http://balkanikum.vefblog.net/

  VEF Blog

Balkanikum

posté le 17-09-2011 à 13:22:07

Chuuuut... Schwarzenberg fait la sieste


Après l'intervention remarquée de l'ambassadeur russe Alexandre Konouzine, le Forum de Belgrade sur la sécurité a encore été témoin d'une bizarrerie. En effet, le ministre tchèque des Affaires étrangères, Karel Schwarzenberg, en a profité pour piquer un roupillon dans son fauteuil, le visage tourné vers la salle remplie d'experts en tout genre et de caméramans. De leur côté les Tchèques n'ont pas été surpris par l'assoupissement de leur ministre puisqu'il a l'habitude de dire : "Quand ils racontent des stupidités, je m'endors".

 

Source : e-novine.com

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 17-09-2011 à 12:44:40

Croatie : pressions sur des journalistes ayant révélé la corruption, selon une ONG
 


Zagreb — Des pressions "politiques et policières" visant des journalistes ayant révélé ces derniers jours des faits présumés de corruption au sein du parti au pouvoir en Croatie ont été dénoncées vendredi par l'organisation SEEMO, un organisme de défense des médias en Europe du sud-est.

"L'Organisation pour les médias en Europe du sud-est (SEEMO) (...) condamne des pressions politiques et policières visant des journalistes ayant révélé le présumé financement illégal du parti au pouvoir (l'Union démocratique croate, HDZ)", lit-on dans un communiqué.

L'organisation dont le siège est à Vienne précise qu'un journaliste de Vecernji List, l'un des principaux quotidiens croates, Josip Bohutinski, a été convoqué "pour témoigner" jeudi par le Bureau national croate de lutte contre la corruption et le crime organisé (Uskok).

 

 

 

 

 

"La police s'attendait à ce que le journaliste révèle ses sources, mais elle n'a pas exercé de pressions sur lui. S'appuyant sur la loi sur les médias, Bohutinski n'a pas coopéré", selon la SEEMO.

"De telles campagnes sont conçues pour répandre la peur", a dénoncé Oliver Vujovic, le secrétaire général de la SEEMO. Et d'ajouter : "J'appelle la Première ministre croate (Jadranka Kosor) et l'agence Uskok à cesser d'utiliser des méthodes antidémocratiques pour faire taire les médias. Sachant que la Croatie s'apprête à rejoindre l'Union européenne, ce genre de méthodes est d'autant plus surprenante".

Des médias croates ont publié ces derniers jours une série d'articles mettant en cause la corruption au sein du HDZ (conservateurs), et notamment l'existence présumée des "caisses noires" qui auraient servi à financer des campagnes électorales de la formation aux législatives de 2003 et de 2007 et à la présidentielle de 2005.

Plusieurs millions d'euros de fonds publics ont ainsi été détournés, d'après la presse locale.

L'ancien Premier ministre et dirigeant du HDZ, Ivo Sanader, qui avait démissionné en 2009, est actuellement détenu et visé par plusieurs enquêtes pour corruption.

Le bureau de lutte contre la corruption a affirmé vendredi que des journalistes n'étaient pas convoqués en tant que suspects, mais en leur qualité de témoins, dans le cadre d'une enquête sur la "fuite" des informations.

 

 

 

 

 

Mme Kosor avait dénoncé mardi une "action orchestrée" des médias contre son parti, à deux mois et demi des législatives, prévues pour début décembre.

Elle a dit que son gouvernement ferait "des efforts pour apprendre (...) qui révèle éventuellement des témoignages (d'enquêtes)".

Mme Kosor avait été candidate du HDZ à la présidentielle de 2005.

Elle a affirmé "ne jamais avoir tiré aucun profit" illicite dans le cadre de ses fonctions et a relancé un appel à la lutte "plus déterminée" contre la corruption, qui est l'une des principales conditions posées par Bruxelles à l'adhésion de la Croatie à l'UE, attendue en juillet 2013.

 



Source : AFP, le 16 septembre 2011.

 

 

_________________________________________________________________

 

Le communiqué du SEEMO

 

SEEMO Condemns PoliticalPolice Pressure on Investigative Journalists in Croatia

 

Vienna, 16 September 2011 

 

The Vienna-based South East Europe Media Organisation (SEEMO), an affiliate of the International Press Institute, condemns political and police pressure on investigative journalists who have revealed alleged illegal financing of the governing political party.

 

On Sunday 11 September 2011, Zagreb-based daily Vecernji List carried a story on illegal party finances and electoral campaigns. On 15 September 2011, the Bureau for Combating Corruption and Organized Crime (USKOK) summoned one of the authors, Josip Bohutinski, to testify. The police expected the journalist to reveal his sources but they did not pressure him to do so. Citing media law, Bohutinski did not cooperate.

 

Croatia’s Prime Minister Jadranka Kosor, and a member of the governing party, announced that that whistleblowers had to be found and that a thorough investigation would be carried out.

 

“I strongly condemn this political and police pressure on journalists,” said Oliver Vujovic, SEEMO Secretary General. “Journalists do not have to reveal their sources and such campaigns are designed to spread fear. I call on Croatia’s Prime Minister Jadranka Kosor and the state agency USKOK   to stop using undemocratic methods to silence the media. Considering that Croatia is about to join the EU, this type of method is even more surprising.”

 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 16-09-2011 à 13:43:48

A 23 ans, il défie Ferrari et consorts avec son bolide électrique


Francfort - Rasé de près mais un peu engoncé dans son costume gris clair, Mate Rimac n'est pas peu fier en soulevant la bâche qui couvre sa création, un bolide électrique qu'il a conçu lui-même et espère vendre à de très riches millionnaires.

Devant les photographes venus en nombre assister à cette "première mondiale" à Francfort (ouest), où se déroule jusqu'au 25 septembre le salon automobile IAA, le jeune Croate de 23 ans savoure son quart d'heure de gloire.

Un néophyte prendrait son bolide pour une Ferrari : rouge vif et taillé pour la course, il trône sur un podium, encadré par deux assistantes court vêtues, comme chez les grands constructeurs.

Pourtant, cette voiture électrique sort d'un modeste atelier de la banlieue de Zagreb, le quartier général de l'entreprise de Mate Rimac, tout naturellement baptisée Rimac Automobili.

"En Croatie, tout le monde connaît mon histoire, et les gens en sont très fiers", affirme tout sourire le jeune homme.

"J'ai commencé à construire ma voiture comme un hobby", explique-t-il. Etudiant en mécanique et en électronique, il avait 19 ans lorsqu'il a commencé à modifier sa BMW.

"J'achetais des pièces disponibles pour tout un chacun sur le marché, mais très vite j'ai eu besoin de plus", et le jeune homme a commencé à développer ses propres composants.




Avec cette BMW modifiée, il a participé au rallye de voitures électrique eMiglia, 600 kilomètres dans les Alpes entre Allemagne et Italie. Il est arrivé sixième, juste derrière les Tesla Roadster, la voiture de sport électrique dans laquelle le milliardaire Warren Buffett a investi.

Pour le prototype présenté à Francfort, et que les visiteurs n'ont pas pu voir rouler, il a travaillé chaque jour "de 8 heures du matin à minuit" avec ses 25 collaborateurs.

"Je ne fais que ça, et dormir, c'est un travail énorme que de construire sa propre voiture".

D'autant que Mate Rimac est ambitieux. La voiture n'a pas moins de quatre moteurs électriques, un pour chaque roue, et pourrait rouler à 305 kilomètres heures, selon les dires de son patron.

A la place des rétroviseurs, sept caméras et un ordinateur. Les portes s'ouvrent d'un simple toucher du doigt sur la vitre.

Mate Rimac veut la commercialiser d'ici deux ans, et pense avoir trouvé de premiers clients "à Abu Dhabi", pour un prix tenu confidentiel. Il n'est d'ailleurs pas seul sur cette niche des voitures électriques de sport: à Francfort, plusieurs autres prototypes sont présentés, dont la All-Electric GT de l'espagnol Quimera ou le prototype SE de l'allemand Artega.

Le jeune entrepreneur dont les parents travaillent "dans la construction" a maintenant besoin d'argent pour poursuivre son rêve. Il cherche des investisseurs capables de lui apporter "plusieurs millions de dollars".

"Dans dix ans, je me vois toujours patron de mon entreprise", dit-il, pour "construire encore des voitures de sport, mais aussi des modèles moins chers".

Travailler pour un grand nom de l'automobile, comme Volkswagen ou Mercedes? Très peu pour lui, fier qu'il est d'avoir réussi à façonner un véhicule sans leurs moyens colossaux.

"Je suis fou d'automobile depuis toujours", se souvient Mate Rimac, qui a vécu enfant en Allemagne avant de repartir s'installer avec sa famille dans la banlieue de Zagreb.

Outre sa maîtrise de la langue, il garde un souvenir du pays de Porsche et BMW. "Je passais des heures à contempler les voitures".



Source : liberation.fr, le 14 septembre 2011.

Autre constructeur automobile zagrébois
 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 16-09-2011 à 11:42:43

L'OTAN appelle au calme au Kosovo
 
 
 
 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
posté le 15-09-2011 à 23:49:57

CROAZIA: Tangenti e mafia, e la premier Kosor indagata per fondi neri al partito
 
 
Già la chiamano la “tangentopoli croata”, qualche agenzia la definisce “piccola tangentopoli” benché le proporzioni dello scandalo che sta coinvolgendo a macchia d’olio la politica croata non siano affatto minuscole. In prima battuta ci fu nel dicembre scorso l’arresto di Ivo Sanader, primo ministro fino al 2009, per corruzione e associazione a delinquere. L’arresto di Sanader ha svelato un intreccio tra politica, mafia e finanza  che rischia di far tremare fin dalle fondamenta la giovane repubblica balcanica. Protagonisti di quell’intreccio sono i politici più in vista dell’Hdz, partito di governo fondato dall’eroe di guerra e pater patriae Franjo Tudjman. Lo stesso Tudjman, secondo un’inchiesta del settimanale austriaco Der Standard, avrebbe inaugurato nei primi anni Novanta quella politica legata a doppio filo con la criminalità organizzata che ancora oggi funesta la Croazia.

Tra i nomi eccellenti di questa cupola politico-criminale svettano quelli del ex-presidente della Repubblica, Stejpan Mesic, e dell’attuale ministro dell’Interno, Tomislav Karamarko, oltre che del già citato Sanader. Una tegola in testa all’Hdz che si presenta con le mani sporche alle ormai prossime elezioni previste per il 25 novembre. Se qualcuno, come s’usa in Italia, gridasse alla persecuzione nei confronti del partito fondato da Tudjman, si troverebbe di fronte al fatto che a indagare su questa “mani pulite” sono le procure di Vienna e Monaco di Baviera: un po’ troppo per una persecuzione.




Ora anche l’attuale premier, Jadranka Kosor, subentrata a Sanader nel 2009, si vede oggetto di un’inchiesta giudiziaria in corso su presunti fondi neri, utilizzati da Hdz per finanziare passate campagne elettorali. Nel corso di una conferenza stampa presso la sede del partito, Kosor ha voluto al suo fianco il ministro dell’Interno, Tomislav Karamarko, per ribadire “la lotta ferma e più determinata contro la corruzione”, sottolineando come “coloro che hanno abusato della loro posizione dovranno risponderne”. Il quotidiano Vecernije list, ha pubblicato stralci di verbale dell’inchiesta a carico dell’ex tesoriere di Hdz, Branka Pavosevic, la quale avrebbe tenuto sotterrati nel suo giardino i documenti che provano l’esistenza dei fondi neri, dall’ammontare di diversi milioni di euro.

Il presidente della Repubblica in carica, Ivo Josipovic, del fronte opposto a quello della Kosor, si è limitato a commentare che ”un candidato è tenuto a sapere di ogni conto e di ogni centesimo che viene speso per finanziare la sua campagna”.

Mai come oggi nella sua storia l’Hdz è in crisi, e le accuse di corruzione alla Kosor e Sanader, oltre che l’ombra della mafia che da quest’ultimo si allunga su tutto il partito, possono mettere in seria difficoltà un Paese che faticosamente arriverà all’ingresso nell’Unione Europea nel 2013: l’adesione, inizialmente prevista per il 2007, si è protratta anche a causa dell’inadeguatezza di una classe politica che ora si mostra in tutta evidenza.


Source : it.paperblog.com, le 15 septembre 2011.
 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
0 commentaire
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article