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La petite souillon politicienne qui ne sait pas se tenir en public continue d'être réprouvée par la communauté internationale et civilisée

 

 

 

 

 

 

 

À l’occasion des commémorations annuelles de la reconquête de la Krajina, la Première ministre Jadranka Kosor a salué les généraux Ante Gotovina et Mladen Markač, condamnés à de lourdes peines de prison par le TPIY, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

(Avec index.hr, B92) - Lors des commémorations centrales du 16e anniversaire de l’opération « Oluja », jeudi 8 août à Knin, la Première ministre Jadranka Kosor a déclaré : « nous ne laisserons personne réécrire l’histoire de la Croatie », tout en saluant les généraux Ante Gotovina et Mladen Markač.
Ces propos ont été tenus au cours de l’inauguration d’un monument représentant un « V » géant, oeuvre du sculpteur Peter Dolić et de l’architecte Tonko Zaninović, qui a coûté la somme de 6 millions de kunas (800.000 euros).

 

 

 

 

Le Président de la République, Ivo Josipović, a également participé aux cérémonies, déclarant que l’opération Oluja représentait « l’un des moments les plus importants de l’histoire de la Croatie ». Il a cependant ajouté qu’il voulait « célébrer non pas la guerre mais la paix ».

Les déclarations de Jadranka Kosor ont vivement choqué la Coalition des réfugiés serbes de Croatie - 200.000 d’entre eux ont été chassés lors d’Oluja. Pour sa part, Milorad Pupovac, président du Conseil national serbe de Croatie, a déclaré qu’il était « très dangereux de saluer en un tel lieu et d’une telle façon » des personnes « condamnées pour les pires crimes de guerre ».

 

 

Source : balkans.courriers.info, le 7 août 2011. 

 

Lecture sur retors.net

 

• Almir Imširević - D'après une histoire vraie
• Nina Mitrović - Ce lit est trop petit ou Juste des fragments 
• Marko Ristić - Turpitude (extrait)
• Vuk Stefanović Karadžić - La Jeune Fille plus rapide qu'un cheval
• Vuk Stefanović Karadžić - La Jeune Fille plus sage que le roi
  
• Vuk Stefanović Karadžić - Grain de Poivre
  
• Ivana Brlić Mažuranić - La Forêt de Stribor 

 

Enfin signalons dans un autre registre l'article de Wikipédia sur l'Histoire de la République de Macédoine récemment promu parmi les articles de qualité. 

En usant des plus sévères sanctions ecclésiastiques, le Vatican a pris le contrôle de l'Eglise en Croatie. En effet, la crise découlant de la restitution de terrains en Istrie a atteint son point culminant, et la télévision publique a annoncé que les évêques et les prêtres se sont vus interdire de prendre des initiatives ou de s'exprimer à propos de l'affaire Dajla.
Le Vatican n'a pas pu encaisser les critiques émanants des autorités croates, ainsi que du clergé en Croatie, et il s'en est tenu à sa décision de restituer les précieux biens aux Bénédictins italiens.


Le clergé istrien a quant à lui renoncé à sa plainte

"Le Chancelier de l'évêché de Poreč et Pula, Ilija Jakovljević, a été sommé de ne plus intervenir en public, tandis que l'évêque Ivan Milovan a révoqué le mandat confié aux avocats représentant jusqu'à présent l'évêché", annonce la télévision publique. La télévision ajoute comme information non officielle que le clergé d'Istrie a fini par renoncer à combattre par une plainte la décision juridique d'après laquelle de nombreux biens ainsi que quatre millions d'euros devaient être restitués aux Bénédictins d'Italie.
Rappelons qu'il y a trois jours la situation avait pris les allures d'un schisme au sein de l'Eglise croate, lorsque le clergé istrien, en contradiction avec la décision du Vatican, avait décidé de restituer à l'Etat [croate] les terrains religieux. 


Est-ce qu'on va au moins entendre un murmure du Kaptol ?

"Nous ne souhaitons pas prolonger les discussions. Lorsque nous aurons rendu le bien à l'Etat, nous espérons qu'une nouvelle ou vieille commission cardinalesque ne prendra pas alors une nouvelle décision, lorsqu'il n'y aura plus de propriété à Dajla, concernant l'évêché de Poreč et Pula. Nous rendons tous à l'Etat et nous le dédommagerons de tout ce que nous avons vendu. Ceci est un coup dur pour l'Eglise d'Istrie", avait déclaré jeudi Jakovljević. Mais depuis lors ni le Kaptol [les autorités religieuses catholiques croates, N.D.T.] ni le clergé ne se sont fait entendre.

En fin compte la décision du Pape est... un dogme. 



Source : index.hr, le 6 août 2011.

Le Conseil permanent de la Conférence des évêques croates a fait savoir qu’il entendait respecter la décision du Pape dans le contentieux immobilier opposant un diocèse croate à une abbaye bénédictine italienne. Cette décision aurait suscité selon un quotidien croate la colère d’une partie du clergé de l’Istrie.

L’épiscopat croate s’efforce actuellement de désamorcer la crise. Les évêques invitent la nation à renoncer à "son approche inappropriée et nuisible à toute la société". Ils se disent déterminés à cultiver et promouvoir l’unité ecclésiale, à rester fermes dans l’unité du ministère épiscopal, et à rejeter tout ce qui pourrait porter atteinte à la paix entre les fidèles, les nations et les États. Ce n’est que dans la vérité et la justice que les Croates pourront, selon eux, manifester leur attachement à leur nation.


Source : oecumene.radiovaticana.org, le 6 août 2011.

 

 

Oluja, Utoeya ista priča

Smrt fašizmu ! 

 

 

Oluja, Utoeya même cinéma

Mort au fascisme !