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Balkanikum

posté le 03-01-2012 à 15:56:08

Manifestation à Niš après le passage à tabac d’un vendeur de rue

 

Souhaitant marquer sa solidarité suite aux cruautés infligées aux vendeurs de rue de Niš par les policiers communaux, le syndicat des commerçants a annoncé qu’il organiserait une manifestation de rue, à 12h00, devant le siège de la police dans cette ville de Serbie.


Le syndicat a condamné le passage à tabac « bestial » d’un citoyen de Niš et signale que la police a outrepassé ses compétences.  


Le syndicat énonce dans un communiqué que les gens sont descendus dans la rue parce qu’il s’agit pour eux de se nourrir et de donner à manger à leur famille. Il a aussi averti que c’était la goutte qui fait déborder le vase.


« Les citoyens de Niš ne toléreront plus ce genre d’exactions qui ont lieu, en particulier contre les vendeurs de rue que maltraitent chaque jour les policiers communaux. Le syndicat des commerçants demande que soit d'urgence remis en liberté le vendeur de rue qui a été tabassé et arrêté, et nous exposerons également notre demande lors de la manifestation à Niš », lit-on dans le communiqué.


Source : 021.rs, le 2 janvier 2011.

 


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posté le 02-01-2012 à 14:03:26

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Question de vocabulaire

 

par Daniel Guérin 

 


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posté le 31-12-2011 à 20:06:31

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La grande régression 

 

par Ignacio Ramonet 

 


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posté le 30-12-2011 à 11:34:15


Zeitgeist Serbie soutient l’initiative du Centre social à Novi Sad

 

 

Difficile de fixer une date précise à cette aventure, car c’est en fait le début du mécontentement qui est né lorsque Novi Sad s’est culturellement fortement appauvrie par rapport aux époques antérieures. En tout cas une aventure sur l’amélioration des conditions de la culture qui dans cette ville s’est ramenée à une histoire de sous, à une histoire d’investissements.

 

Ces raisons ont justement fait que les jeunes artistes affirmés ou non, les travailleurs, le futur de notre ville et de notre pays, ont perdu l’occasion de montrer leur talent, leur travail et leur implication à changer l’atmosphère délétère dans laquelle les habitants de Novi Sad se sont retrouvés. Tout ce qui est resté se résume à la rencontre des jeunes dans les cafés au milieu d’une musique trop bruyante et avec au bout une note salée ou bien à se geler à ciel ouvert à la Porte catholique. On en est arrivé à ce que les jeunes ne savent pas où aller parce que tout se paie, presque chaque rafraichissement intellectuel exige de l’argent et de l’autre côté les jeunes gens talentueux et méritants n’ont nul endroit pour exposer leurs œuvres, pour montrer leur art.

 

Après des années d’impuissance et d’appel à l’aide, les jeunes et les moins jeunes ont trouvé le réconfort les uns dans les autres. Ils se sont reconnus comme des personnes qui ne veulent pas quémander mais qui veulent rendre à la ville et à la jeunesse ce qui leur a été pris. Ainsi est née l’idée de la caserne, dont on peut dire que chacun d’entre nous la porte en tête. Chacun aspire à une sorte d’espace personnel, à un sentiment chaleureux de bienvenue et de possibilités ouvertes à toutes les différences, car Novi Sad a toujours été une ville de diversité et de liberté.

 

Source : zeitgeistsrbija.org, le 28 décembre 2011.

 

 


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posté le 29-12-2011 à 12:17:22


La plus grosse erreur a été d’envoyer à la retraite les jeunes de la guerre

 

Les propos relativement sévères tenus par le nouveau ministre croate en charge des anciens combattants ont suscité de nombreuses réactions.

 

Pour rappel, dans une interview publiée mercredi dans le journal Večernji list, le ministre avait entre autre annoncé que les faux anciens combattants devront restituer les droits illégalement acquis, y compris les retraites, les logements et les actions, auxquels s’ajoutent les intérêts, ce qui a soulevé un véritable tollé parmi l’opinion, en particulier chez les anciens combattants.

 

Nous avons donc demandé l’avis de différents commandants de guerre et représentants des associations d’anciens combattants. L’ancien chef de l’état-major des forces armées croates, le général Stipetić, soutient la « juste initiative » du ministre.

 

-        Un tel geste serait le plus honnête envers les véritables anciens combattants, mais je crains que ceux qui pendant des années ont reçu des retraites indues ne seront pas en mesure de restituer l’argent. Toutefois, si on les prive d’utiliser ce droit c’est déjà une avancée positive, estime le général Stipetić. Il attribue le phénomène des faux anciens combattants au système défectueux au sein des ministères de la défense et de la police. Toutes ces années, n’importe qui a pu souscrire à quiconque l’un ou l’autre privilège, on distribuait à tire-larigot. La plus grosse erreur que cette société a commise a été de faire en sorte que les jeunes, les éléments aptes au travail, deviennent des retraités de guerre, mais c’était la politique de l’Etat. Les anciens combattants ne sont pas allés à la guerre en vue de privilèges mais par sentiment de patriotisme ou par obligation, affirme Stipetić.

 

Le commandant de la défense de Vukovar, Branko Borković, soutient en particulier l’approche selon laquelle il appartient aux commandants de guerre de consulter le registre.

 

-        Je suis d’accord pour que soient sanctionnés tous les anciens combattants qui ont utilisé des retraites ne leur appartenant pas, mais je suis aussi pour que soient sanctionnés ceux qui le leur ont permis, estime-t-il. Il y a onze ans, il avait personnellement déposé plainte contre Pavao Miljavac et Ivan Penić, alors ministres de la défense et de la police, à qui il reprochait « d’avoir élargi par règlement interne la gamme des droits des anciens combattants ayant permis l’obtention de droits illégaux auprès de certaines catégories de personnes ».  

 

Tom Kačinari, le président de la Communauté des associations des volontaires croates de la Guerre patriotique, souhaite lui aussi que soient sanctionnés les anciens combattants fictifs.

 

-        Ceux qui ont pris ce qui ne leur appartient pas doivent être identifiés et punis. Personnellement j’ai immédiatement transmis au ministère des Anciens combattants les dénonciations anonymes qui me sont parvenues, et de là ils les ont renvoyées aux instances judiciaires, déclare Kačinari. Il ne souhaite néanmoins pas que la publication du registre se transforme en cabale.

 

Ratko Dragović Klek, le secrétaire de l’association Zavjet, soutient le nouveau ministre et son initiative de publier le registre, mais "avec grand soin", de manière à ce que la sécurité des anciens combattants ne soit aucunement menacée.

 

Le président Ivo Josipović s’est lui aussi prononcé mercredi, sur Media servis : « J’ignore s’il existe quelqu’un dans le pays qui pense que les personnes qui ont obtenu le statut sur base d’une fausse documentation, de fausses déclarations, devraient conserver les privilèges. Probablement que l’on va découvrir qu’avaient le statut des personnes qui ont participé à la défense, mais pas avec les armes à la main. Ce ne sont pas pour autant des imposteurs, ni des criminels ni des voleurs. »

 

Source : vecernji.hr, le 29 décembre 2011.

 


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