ne istražuje. Riječ je o Tomislavu Merčepu, Vladimiru Šeksu i Davoru Domazetu Loši.

Samo dva dana nakon izvještaja Amnestyja Tomislav Merčep je završio u pritvoru, a Duckworth i mjesec dana kasnije inzistira na odgovorima hrvatskih institucija. Kako je otkrila u razgovoru, mogući razlog je upravo zbog toga jer se Šeks nalazi na visokoj poziciji u Hrvatskoj.

"Svjesni smo da se radi o vrlo utjecajnom političaru u Hrvatskoj, koji je to dugi niz godina. Pozicija zapovjedne odgovornosti otvara mogućnost da se procesuira ljude koji su bili na vlasti, koji su znali ili su trebali znati za ratne zločine. Slična je situacija i s Domazet Lošom", tvrdi Duckworth za Novosti dodajući kako bi eventualno zbog neprocesuiranja ratnih zločina Hrvatska mogla opet upasti u probleme prilikom ulaska u Europsku uniju.

S druge pak strane u Amnestyju su uvjereni da ako bi se istrage otvorile i to potaknute gomilom javno dostupnih dokaza, bio bi to vrlo pozitivan signal da se Hrvatska riješila jednog od najtežih naslijeđa iz prošlosti odnosno da je utvrdila odgovornost ne samo nižih razina vlasti.

Na izravan upit novinara Novosti smatra li da bi bilo lakše otvoriti istragu protiv Šeksa da on nije utjecajan političar, čelnica AI-a je čvrsta u svom stavu o velikom utjecaju vrha politike.

"Svjesni smo da se radi o vrlo utjecajnom političaru u Hrvatskoj, koji je to dugi niz godina. Pozicija zapovjedne odgovornosti otvara mogućnost da se procesuira ljude koji su bili na vlasti, koji su znali ili su trebali znati za ratne zločine. Slična je situacija i s Domazet Lošom", tvrdi Duckworth za Novosti dodajući kako bi eventualno zbog neprocesuiranja ratnih zločina Hrvatska mogla opet upasti u probleme prilikom ulaska u Europsku uniju.

S druge pak strane u Amnestyju su uvjereni da ako bi se istrage otvorile i to potaknute gomilom javno dostupnih dokaza, bio bi to vrlo pozitivan signal da se Hrvatska riješila jednog od najtežih naslijeđa iz prošlosti odnosno da je utvrdila odgovornost ne samo nižih razina vlasti.

Na izravan upit novinara Novosti smatra li da bi bilo lakše otvoriti istragu protiv Šeksa da on nije utjecajan političar, čelnica AI-a je čvrsta u svom stavu o velikom utjecaju vrha politike.

"Kad pogledate uzorak suđenja za ratne zločine, vidite koliko je tamo više niskorangiranih zapovjednika, od onih koji i danas zauzimaju važne pozicije na vlasti. Suđenje Glavašu pokazalo je sve teškoće u privođenju pravdi onoga tko je u poziciji moći. Takvo suđenje frustrira. Jasno je da ljudi s više moći, ako tu moć zlorabe, mogu blokirati sudski postupak", tvrdi Duckworth dodajući kako je pomalo razočarana da nije došlo do dogovorenog sastanka s premijerkom Jadrankom Kosor.

"Premijerka je smatrala kako su naši sastanci u Državnom odvjetništvu i Ministarstvu pravosuđa bili dovoljni da zadovolje formu dijaloga. Bili smo razočarani, jer je upravo angažman premijera i predsjednika neke zemlje najjasniji znak dobre volje. Očito je da je procesuiranje ratnih zločina važnije predsjedniku Josipoviću nego premijerki Kosor", rekla na kraju Duckworth.


Source : h-alter.org, le 14 janvier 2010.



De temps en temps il faut regonfler la marionnette
 


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