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L'insolence de l'élite au pouvoir est sans limite. Le Gouvernement a informé les médias qu'il soumettrait au Parlement un projet afin que le référendum sur l'entrée de la Croatie dans l'UE soit organisé APRES, et non pas avant que ne soit signé le traité d'adhésion. La Premier ministre Jadranka Kosor affirme qu'il s'agit d'une petite mais significative modification !!!

Le référendum sur l'adhésion de la Croatie à l'Union européenne aura lieu après la signature du traité d'adhésion, et non pas comme cela était prévu jusqu'à présent avant que ce traité ne soit signé. Telle est la proposition que le Gouvernement au cours de sa séance d'aujourd'hui a soumise au Parlement, en proposant que soient modifiée la Déclaration sur les principes fondamentaux des négociations en vue de la pleine adhésion de la Croatie à l'UE.

"Les citoyennes et citoyens de la Croatie décideront de l'adhésion à l'UE lors d'un référendum qui aura lieu dans un délai de 30 jours à compter du jour de la signature du traité d'adhésion de la Croatie à l'UE. Après ce référendum, en fonction du résultat, le Parlement croate procédera à la ratification du Traité d'adhésion de la Croatie à l'UE", lit-on dans la proposition de modification de la Déclaration.

Jadranka Kosor a estimé qu'il s'agit d'une petite mais significative modification.

Cette propostion a par ailleurs été débattue aujourd'hui lors de la réunion à laquelle la Premier ministre a invité les présidents des partis parlementaires, mais à laquelle, comme l'a dit Kosor, tous n'étaient pas présents.






Bezobrazluku vladajuće elite nema kraja. Vlada je izvijestila medije da će se Saboru uputiti prijedlog da se referendum o ulasku u EU održi NAKON, a ne prije potpisivanja pristupnog ugovora. J.K. drži da se radi o maloj, ali značajnoj izmjeni??

Referendum o pristupanju Hrvatske unije održat će se nakon potpisivanja pristupnog ugovora, a ne kao što je do sada bilo predviđeno prije potpisivanja tog ugovora, prijedlog je koji je Vlada s današnje sjednice uputila Saboru predlažući izmjene Deklaracije o temeljnim načelima pregovora za punopravno članstvo Hrvatske u EU.

"Građanke i građani Hrvatske odlučit će o pristupanju EU na referendumu koji će se održati u roku od 30 dana od dana potpisivanja ugovora o pristupanju Hrvatske EU. Nakon referenduma, ovisno o njegovim rezultatima, Hrvatski sabor pristupit će ratifikaciji Ugovora o pristupanju Hrvatske EU", prijedlog je izmjene Deklaracije.

Jadranka Kosor ocijenila je da je riječ o maloj, ali značajnoj izmjeni.
Taj je prijedlog danas raspravljen i na sastanku na koji je premijerka pozvala predsjednike parlamentarnih stranaka, a kojem, kako je kazala Kosor, svi nisu bili nazočni.

Source : h-alter.org, le 29 octobre 2010.

Sve su srušili ali još ima nade

 

 

 

 

 

A l'école primaire Montessori de Zagreb ont été organisés des ateliers d'apprentissage pour 30 enseignants venus de Serbie.

L'école primaire Montessori de Zagreb "Barunica Dédée Vranyczany" a accueilli la semaine dernière 30 enseignants venus de Serbie. Etant donné que l'école Montessori en Croatie est la seule du genre dans la région ainsi qu'un centre d'apprentissage certifié pour cette méthode d'enseignement, les collègues des pays voisins viennent assister à ses formations et à ses ateliers d'apprentissage. En Serbie a débuté le processus devant mener à la création d'une école Montessori, probablement à Zemun et Belgrade, c'est pourquoi les enseignants de ce pays sont venus pour avoir un aperçu sur la méthode de travail.

L'école Montessori de Zagreb  a été créée en 2003 par des parents d'enfants ayant fréquenté les écoles maternelles Montessori. Désireux de continuer leur éducation selon une méthode dont ils avaient des raisons d'être satisfaits, les parents se sont regroupés au sein de l'Association des parents "Maria Montessori" à Zagreb et ainsi par leur initiative ont-ils créé cette école. Cette année 130 enfants ont été inscrits, dont un groupe maternel.  

 

Source : Zagreb News, n°232. 

 

 

Zagreb - La coalition de centre droit au pouvoir en Croatie a rejeté jeudi une motion de censure déposée par l'opposition parlementaire sur la question de la corruption et des problèmes économiques dans ce pays candidat à l'intégration européenne.

Le gouvernement du Premier ministre Jadranka Kosor, mené par l'Union démocratique croate (HDZ), a rassemblé 79 voix sur les 153 élus du parlement, démontrant qu'il devrait être en mesure de servir la totalité de son mandat jusqu'à la fin 2011.

Le dépôt de cette motion par le Parti social-démocrate (SDP) coïncidait avec le retour à l'assemblée d'Ivo Sanader, prédécesseur de Kosor, en tant que député indépendant après avoir été exclu de la HDZ en janvier.

Le gouvernement croate espère boucler ses négociations avec l'Union européenne au milieu de 2011 et intégrer le bloc communautaire en 2012 ou 2013 au plus tard.

Pour l'opposition, l'actuelle équipe dirigeante est responsable des difficultés économiques que connaît l'ancienne république yougoslave et d'un certain nombre d'affaires de corruption impliquant de hauts dirigeants et des patrons d'entreprises publiques.

Ces scandales ont éclaté au grand jour après l'arrivée de Kosor au pouvoir en juillet 2009 et le lancement d'une campagne destinée à lutter contre la corruption.

"La Croatie est devenue l'otage des luttes internes à la HDZ et cela doit cesser. C'est une honte pour la Croatie", a déclaré Zoran Milanovic, chef de file du SDP, lors du débat de 15 heures qui a précédé le vote sur la motion.

"Ce gouvernement n'a pas de capacité de réforme. Notre entrée dans l'UE est à nouveau retardée. Nous voyons constamment des enquêtes pour corruption ouvertes contre des hauts responsables du HDZ", a-t-il ajouté.

Résoudre le problème de la corruption constitue l'un des critères imposés par les Européens avant une adhésion de la Croatie. Les efforts entrepris par Kosor ont été salués par les diplomates occidentaux, mais pour le SDP les mesures ne visent que les opposants à l'intérieur de la HDZ et ceux qui se montrent critiques à l'égard du parti au pouvoir.

La Croatie est l'un des rares pays d'Europe dont l'économie va connaître une récession pour la deuxième année consécutive et la plupart des experts s'accordent à dire que le programme de relance du gouvernement se fait trop lentement.

Le nombre des réformes devrait encore se réduire en 2011 qui est une année électorale.


Source : fr.reuters.com, le 28 octobre 2010.