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Balkanikum

posté le 12-11-2010 à 14:49:52

Commentaire : Qui peut encore expliquer à Jadranka Kosor ce qui saute aux yeux ?
 

Si le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, savait à quel point la chef du gouvernement croate, Jadranka Kosor, écoute peu ses conseillers économiques qu'elle a elle-même choisis, il réfléchirait sans doute à deux fois avant de gaspiller ses paroles à nous avertir par l'entremise du Gouverneur de la Banque nationale de Croatie, Željko Rohatinski, qu'on file droit à la catastrophe.

Avant que ne le fassent Trichet et la Banque centrale Européenne, d'autres institutions similaires avaient envoyé des signaux d'avertissement à la Croatie. C'est ainsi que le FMI nous avait signalé que parmi les pays européens seule la Grèce se relevait plus lentement que nous. La Banque mondiale, elle, nous avait prévenus de cesser de construire des autoroutes car nous ne pourrons par rembourser les emprunts, après quoi la chef du Gouvernement avait lancé un programme de relance économique dont l'accent était mis sur la poursuite des projets d'infrastructure.

L'agence de notation Dun&Bradstreet (D&B) dans sa toute dernière publication a revu à la baisse l'orientation de la note de la Croatie en l'attribuant à "l'instabilité politique et l'impopularité grandissante du Gouvernement". Or le ministre des Finances, Ivan Šuker, a jugé "superficielle et non fondée" cette évaluation, car selon lui "D&B n'est pas une agence de notation pertinente ni de référence".

Tout porte à croire que Trichet va être taxé lui aussi de non pertinent. En effet, d'après le président de l'Association croate des économistes, Ljubo Jurčić, lorsque Trichet dit que la Croatie est mal barrée avec une telle hausse des coûts unitaires de la main-d'oeuvre et un tel déficit budgétaire, allant de pair avec un taux de change stable, il n'entre pas au coeur du problème et ce sont les gens du cru qui connaissent la situation en Croatie.

Admettons que Jurčić ait raison lorsqu'il dit que l'avis de Trichet frise la légèreté et que Kosor doit chercher ses conseils pour la reprise économique auprès des personnes du cru. La question est alors de savoir qui sont ces personnes ?

Željko Lovrinčević, le conseiller que la Premier ministre a choisi elle-même pour intégrer son équipe, ne doit pas faire partie du lot vu que son discours lors de la 18ème Assemblée de l'Association des économistes croates à Opatija a été écouté par tous, sauf par elle.

Ce n'est pas non plus Rohatinski, sacré le meilleur gouverneur [d'une banque centrale] par le Financial Times en 2008, puisqu'il dit ne plus communiquer avec le Gouvernement depuis tout un temps. Dans le cas contraire le message de Trichet, qui date d'un peu moins de deux semaines, aurait été transmis plus tôt à celle qui a été récompensée par la revue féminine Glamour, pour être, tenez vous bien, une des 18 chefs de gouvernement dans le monde. Et cela non pas en tant que chef de gouvernement élue sinon par voie d'héritage.

Son prédécesseur et mentor Ivo Sanader pouvait justifier son manque d'écoute envers quiconque hormis ses plus proches collaborateurs par le fait qu'il avait reçu le plus grand nombre de suffrages lors des élections, ce qui lui donnait ainsi le droit de diriger le pays comme bon lui semble. Jadranka Kosor peut-elle en dire autant ?   





Komentar: Tko još Jadranki Kosor mora objasniti očigledno?
 


Da predsjednik Europske središnje banke Jean-Claude Trichet zna kako hrvatska predsjednica Vlade Jadranka Kosor ne sluša ni gospodarske savjetnike koje je sama odabrala, vjerojatno bi dvaput razmislio hoće li uopće trošiti dah da nas preko guvernera HNB-a Željka Rohatinskog upozori kako srljamo u katastrofu.

Prije Tricheta i Europske središnje banke na Hrvatsku je adresirano upozorenje još nekoliko sličnih institucija. Upozorio nas je tako MMF da se samo Grčka od europskih zemalja oporavlja sporije od nas. Svjetska banka upozorila nas je da prestanemo s gradnjom autocesta jer nećemo moći vraćati kredite, nakon čega je predsjednica Vlade donijela program gospodarskog oporavka s naglaskom na neodustajanje od infrastrukturnih projekata.

Bonitetna kuća Dun&Bradstreet (D&B) u svojoj je najnovijoj publikaciji korekciju trenda rejtinga Hrvatske iz "rastućeg" u "padajući" pripisala "političkoj nestabilnosti i sve većoj nepopularnosti Vlade", a tu argumentaciju ministar financija Ivan Šuker ocijenio je "površnom i neutemeljenom", uz ocjenu da "D&B nije relevantna ni referentna bonitetna kuća".

Nerelevantnim će se po svemu sudeći pokazati i Trichet. Predsjednik Hrvatskog društva ekonomista Ljubo Jurčić smatra da on u svojoj ocjeni da Hrvatska uz ovakav rast jediničnih troškova rada i fiskalnog deficita, u kombinaciji sa stabilnim tečajem, ne ulazi u suštinu stvari i kako stanje u Hrvatskoj trebaju znati domaći ljudi.

Pretpostavimo da je Jurčić u pravu, da je Trichetova ocjena doista paušalna i da savjete za gospodarski oporavak Kosor treba potražiti među domaćim ljudima. Postavlja se pitanje — tko su onda ti ljudi?

Željko Lovrinčević, savjetnik kojeg je premijerka sama odabrala za svoj tim, očito nije, jer njegov su govor na 18. savjetovanju Hrvatskog društva ekonomista u Opatiji slušali svi, samo ne ona.

Nije ni Rohatinski. Taj dobitnik nagrade Financial Timesa za najboljeg guvernera svijeta u 2008. kaže da već neko vrijeme ne komunicira s Vladom, inače bi Trichetovu poruku, koja datira od prije nepuna dva tjedna, i ranije prenio dobitnici "nagrade" ženskog časopisa Glamour za nevjerojatno postignuće — ona je jedna od 18 predsjednica vlada u svijetu. I to ne izabrana predsjednica Vlade, nego premijerka po naslijeđu. Njezin prethodnik i mentor Ivo Sanader manjak sluha za sve osim najbližih suradnika mogao je opravdati činjenicom da je na izborima dobio najveći postotak glasova, samim time i pravo da upravlja zemljom kako želi. Čime ga može opravdati Jadranka Kosor?

Source : business.hr, le 12 novembre 2010.

 

 

 

 

Source : pollitika.com

 

 


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posté le 11-11-2010 à 13:45:11

D'après le président de la Banque centrale européenne, la Croatie va droit à la catastrophe économique !
 

Le président de la Banque centrale européenne a adressé une message à la Premier ministre croate Jadranka Kosor par l'entremise du gouverneur Željko Rohatinski.

Opatija - Avec une telle hausse des coûts unitaires de la main-d'oeuvre et un tel déficit budgétaire, allant de pair avec un taux de change stable, la Croatie va droit à la catastrophe. C'est en tout cas ce qu'a fait savoir Jean Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne, au Gouvernement croate. Le message a été transmis par le Gouverneur de la Banque nationale de Croatie (HNB), Željko Rohatinski.

- Il y a deux semaines j'ai eu une réunion annuelle régulière avec le Président de la BCE, Trichet. A l'issue de celle-ci il m'a prié de transmettre ce message, nous a déclaré hier Rohatinski.

Par ce message Trichet ne lui aurait-il pas aussi tapé sur les doigts, puisqu'il [Rohatinski] est le premier à défendre "un tel taux de change de la kuna, c'est-à-dire aussi fort ?" 

- Trichet n'a pas voulu dire par là qu'il fallait modifier la politique du taux de change, c'est plutôt tout le reste qu'il faut adapter à un tel taux de change stable. Le taux de change, évidemment, n'est pas un but en soi, ce n'est pas la vache sacrée, mais il est le résultat de ce qui se passe dans la sphère financière. Si la HNB n'avait pas réagi pendant toutes ces années, aujourd'hui le taux de change de la kuna serait encore plus élevé et dès 2008 tout se serait effondré, dit le gouverneur.

Trichet a en fait signalé que la Croatie perd toute compétivité au point de ne plus pouvoir attirer le moindre investissement. Or ce sont justement les investissements qui selon les derniers discours gouvernementaux devraient nous permettre de sortir de la crise. Seulement voila, maintenant Trichet nous dit qu'on est dénué de toute compétivité, ce qui veut dire qu'il n'y aura aucun investissement.

Ce manque de compétitivité ressort très bien des données exposées hier par [l'économiste] Mato Crkvenac [lors des consultations traditionnelles des économistes] à Opatija. Les salaires moyens dans les entreprises publiques en Croatie sont 30% plus élevés que ceux dans les entreprises privées qui n'accusent pas de pertes. 

Ce problème du taux de change a été abordé sur un ton inhabituellement sévère par Željko Lovrinčević, conseiller auprès de la Premier ministre. Il a accusé le Gouvernement d'irresponsabilité dans la mesure où il persiste à rechercher le consensus entre tout le monde, ce qui n'est pas possible.

Licencier 25.000 personnes.

D'après lui les réformes doivent être poursuivies, par exemple en réduisant le nombre de travailleurs dans le secteur public à raison de 25.000 personnes, faute de quoi des "ajustements incontrôlés" auront lieu, ce qui se traduira soit par l'effondrement du taux de change soit par l'intervention du FMI. Les problèmes ne peuvent être résolus par de nouveaux projets de l'Etat et par l'endettement, dit Lovrinčević, qui ainsi sape le grand plan d'investissement gouvernemental de même que l'idée du ministre de l'Economie de couvrir le déficit par des emprunts.

Si le Gouvernement continue de faire la sourde oreille aux autorités locales, désormais rejointes par celles européennes, combien de temps nous reste-t-il jusqu'à la catastrophe annoncée par Trichet et de nombreux économistes croates ?

- On peut encore tenir un an, affirme le gouverneur Rohatinski.




Šef Europske banke: Hrvatska srlja prema ekonomskoj katastrofi!
 

Predsjednik Europske centralne banke je preko guvernera Rohatinskog poslao poruku Vladi Jadranke Kosor

OPATIJA - Uz ovakav rast jediničnih troškova rada i fiskalnog deficita, u kombinaciji sa stabilnim tečajem, Hrvatska ide prema katastrofi, poručio je Vladi Jean-Claude Trichet, predsjednik Europske centralne banke. Poruku je u Hrvatsku donio guverner Hrvatske narodne banke dr. Željko Rohatinski.

Prije dva tjedna imao sam redoviti godišnji sastanak s predsjednikom ECB-a Trichetom. Na kraju me zamolio da prenesem tu poruku, rekao nam je jučer Rohatinski.

Nije li Trichet tom porukom dao packu i njemu osobno, glavnom zagovorniku i branitelju “takvog”, to jest čvrstog tečaja kune?


- Trichet nije pri tome mislio da treba promijeniti politiku tečaja, nego je sve ostalo potrebno prilagoditi takvom stabilnom tečaju. Tečaj, naravno, nije sam za sebe cilj, nije on sveta krava, nego rezultat zbivanja u financijskoj sferi. Da HNB nije svih ovih godina reagirao, danas bi tečaj kune bio još jači i još bi se 2008. sve urušilo, kaže guverner.

Trichet je, u stvari, poručio da Hrvatska postaje potpuno nekonkurentna i stoga neprivlačna za bilo kakva ulaganja. A upravo su ulaganja ono što bi nas, prema najnovijoj doktrini Vlade, trebalo izvući iz krize. A sad Trichet kaže da smo potpuno nekonkurentni, što znači da nikakvih investicija neće biti.

Ta se nekonkurentnost najbolje očituje u podatku koji je jučer u Opatiji iznio dr. Mato Crkvenac: da su prosječne plaće u javnim poduzećima u Hrvatskoj 30 posto veće od prosječnih plaća u privatnim poduzećima koja nisu gubitaši.

O problemu tečaja jučer je neuobičajeno oštro progovorio i premijerkin savjetnik dr. Željko Lovrinčević, koji je optužio Vladu za nesposobnost, jer ustraje na konsenzusu svih sa svima, što je nemoguće.
Otpustiti 25.000 ljudi

Lovrinčević kaže da reforme moramo nastaviti, primjerice smanjiti broj zaposlenih u javnom sektoru za 25 tisuća, jer će u suprotnom doći do “nekontrolirane prilagodbe” koja će značiti ili rušenje tečaja ili MMF. Problemi se ne mogu riješiti novim projektima države i zaduživanjem, kaže Lovrinčević i tako pokopava Vladin veliki investicijski plan, kao i ideju ministra Šukera da deficit pokrije novim kreditima.
Rohatinski: Možemo izdržati još godinu dana!

Ne posluša li Vlada napokon što joj govore domaći, a sada i europski autoriteti, koliko je još ostalo do katastrofe koju predviđaju Trichet i brojni hrvatski ekonomisti?

- Možemo izdržati još godinu dana, kaže guverner Rohatinski

Source : jutarnji.hr, le 11 novembre 2010.

 


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posté le 11-11-2010 à 10:52:49

L'agression de Taton était préméditée
 

Selon les témoignages de certains acteurs présumés du lynchage de Brice Taton, appelés à la barre dans le cadre du procès des assassins du supporter toulousain, décédé le 29 septembre 2009, des SMS ont été échangés entre supporters serbes avant et après l’agression. « Les Français sont en ville. Informe les autres », dit un message ; « Soyez prêts aujourd'hui. Les Français sont en ville », averti un autre. Les deux témoins, qui ont mis en avant le caractère prémédité de l’affrontement, font partie des quatorze supporters du Partizan Belgrade inculpés par la justice serbe. Le procès, qui s’est déroulé en deux sessions (avril, juin), a repris lundi. Deux des quatorze inculpés sont toujours en fuite. Un verdict est attendu d'ici la fin de l'année.

Source : rmc.fr, le 11 septembre 2010.
 


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posté le 10-11-2010 à 15:14:30

Mieux qu'une mère...

 

 

 

 

 

 

 


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posté le 10-11-2010 à 11:34:07

Croatie : les homos bannis de l'équipe nationale de football
 

Le président de la fédération croate de football a provoqué la colère des associations LGBT en affirmant qu'il n'y avait pas de place pour les homosexuels dans l'équipe nationale de football.
Les associations gays et lesbiennes croates ont condamné les propos du président de la Fédération Croate de Football, Vlatko Marković, qui a affirmé qu'il n'y avait pas de place pour les homosexuels dans l'équipe nationale.

"Tant que je serais président de la Fédération croate de football, il n'y aura pas d'homosexuels jouant en équipe nationale", a déclaré Vlatko Marković dans une interview au quotidien croate Vecernji List.

Interrogé pour savoir si dans sa carrière, il avait déjà rencontré un footballeur homosexuel, il a répondu : "Heureusement, seuls les gens normaux jouent au football".

Les organisations LGBT croates ont annoncé qu'elles allaient poursuivre le responsable sportif pour discrimination et saisir l'UEFA.

Emy Ritt, co-président de la Fédération des Gay Games, a estimé que ces commentaires étaient "totalement inacceptables" et "témoignaient d'un langage et d'une pensée que nous espérions ne plus avoir cours chez les officiels du sport, et encore moins du président d'une fédération sportive nationale".

L'équipe de football nationale croate est dans le top dix du classement mondial de la FIFA.

Source : v2.e-llico.com, le 10 novembre 2010.


Vlatko Marković, icône sexuelle de la Gérontocroatie
 
 
 


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