Une association d'anciens combattants de la guerre en Croatie de 1991-1995 a glorifié en tant que "héros" samedi un ancien général croate condamné récemment par le Tribunal pénal international (TPI) pour crimes de guerre à une longue peine de prison.
Mladen Markac a été proclamé "héros de la guerre croate pour la patrie"—comme le conflit de 1991-1995 est appelé en Croatie—pour "tout ce qu'il a fait pour l'établissement et la préservation de l'Etat croate libre et indépendant", a indiqué le président de cette association, Mladen Pavkovic.
La plaquette portant cette inscription a été remise à l'épouse de Markac, Mirjana, à Djurdjevac (est), ville natale de l'ex-général à la veille de son 56e anniversaire.
Elle représente aussi "un soutien moral au général Markac" après le verdict "inapproprié, drastique et politique" du TPI, a indiqué l'Association d'anciens combattants, personnes handicapées et veuves de la guerre pour la patrie (UBIUDR) de Koprivnica (nord) dans un communiqué.
Selon M. Pavkovic, ce geste de l'UBIUDR est soutenu par une centaine de groupes similaires.
Le TPI a condamné en avril Markac et un autre ex-général croate, Ante Gotovina, à des peines de prison de 18 et 24 ans respectivement. Un troisième inculpé a été acquitté.
Les deux ex-généraux ont été condamnés pour leur rôle dans des crimes de guerre commis contre des Serbes dans l'opération "Tempête", menée en août 1995 par les forces croates contre les séparatistes serbes de Croatie, soutenus par Belgrade. Cette opération avait précipité la fin de la guerre d'indépendance croate (1991-1995).
Au cours de cette opération, Markac était à la tête de la police spéciale.
Les verdicts contre les ex-généraux Markac et Gotovina ont choqué la Croatie. Les dirigeants politiques croates ont contesté le jugement du TPI selon lequel les deux condamnés ont participé à une "entreprise criminelle commune", tandis que des milliers de personnes ont protesté dans tout le pays contre ce verdict.
Source : portail-femme.com, le 8 mai 2011.
Alice au pays des Eurocrates
Après avoir salopé le dossier croate dans toutes ses grandes largeurs en compagnie de ses petits copains et copines (Štefan Füle, Doris Pack, Vladimir Drobnjak et toute la bande), la petite Alice Swoboda a décidé de passer de l'autre côté du miroir.
Jusque là pas de problème, chacun(e) est libre de ses actes. Le problème c'est que notre petite Alice n'a pas attendu d'avoir 12/13 ans comme toutes les bonnes petites p... qui se respectent, ni même d'avoir 14 ans en faisant de sa petite timide. Non ! Il a fallu qu'elle passe de l'autre côté une fois la bonne soixantaine tapée. Mais peu importe l'âge, ce qui nous intéresse c'est l'expérience qu'elle en a retiré. C'est pourquoi nous avons décidé de l'interviewer:
- Alors Alice c'était comment de l'autre côté du miroir, au pays des Eurocrates ?
- Merci Alice pour autant de franchise. Nous aurions espéré un peu plus de poésie, mais bon ce sera pour la prochaine fois...
Ils en ont trouvé trois.
Ouf, il était temps !
Pour ne pas être en reste avec l'hystérie collective occidentale, le Jutarnji list (le panzer de la crétinisation des masses en Croatie) s'est mis en tête de dénicher des wahhabites. Malheureusement comme ils n'ont pas pu en trouver en Croatie, et on peut être sûr qu'ils auraient payé le prix fort pour en dégotter ne fut-ce qu'un seul, il leur a fallu se rendre en Slovénie. Et là, ouf, ils en trouvé trois ! Trois vrais de vrais avec la barbe et prêts à parler devant la caméra. Mieux encore, dans une orgie de barbarie, l'un d'entre eux aurait dit regretter la mort de Ben Laden.
C'est horrible à entendre mais au moins cela met fin au suspense. Cette fois le doute n'est plus permis : les Croates sont eux aussi menacés par le fléau planétaire wahhabite qui a promis que sa vengeance serait terrible.
Ouille Seigneur, pourquoi nous as-tu abandonné dans leurs griffes ?
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