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Vesna Pešić, connue sous le pseudo de Becha, est une jeune illustratrice qui vit et travaille à Belgrade. Née en 1984 à Pančevo, elle a achevé l'école artistique secondaire à Niš. Elle a obtenu son diplôme à la Faculté des arts à Niš, orientation des arts appliqués. Actuellement elle travaille comme directrice artistique du studio Fried pictures.

Son travail se caractérise par la technique du collage.  

Note : il ne faut pas confondre cette artiste avec la politicienne du même nom, Vesna Pešić, qui a récemment démissionné du Parti libéral-démocratique (LPD) de Serbie, sous le prétexte qu'elle est malcontente, mal tout le reste et qu'en plus son pays ne fait pas encore partie de l'OTAN. 

Des analyses décevantes 

Certains médias "alternatifs" n'hésitent plus à afficher leur nombre de visites pour affirmer leur influence.

Par exemple dans la Lettre aux amis du Réseau Voltaire il est dit "Au cours des trois derniers mois nous avons réalisé plus de 3,6 millions de visites sur le site".

De même dans l'appel de Michel Collon on peut lire "Depuis septembre dernier, notre site enregistre 10 000 visites quotidiennes, en moyenne. Avec la guerre en Libye, près de 20 000 chaque jour !"

Je respecte ces sites et leurs animateurs, néanmoins la quantité n'a jamais été un critère de qualité. En particulier je suis assez déçu par leurs analyses sur l'affaire libyenne. 

Si on part du fait que l'OTAN n'est intéressée à soutenir les insurgés libyens que dans la mesure où lorsqu'ils auront conquis le pouvoir ceux-ci pourront lui offrir un avantage par rapport à la situation présente, alors il faut analyser la situation en Libye selon la situation sur le terrain qui, elle, évolue constamment au gré des offensives, de ce qui se passe à l'arrière-front et bien entendu en coulisse. Car l'OTAN, pas plus qu'autrui, n'est en mesure de prévoir comment évoluera la "révolution libyenne" lorsque les insurgés auront pris le pouvoir, s'ils devaient le prendre. Et puisque l'OTAN ne sait pas, il ne lui reste qu'à faire des prévisions qui évoluent elles-mêmes sans cesse, d'où son action sinueuse. Par conséquent toute analyse requiert pas mal de nuances que l'on ne trouvera évidemment pas dans les médias traditionnels, mais que je n'ai pas non plus trouvées dans les médias alternatifs. Du moins pas pour l'instant.

Jusqu'ici ils m'ont paru enclins aux schémas préétablis, ce qui va à l'encontre des prémisses telles qu'exposées plus haut. En résumé, faire de l'audience c'est bien, mais si c'est pour fabriquer des idiots utiles, alors mieux vaut encore ne pas avoir de lecteurs du tout. 

Séminaire en Serbie avec la maison de l'Europe - Montfort 

La Maison de l'Europe - Europe direct de Rennes et de Haute Bretagne participera à un séminaire international, du 30 juin au 7 juillet, à Belgrade (Serbie). Il réunira 40 jeunes d'Allemagne, Danemark et France, et 40 de Serbie et Macédoine, âgés de 18 à 30 ans. Le départ de Rennes aura lieu le 29 juin.

Le séminaire s'inscrit dans le cadre du programme « Jeunesse en action » qui vise à promouvoir une citoyenneté européenne active, et favoriser le dialogue entre des jeunes de pays membres de l'Union européenne et de pays non-membres ou candidats.

Un appel à candidature est lancé pour participer à cet échange de jeunes. Le Relais Europe du Pays de Montfort peut aider des jeunes de Montfort Communauté dans le cadre des aides à la mobilité.

Conditions d'inscription :

- Être âgé de 18 à 30 ans.

- Maîtriser l'anglais.

- Frais de participation : 50 € par personne.

- Envoyer un bulletin de candidature et une lettre de motivation.

- Réaliser une restitution : photographie, communiqué de presse, soirée témoignage...

Pour plus d'informations consulter le site : http://www.wavesofdemocracy2011.eu ou contacter Servanne Lerussé 02 99 09 06 50.

Source : ouest-france.fr, le 6 avril 2011. 

La première manifestation Facebook en Serbie n'a pas rencontré un grand succès. 

liens : 

• Blog de veille sur les droits de l'Homme en Serbie  
• Le Courrier des Balkans
• Balkanophonie (reportage audio)

Chaque printemps, la plupart des fleuves dans le sud de la Serbie reçoivent leur lot de détritus qui viennent décorer les branches des arbres et des taillis le long des rives. Les fortes pluies et les inondations charrient des masses de déchets vers les fleuves et les rivières sans pour autant que cela n'émeuvent les collectivités locales. Il n'est pourtant pas rare qu'elles y puisent leur eau potable. 

Les habitants sont tout aussi peu sensibilisés à cette question. C'est pourquoi ils choisissent souvent les rives de leurs fleuves qu'ils transforment en décharges sauvages.

Pour attirer l'attention sur ce problème le club de sports extrêmes de la ville de Vranje a tourné cette vidéo intitulée "Triste Morava".  

La Morava en des temps plus heureux