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Balkanikum

posté le 07-01-2011 à 23:57:41

Orco: la police enfonce le clou
 

Les déboires judiciaires de Jean-François Ott, PDG de la société luxembourgeoise Orco Property Group, n'en sont manifestement qu'à leurs débuts en Croatie.

Mercredi soir, la télévision d'État affirmait que la police croate soupçonnait le Français de détournement de fonds. Jean-François Ott avait été entendu mardi soir à Zagreb dans le cadre d'une enquête sur le complexe hôtelier Suncani Hvar, fortement endetté, et dont il est l'actionnaire principal.
«La police l'a interrogé en tant que simple témoin, et maintenant ils le considèrent comme un suspect», expliquait hier au Quotidien Petra Svenkova, directrice de la communication du groupe. Jean-François Ott a expliqué hier à l'AFP qu'il était accusé de «détournement de fonds sur des surpaiements qu'on aurait fait avec certains fournisseurs» sur la base d'une plainte anonyme. «Cela semble typiquement un employé mécontent qui avait envie de faire des accusations fallacieuses pour faire du mal à ceux qui sont aujourd'hui les patrons de la boîte.» Et Petra Svenkova d'ajouter: «Nous avons investi 100 millions d'euros dans ce projet, cela n'aurait aucun sens de prendre deux millions d'euros!». D'autant que Jean-François Ott n'a aucune fonction exécutive dans la société Suncani Hvar.

Cette affaire judiciaire intervient sur fond de querelles entre Orco et le Fonds croate des privatisations dépendant directement du gouvernement. Orco lui reproche de ne pas avoir versé les investissements nécessaires et d'entraver la restructuration de Suncani Hvar.

Source : lequotidien.lu, le 7 janvier 2011.
 


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posté le 07-01-2011 à 21:39:06

Je viens enfin de trouver un article qui prouve que quelqu'un dans la région a remarqué que quelque chose se passait. L'honneur revient au Dvevni Avaz.

 

 

Alžir: Protesti zbog rasta cijena i nezaposlenosti


Dodatno obezbjeđenje postavljeno je u lokalnoj policijskoj stanici, novom tržnom centru i velikom hotelu nedaleko od aerodroma Bab Ezuar. Oko kompleksa obližnjeg univerziteta postavljen je policijski kordon.

Alžirska policija danas obezbjeđuje džamije i univerzitet u glavnom gradu poslije novog nasilja tokom protesta povodom rasta cijena i nezaposlenosti. Nacionalni fudbalski savez odgodio je sve utakmice prve lige zakazane za danas i sutra poslije nemira u Alžiru i još desetak oblasti.

Oko 40 osoba mlađe dobi naoružanih bodežima upale su u radnje u gradu El Bijar kasno sinoć, opljačkale jedan restoran i ispraznile zlataru prije dolaska snaga reda, izjavili su očevici. Noćas je u predgrađu Bab el Ued bilo novih sukoba, a policija je ispalila suzavac da bi rastjerala demonstrante koji su bacali molotovljeve koktele. Policija je danas raspoređena u tri siromašna okruga glavnog grada kako bi spriječila izbijanje nemira poslije redovne molitve petkom, navodi se u izvještajima sa lica mjesta.

Dodatno obezbjeđenje postavljeno je u lokalnoj policijskoj stanici, novom tržnom centru i velikom hotelu nedaleko od aerodroma Bab Ezuar. Oko kompleksa obližnjeg univerziteta postavljen je policijski kordon. Putnici navode da je put između prestonice Alžira i istočnih naselja na obali blokiran od juče, kada su demonstranti postavili barikade i sukobili se sa snagama reda.

Protesti su počeli zbog poskupljenja osnovnih prehrambenih proizvoda za oko 30 procenata ovog mjeseca, rasta nezaposlenosti i slabe socijalne zaštite građana.

Source : dnevniavaz.ba, le 7 janvier 2011.

 

Intifada tunisienne sur alterinfo.net

 

 

 


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posté le 07-01-2011 à 15:18:38

 
 
De nouveaux communistes : Le Parti du Travail appelle à la résistance armée contre le capitalisme
 
 

La ville de Tuzla en Bosnie-Herzégovine - connue pour son sel - a été tapissée d'affiches appelant à la révolution par des anonymes. On sait seulement que derrière cette petite action nocturne se cachent les activistes du Parti du Pravail (Partija Rada), qui a été fondé en 1992 en Serbie, mais qui visiblement aurait trouvé des sympathisants en Bosnie-Herzégovine. Il s'agit d'un parti qui se considère comme l'héritier du Parti communiste de Yougoslavie et qui a été créé par un groupe de gauchistes radicaux rassemblés autour de Vlado Dapčević, le frère du célèbre général partisan Peko Dapčević. Le Parti appelle les peuples des Balkans à prendre les armes contre le capitalisme.


Peko Dapčević

Il s'agit par conséquent d'un parti qui a pour but de se soulever contre le capitalisme et l'impérialisme - sans même exclure la résistance armée. Le programme et les buts du Parti du Travail ne différent guère de ceux que le Parti communiste de Yougoslavie s'était fixés lors de sa création en 1919. Bien entendu, vu dans le contexte actuel il s'agit d'une bataille perdue d'avance et d'une utopie de gens égarés dans le passé, ce qui n'empêche en rien d'en faire la présentation. Voyons donc ce qu'est le Parti du Travail qui vient d'appeler la ville de Tuzla à la révolution, une de plus, au moyen d'affiches.

***

- L'insatisfaction qui grandit parmi les masses - en Croatie, en Bosnie et en Serbie - démontre qu'il est possible de soumettre les masses mais qu'il est impossible de les maintenir en permanence sous le joug. La pauvreté, la misère et le désespoir générals sont ce qui poussent les masses exploitées à exprimer de plus en plus ouvertement et résolument leur opposition au système en place. En même temps, le fiasco absolu de la démocratie parlementaire, l'usurpation généralisée, la corruption de haut en bas, ainsi que les règlements de compte mutuels entre les bandits politiques, qui s'arrêtent les uns les autres, font découvrir aux masses qu'il leur faut prendre les choses en main, lit-on sur la page internet du Parti du Travail, que l'on peut trouver à l'adresse suivante : www.partijarada.org.


Le Parti du Travail souhaite étendre son action dans tous les pays nés sur les décombres de la Yougoslavie, raison pour laquelle la situation en Croatie est évoquée sur la page citée.

- Les grèves en Croatie ont pris une forme plus organisée et plus combative. En particulier la situation en Dalmatie est propice au développement d'une lutte des classes. L'économie est systématiquement détruite et pillée. Presque tous les fleurons de la production ont disparu du paysage : Dalmacija (Dugi Rat), Dalmatinka (Sinj), Trimot (Imotski), Jadrankamen (Pučišća), Greben (Vela Luka), Neptun (Komiža), Pomgrad, Tehnogradnja, Jugoplastika, Melioracija (Split)... L'asservissement de la Dalmatie s'achemine vers son ultime étape par la fermeture des chantiers navals. Lorsque des hôtels et des centres commerciaux auront été construits sur l'emplacement [du chantier naval] de Brodosplit, alors la transformation d'une économie de production saine et prospère en une main-d'oeuvre soumise et bon marché aura été achevée. La Dalmatie est avec la Slavonie la région comptant le plus de chômeurs et la plupart des travailleurs travaillent pour une bouchée de pain, en créant des profits pour les capitalistes, parmi lesquels le maire de Split. La collusion entre les oligarques et les partis politiques, derrière laquelle s'abritent les intérêts capitalistes, est directement liée aux structures politiques.


Ils disent d'eux-mêmes que leur création remonte à 1992, "lorsque la guerre a éclaté et que la République fédérale socialiste de Yougoslavie s'est désintégrée". Les fondateurs sont des gauchistes radicaux rassemblés autour de Vladimir Dapčević, et ils considèrent, comme nous l'avons dit plus haut, que par les idées qu'ils défendent ils sont les héritiers du Parti communiste de Yougoslavie "qui a mené la lutte contre le fascisme et mené la révolution socialiste."

Le Parti du travail met l'emphase sur la lutte contre le nationalisme ; ils disent être particulièrement axés sur la lutte contre "le nationalisme grand-Serbe comme étant le plus agressif et le plus puissant, celui qui a déclenché la guerre contre les autres peuples de Yougoslavie". Certaines de leurs positions pourraient être approuvées par n'importe quel politicien croate dans la mesure où le Parti du travail s'est d'abord associé à "la lutte du peuple albanais au Kosovo" puis a soutenu l'indépendance du Monténégro.

Ils ont affiché leurs objectifs sous le titre "Ce que nous voulons, ce que nous pensons". Des objectifs ainsi formulés :

1. Nous voulons le communisme.

Nous estimons que le communisme est une société libérée de toute forme d'oppression : économique, politique, nationale, culturelle et liée au sexe.  
Nous voulons le communisme - la communauté des individus libres.

2. Nous voulons le socialisme.

Nous considérons que le socialisme est la voie vers le communisme.
Nous considérons que la dictature capitaliste actuelle opprime la majorité de l'humanité et qu'elle représente une menace à la paix mondiale.
Nous considérons que le socialisme est la dictature du prolétariat, qui est un pas indispensable vers un monde sans inégalités ni dictatures. (sic)

3. Nous voulons un parti révolutionnaire.

Nous estimons que l'instauration d'un parti révolutionnaire d'avant-garde est la condition première pour une cause victorieuse.

Nous voulons un parti organisé sur le principe du centralisme démocratique dans lequel la démocratie et le centralisme ne font qu'un.

4. Nous voulons une lutte armée révolutionnaire.

Nous estimons que la classe dirigeante ne quittera le pouvoir que par la force des armes.

Préparer la fin de la classe dirigeante n'est possible que par la formation d'une pensée sociale sur la nécessité de conquérir le pouvoir par la lutte armée.
De même, nous estimons que la lutte armée doit être menée dès que les conditions auront été réunies - au plus fort de la crise sociale généralisée, c'est-à-dire lorsque la lutte armée se sera imposée par le fait de la classe dirigeante.

5. Nous voulons un front uni de la lutte contre l'impérialisme.

Nous sommes d'avis que l'impérialisme a entamé la Troisième Guerre mondiale contre les peuples opprimés du monde.
Nous estimons que la résistance à cette campagne de l'impérialisme est la question fatidique et que les différences existantes entre les forces de la résistance anti-impérialiste ne doivent pas nuire à ce front uni de la résistance.

6. Nous voulons la révolution mondiale.

Nous considérons qu'il faut attaquer l'impérialisme de tous côtés et de manière synchronisée.

Les impérialistes pensent et agissent globalement - nous sommes tenus d'agir de même.

7. Nous voulons que la politique devienne la force dominante.

Nous estimons qu'il est indispensable d'armer les masses par une juste pensée politique afin d'être en mesure de parvenir à se débarrasser de toutes les formes de politique et de pouvoir politique.

***

Pour terminer cette présentation, nous indiquons qui sont ceux que le Parti du Travail considère comme étant les ennemis des peuples des Balkans.

- les partis politiques au pouvoir et les partis d'opposition qui défendent le système capitalisme.

- les oligarques et les mafieux

- les institutions religieuses qui prêchent le cléro-fascisme.

- les médias au service du régime et des impérialistes

- l'intelligentsia qui prône le nationalisme, le chauvinisme, le fascisme et le néolibéralisme.

- les institutions financières du capital multinational - les banques.

- les garants de l'ordre - la police, les organisations paramilitaires et l'armée chargées de défendre le régime.

- l'OTAN.



NEKI NOVI KOMUNISTI: Partija rada poziva na oružani otpor kapitalizmu
 
 
Bosanskohercegovački grad soli - Tuzlu - nepoznat netko oblijepio je plakatima u kojima poziva na revoluciju. Poznato je tek da iza ove male noćne akcije stoje aktivisti Partije rada, koja je 1992. godine osnovana u Srbiji, ali svoje simpatizere očito je našla i u Bosni i Hercegovini. Riječ je o stranci koja se smatra nasljednicom Komunističke partije Jugoslavije, a osnovala ju je grupa radikalnih ljevičara okupljenih oko Vlade Dapčevića, brata proslavljenog partizanskog generala Peke Dapčevića. Balkanske narode Partija poziva na oružanu borbu protiv kapitalizma


Riječ je, dakle, o partiji koja za cilj ima otpor - ne isključujući niti oružani otpor - prema kapitalizmu i imperijalizmu. Program i ciljevi Partije rada ne razlikuju se u mnogome od onih koje je sebi pri osnivanju 1919. godine zacrtala Komunistička partija Jugoslavije. Dakako, prema sadašnjem stanju stvari čini se da je riječ o unaprijed izgubljenoj borbi i utopiji ljudi zarobljenih u prošlosti, ali to nipošto nije razlog da ih na ovom mjestu ne predstavimo. Dakle, tko je i što je Partija rada, koja je Tuzlu plakatima pozvala na još jednu revoluciju?

- Nezadovoljstvo koje raste u masama - u Hrvatskoj, BiH Srbiji, - pokazuje da se mase mogu pokoriti, ali da se ne mogu držati stalno u pokornosti. Opšte siromašenje, beda i beznađe je to što gura eksploatisane mase da otvorenije i odlučnije počnu da iskazuju svoj  otpor postojećim sistemima. Istovremeno potpuni krah parlamentarne demokratije, sveopšta otimačina, korupcija od vrha do dna, kao i međusobni obračuni političkih bandita, koji hapse jedni druge, ukazuje masama da moraju da preuzimaju stvari u svoje ruke, stoji na internet stranicama Partije rada, koje se mogu naći na adresi www.partijarada.org.


Svoje djelovanje Partija rada iz Srbije želi proširiti na sve države nastale na razvalinama Jugoslavije, pa na navedenim stranicama govori i o stanju u Hrvatskoj.

- Štrajkovi u Hrvatskoj poprimili su organizovaniji i borbeniji oblik. Posebno situacija u Dalmaciji pogoduje razvoju klasne borbe. Privreda se sistematski uništava i pljačka. S lica zemlje izbrisani su skoro svi nositelji proizvodnje: Dalmacija (Dugi Rat), Dalmatinka (Sinj), Trimot (Imotski), Jadrankamen (Pučišća), Greben (Vela Luka), Neptun (Komiža), Pomgrad, Tehnogradnja, Jugoplastika, Melioracija (Split)... Pokoravanje Dalmacije privodi se kraju gašenjem škverova. Kad se i na mjestu Brodosplita sagrade hoteli i trgovački centri, pretvaranje proizvodne privrede u uslužnu jeftinu radnu snagu bit će završeno. Dalmacija je uz Slavoniju regija s najviše nezaposlenih, a većina radnika radi za crkavicu, stvarajući profit kapitalistima. Spregom tajkuna i političkih partija iza svega stoji interes kapitala direktno povezan s političkim strukturama, navode aktivisti Partije rada.


O sebi, pak, kažu da su osnovani 1992. godine, "u trenucima izbijanja rata i raspada SFRJ." Osnivači su radikalni ljevičari okupljeni oko spomenutog Vladimira Dapčevića, a smatraju, rekosmo, da su po idejama koje zastupaju nasljednici Komunističke partije Jugoslavije "koja je vodila borbu protiv fašizma i izvela socijalističku revoluciju."

Kao jedan od svojih prioriteta Partija rada izdvaja borbu protiv nacionalizma, a kažu da su posebno fokusirani na borbu protiv "velikosrpskog nacionalizma kao najagresivnijeg i najjačeg, a koji je pokrenuo rat protiv drugih naroda Jugoslavije". Neke od njihovih stavova potpisao bi svaki hrvatski političar, jer Partija rada najprije je stala na stranu "borbe albanskog naroda na Kosovu", a potom podržala i osamostaljenje Crne Gore.

Svoje ciljeve objavili su pod naslovom "Što mi hoćemo, što mi smatramo", a u njima je zacrtano sljedeće:

ŠTA MI HOĆEMO, ŠTA MI SMATRAMO

1. Mi hoćemo komunizam.

Mi smatarmo da je komunizam društvo oslobođeno svakog vida ugnjetavanja: ekonomskog, političkog, nacionalnog, kulturnog i polnog.

Mi hoćemo komunizam – zajednicu slobodnih ljudi.

2. Mi hoćemo socijalizam.

Mi smatramo da je socijalizam put ka komunizmu.

Mi smatramo da sadašnja kapitalistička diktatura ugnjetava ogromnu većinu čovečanstva i da je pretnja svetskom miru.

Mi smatramo da je socijalizam diktatura proletarijata, koja je neophodni korak ka svetu bez neravnopravnosti i diktatura.

3. Mi hoćemo revolucionarnu partiju.

Mi smatramo da je izgradnja revolucionarne avangardne partije preduslov za uspešnu borbu.

Mi hoćemo partiju ustrojenu na principu demokratskog centralizma u kome demokratija i centralizam čine jedinstvo.

4. Mi hoćemo revolucionarnu oružanu borbu.

Mi smatramo da vladajuća klasa neće otići s vlasti bez oružane borbe.

Pripremati kraj vladajuće klase moguće je samo formiranjem društvenog mišljenja o potrebi osvajanja vlasti oružanom borbom.

Isto tako, smatramo da oružanu borbu treba voditi kada se za to steknu uslovi – u trenucima sveopšte društvene krize, odnosno kada je oružana borba nametnuta od strane vladajuće klase.

5. Mi hoćemo jedinstveni front borbe protiv imperijalizma.

Mi smatramo da je imperijalizam započeo Treći svetski rat protiv ugnjetenih naroda sveta.

Mi smatramo da je otpor ovom pohodu imperijalizma pitanje svih pitanja i da razlike među snagama antiimperijalističkog otpora ne treba da narušavaju ovaj jedinstveni front otpora.

6. Mi hoćemo svetsku revoluciju.

Mi smatramo da imperijalizam treba napadati na svim tačkama i sinhronizovano.

7. Mi hoćemo da politika postane vodećom silom.

Mi smatramo da je mase neophodno naoružati pravilnim političkim mišljenjem kako bi mogle doći do oslobođenja od svih oblika politike i političke vlasti.



Za kraj, na ovom mjestu navodimo koga Partija rada smatra glavnim neprijateljima balkanskih naroda.

- političke stranke na vlasti i oporbene stranke koje brane kapitalistički sistem

- tajkune i mafijaše

- religiozne institucije koje propovijedaju klerofašizam

- medije u službi režima i imperijalista

- inteligenciju koja zagovara nacionalizam, šovinizam, fašizam i neoliberalizam

- finansijske institucije multinacionalnog kapitala – banke

- zaštitnike poretka - policiju, paramilitarne organizacije i vojsku u odbrani režima

- NATO  

Source : lupiga.com, le 6 janvier 2011.


 

 
 
 


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posté le 06-01-2011 à 21:46:42

Aujourd'hui l'autodidacte a appris à souffler, sucer, chuinter et vuvuzeler. Rien que des choses pratiques pour son pays.
 
 

 
 


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posté le 06-01-2011 à 17:36:12

Révoltes en Tunisie et en Algérie

 

Des révoltes totalement ignorées par les médias croates, bien entendu comme pour tous les mouvements de révolte où qu'ils se passent, car il ne faudrait surtout pas donner d'idées aux lecteurs. 

 

Raison supplémentaire pour que les lecteurs croates n'aient aucune chance d'en entendre parler, cela se passe de l'autre côté de la Méditerranée, autant dire sur un astéroïde perdu à des années lumières de la Croatie (qui est pourtant elle aussi un pays méditerranéen).  

 

Toutefois ce n'est pas spécifique à la Croatie. Pas un mot non plus en Serbie, Bosnie, etc... Et cela vaut aussi pour les sites "alternatifs". 

 

 

Explosion de colère en Tunisie

Algérie : multiplication des manifestations contre le mal de vivre

 

(on voit que je cite des médias tout ce qu'il y a de plus traditionnel) 

 

Je rajoute un lien qui lui-même en contient plusieurs autres. 

 

***

 

Essayons de suivre un peu ce qui se passe même si ce n'est pas le sujet du blog. De toutes façons ça ne peut pas faire de tort, d'autant plus que la maladie des minis Etats des Balkans est le nombrilisme. Un nombrilisme pathologique qui annonce leur fin même s'ils ne s'en rendent pas comptent et ne veulent pas se l'entendre dire. Alors froissons les, ils sont là pour ça !

 

***

 

A l'heure où j'écris cette note (7 janvier 2011) je ne vois toujours aucune nouvelle en serbo-croate sur les événements en Tunisie et en Algérie. J'ai tapé les mots clés (bien entendu en serbo-croate) tels que Tunisie, Algérie + révoltes, manifestations, immolé, ect... et il n'y a rien.

 

Cette indifférence, cette apathie, ce manque de curiosité intellectuelle c'est tout ce qui qualifie les Balkans... et c'est d'autant plus choquant qu'ils sont les premiers à avoir pleurniché et à encore le faire parfois (surtout les Croates et les Bosniaques) sur le fait que durant les guerres en Yougoslavie tout le monde les a laissés tomber et que l'Occident a laissé faire sans réagir. Ils ne voient pas qu'ils sont cent fois pire en terme d'apathie.

 

Pourtant c'est la même chose. Ce sont des événements qui se passent non loin d'eux. C'est le même sort funeste qui s'abat sur les populations de la main de bourreaux professionnels. 

 

"Les autorités tunisiennes renforcent la censure en ligne" sur euronews

 

 

 

 

 


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