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Balkanikum

posté le 23-11-2009 à 22:21:11

Vote en faveur du blocage !

 

 

Après une session de deux heures et demie, la séance plénière de la Faculté de Philosophie de Zagreb a pris la décision de bloquer les facultés. 

 

La séance plénière des étudiants de la Faculté de philosophie à Zagreb a réquisitionné la plus grande salle de la faculté, et après une séance de deux heures et demie,  la décision a été prise de bloquer les cours, bien que certains participants de la séance aient proposé de transformer le blocage en une manifestation de masse. Les cours sont également bloqués par les étudiants à Split, Rijeka et Pula. 

 

Quoique le dernier blocage en date ne leur ait pas permis d'atteindre leur objectif final - l'enseignement gratuit - quelque 2.000 étudiants, le nombre s'étant rassemblé en séance dans la salle D7, ont voté en faveur du nouveau blocage. Environ 80% des étudiants se sont prononcés pour cette solution. 

 

 

Blokada izglasana ! 

 

Nakon dvoipolsatnog zazjedanja plenum zagrebačkog FF-a donio je odluku o blokadi fakulteta. 

 

Plenum studenata Filozofskog fakulteta u Zagrebu u podne je blokirao najveću dvoranu na fakultetu, a nakon dvoipolsatnog zasjedanja, donošena je odluka o blokadi nastave, iako su neki sudionici plenuma namjeravali pretvoriti blokadu u masovni prosvjed. Nastavu blokiraju i studenti u Splitu, Rijeci i Puli. 

 

Iako prošlom blokadom nisu postigli svoj konačni cilj - besplatno obrazovanje - oko 2.000 studenata, koliko ih se okupilo na plenumu u dvorani D7, izglasalo je novu blokadu. Oko 80 posto studenata glasalo je za blokadu. 

 

Source : h-alter.org, le 23 novembre 2009. 

 


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posté le 22-11-2009 à 18:12:57

La grotte de Tito à Drvar à nouveau visitée par les touristes

 

 

Le site historique et culturel de Drvar comprenant la grotte de Tito et le Centre mémorial "25 mai 1944" ont été visités entre le début de l'année et début octobre par quelque 18.000 touristes, ce qui fait un tiers de plus par rapport à la même période l'année dernière, a déclaré le président du Conseil communal de Drvar, Stevica Lukač. 

 

Lukač a déclaré à l'agence Srna que le nombre de touristes augmente d'année en année et que viennent se mêler aux visiteurs de l'ex Yougoslavie un nombre croissant de touristes venus d'Europe de l'Ouest, en particuler des Hollandais. 

 

Il a ajouté que cette ville redevient une destination prisée sur la carte touristique de la Bosnie-Herzégovine après qu'eut été reconstruite la grotte dans laquelle Josip Broz Tito s'était caché lors de l'assaut aéroporté sur Drvar, et qu'eut été rénové le Centre mémorial "25 mai 1944", réouvert le 25 mai de l'année dernière pour fêter le 65ème anniversaires de la descente allemande au cours de la Seconde Guerre mondiale. 

 

Avant la guerre la Grotte de Tito et le Centre mémorial pouvaient être visités certaines années par 200.000 touristes, ce qui faisait de Drvar un passage obligé pour bien des excursions scolaires et des circuits touristiques au travers de la Yougoslavie. Au début de la guerre civile en Bosnie-Herzégovine la grotte fut détruite en 1992. C'est en 2006 qu'elle a été rénovée avec l'aide de l'Agence américaine pour le développement international et qu'elle a été réouverte pour les touristes le 25 mai de cette même année.

 

 

 

 

 
Turisti obilaze Titovu pećinu u Drvaru

 

Kulturno-istorijske znamenitosti Drvara - Titovu pećinu i Memorijalni kompleks "25.maj 1944" od početka godine do kraja oktobra posjetilo je oko 18.000 turista, što je za trećinu više u odnosu na isti period prošle godine, rekao je predsjednik Opštinskog vijeća Drvar Stevica Lukač. 

 

Lukač je Srni rekao da se broj turista iz godine u godinu povećava, a pored gostiju iz bivših jugoslavenskih republika Drvar sve više posjećuju i turisti iz zapadnoevropskih zemalja, posebno iz Holandije. 

 

On je dodao da je nakon obnove pećine u kojoj se Josip Broz Tito krio 1944. godine u toku desanta na Drvar, i obnove i Spomen-muzeja "25. maj 1944", koji je ponovo otvoren 25. maja prošle godine na 65. godišnjicu njemačkog desanta u Drugom svjetskom ratu, ovaj grad ponovo postao poželjna destinacija na turističkoj karti BiH. 

 

Prije rata Titovu pećinu i Memorijalni kompleks godišnje je posjećivalo i do 200.000 turista, a Drvar je zbog toga bio nezaobilazni dio mnogih učeničkih ekskurzija i turističkih tura kroz Jugoslaviju. Početkom građanskog rata u Bosni i Hercegovini, pećina je porušena 1992. godine. Pećina je obnovljena 2006. uz pomoć Američke agencije za međunarodni razvoj i ponovo je otvorena za posetioce 25. maja 2006. godine, na šesdesetdvogodišnjicu desanta na Drvar. 

 

Source : e-novine.com, le 22 novembre 2009. 

 

 


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posté le 20-11-2009 à 15:13:03

Les journalistes de la HTV ont protesté contre la censure avec du sparadrad sur la bouche

 

 

Une cinquantaine de journalistes de la Télévision publique croate (HRT) se sont rassemblés devant les bâtiments à Prisavlje [siège de la télévision] et par une manifestation silencieuse "ont haussé la voix contre la censure" qui règne à la télévision publique. 

 

C'est après que la rédactrice en chef du programme d'information, Hloverka Novak Srzić, eut procédé au remplacement de la rédactrice de l'émission Dossier.hr, Ana Jelinić, qu'ils se sont décidés à manifester. 

 

Avec du sparadrap sur la bouche et des feuilles blanches agitées en l'air ils ont voulu signaler qu'ils ne leur est pas permis de parler et d'écrire sur ce dont il estime être la vérité. 

 

Parmi les manifestants figuraient certaines des personnalités les plus en vue de la HTV : Denis Latin, Zoran Šprajc, Aleksandar Stanković, Robert Zuber, Ana Jelinić et Đuro Tomljenović. 

 

"Nous sommes opposés à la censure, et pour la liberté de parole, ce qui pour l'essentiel est notre mission principale à nous les journalistes. Sur ce point il nous faut être opiniâtre, contre la censure il n'y a pas de relâchement", a déclaré Denis Latin. 

 

 

 

 

Novinari HTV-a s plasterom na ustima prosjvedovali protiv cenzure 

 

 

Pedesetak novinara HRT-a okupilo se ispred zgrade na Prisavlju i tihim prosvjedom "digli glas protiv cenzure" na javnoj televiziji. 

 

Na prosvjed su se odlučili nakon što je glavna urednica informativnog programa Hloverka Novak Srzić smijenila urednicu emisije Dossier.hr Ane Jelinić zbog teme u toj medijskoj kući. 

 

S flasterima na ustima i bijelim kartonima u zraku željeli su poručiti da im nije dopušteno govoriti i pisati ono što misle da je istina. 

 

Među prosvjednicima bili su neki najistaknutijih lica HTV-a Denis Latin, Zoran Šprajc, Aleksandar Stanković, Robert Zuber, Ana Jelinić i Đuro Tomljenović. 

 

Protiv smo cenzure, odnosno slobode govore, što je u biti i glavni zadatak nas novinara. U tome trebamo biti uporni, protiv cenzure nema odustajanja - kazao je Denis Latin. 

 

Source : jutarnji.hr, le 20 novembre 2009. 

 

 

 


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posté le 19-11-2009 à 17:14:48

Le message du cerceuil ouvert

 

 

Le summum de l'hypocrisie aura été la cérémonie d'adieux elle-même. Les gendarmes et les soldats de la garde autour du cercueil auraient dû symboliser le fait qu'il s'agit de funérailles nationales. Cependant la coutume totalement étrangère, empruntée à la Russie, que le cercueil soit transporté ouvert à travers toute la ville, a introduit quelque chose d'entièrement païen. Peut-être cela a-t-il été fait pour que plus de gens viennent assister aux adieux dans les rues de Belgrade. Pour que l'on montre que ces adieux sont plus grands que ceux réservés à Tito et à Đinđić, ou que tous ceux imaginables.   

 

Pour les gens décents il est pénible de regarder la quantité de kitsch, d'hypocrisie et d'abus que l'Eglise et l'Etat ont préparé aux citoyens de Serbie à l'heure de prendre congé du patriarche Pavle. Au lieu d'une liturgie religieuse, nous avons eu droit à un événement national du plus haut niveau. Dès l'instant où le président Tadić a accompagné la dépouille du patriarche depuis l'Hôpital militaire de Belgrade, il a été clair que nos autorités souhaitaient utiliser l'enterrement pour rehausser leur cote de confiance ébranlée, en le transformant en un événement politique de premier ordre. De façon tout à fait contraire à la Constitution et à l'esprit d'un état séculier, le président Tadić a asssisté à la séance du synode de l'Eglise orthodoxe serbe et s'est adressé à l'opinion aux côtés du métropolite Amfilohije. Le service public - ou plus exactement la télévision publique - a revêtu les présentateurs de noir, pour que leur responsable Aleksandar Tijanić, du reste connu pour sa vie prude et modeste, démontre que tous les citoyens de Serbie portent le deuil quelle que soit leur orientation religieuse, ou, ô grand Dieu, leur éventuelle posture athéiste.

 

Les commentaires dans les médias sont allés comme à l'habitude de ceux frappés d'illetrisme, où l'on a retrouvé des termes de slavon liturgique que pas même les auteurs de commentaires ne comprennent, jusqu'aux déclarations exaltées faisant état qu'un "demi million" de personnes assisteraient aux funérailles. Qui a calculé cela, on ne nous l'a pas dit. Cependant la honte a commencé à envahir les vériables croyants. Tandis qu'ils attendaient patiemment en rang devant la Cathédrale Saint-Michel-Archange de Belgrade afin de rendre hommage au patriarche, des personnalités "importantes" ont été introduites au travers des rangs. De Neda Ukraden à Biljana Plavšić. Il serait notamment intéressant de savoir en vertu de quoi Biljana Plavšić condamnée pour crimes [de guerre] a-t-elle obtenu ce droit. Ou encore les déclarations dans les médias de Luka Karadžič affirmant qu'après l'arrestation de Radovan Karadžić, il a été reçu en audience auprès du patriarche qui lui a dit "que la vérité finira par l'emporter !" Quant aux sanglots du métropolite Amfilohije et de Milorad Dodik mieux vaut ne pas en parler. 

 

Tous ont rivalisé pour se faire valoir dans l'opinion, en singeant le deuil avec hypocrisie. A cela s'est adjoint le ministère de l'Education en "recommandant" aux écoles et facultés de ne pas fonctionner. Et cela dans un pays où l'Eglise est séparée de l'Etat. Cette recommandation à elle seule mériterait de faire l'objet d'une plainte, en raison des heures perdues. 

 

Mais le summum de l'hypocrisie aura été la cérémonie d'adieux elle-même. Les gendarmes et les soldats de la garde autour du cercueil auraient dû symboliser le fait qu'il s'agit de funérailles nationales. Cependant la coutume totalement étrangère, empruntée à la Russie, que le cercueil soit transporté ouvert à travers toute la ville, a introduit quelque chose d'entièrement païen. Peut-être cela a-t-il été fait pour que plus de gens viennent assister aux adieux dans les rues de Belgrade. Pour que l'on montre que ces adieux sont plus grands que ceux réservés à Tito et à Đinđić, ou que tous ceux imaginables. Pour que l'on montre que l'idée d'un Etat séculier a été enterrée une fois pour toute, que nous nous engouffrons tout heureux dans la théocratie, dans laquelle le président du pays, pour reprendre ses propres termes, "tient ses consultations" avec le patriarche autour des questions importantes. 

 

Il semble que l'enterrement du patriarche Pavle soit également devenu une tentative d'enterrer la société moderne, laquelle au travers des siècles s'est justement bâtie en se séparant de l'Eglise. Une Eglise divisée et en brouille s'impose ainsi comme modèle d'organisation qui devrait guider la société. Et le patriarche, du reste sobre et presque ascétique, comme le chef politique le plus recommandable. 

 

Ainsi l'Etat et l'Eglise ont-ils tout trahi. La première sa propre Constitution, et la seconde l'exemple vivant de son défunt patriarche, qui n'avait pas acquis sa popularité en s'occupant de politique mais en donnant l'exemple par son mode de vie. 

 

 

 

                                           Ils sont fous ces païens !

 

 

Poruka otvorenog kovčega

 

 

Vrhunac licemerja bio je sam ispraćaj. Žandari i gardisti oko kovčega trebali su da simbolizuju da se radi o državnoj sahrani. Međutim, potpuno tuđ običaj, preuzet iz Rusije, da se kroz čitav grad nosi otvoren kovčeg, uveo je u Srbiju nešto potpuno pagansko. To je valjda učinjeno da bi više ljudi došlo na ispraćaj na ulice Beograda. Da se pokaže da je ovaj ispraćaj veći od Brozovog, i od Đinđićevog, i od svakog mogućeg. 

 

Pristojnim ljudima je teško da gledaju količinu kiča, licemerja i zloupotreba, koje su građanima Srbije priredili crkva i država, opraštajući se od patrijarha Pavla. Umesto crkvenog obreda, dobili smo državni događaj najvišeg reda. Od trenutka kaka je predsjednik Tadić ispratio telo patrijarha sa VMA u Beogradu, bilo je jasno da naša vlast želi da sahranu iskoristi za dizanje svog poljuljanog rejtinga, pretvarajući je u prvorazredni događaj. Potpuno suprotno Ustavu i duhu sekularne države, predsednik Tadić je prisustvovao sednici sinoda SPC i obratio se javnosti zajedno sa mitropolitom Amfilohijem. Javni servis ili pravilnije - državna televizija, obukla je voditelje u crninu, da bi njen rukovodilac Aleksandar Tijanić, poznat inače po skromnom i čednom životu, demonstrirao da žale svi građani Srbije, bez obzira na versko opredeljenje, ili, ne daj Bože, moguć ateistički stav. 

 

Komentari u medijima kretali su se po običaju od nepismenih, u kojima smo našli crkvenoslovenske reći koje ni pisci komentara ne razumeju, do egzaltiranih izjava da će sahrani prisustvovati "pola miliona" ljudi. Ko je to proračunao, nismo doznali. Ali stvarne vernike počeo je da obuzima sram. Dok su oni strpljivo čekali u redu pred Sabornom crkvom u Beogradu da odaju poštu patrijahu, "važne" ličnosti su uvođene preko reda. Od Nede Ukraden, do Biljane Plavšić. Posebno je zanimljivo pitanje, čime je za zločine osuđena Biljana Plavšić stekla to pravo. Ili izjave u medijima Luke Karadžića, da ga je posle hapšenja Radovana Karadžića, primio u posetu patrijarh i rekao "da će istina pobediti !" O "jecajima" mitropolita Amfilohija i Milorada Dodika, ne vredi ni govoriti.

 

Svi su se takmičali da steknu neki poen u javnosti, licemerno glumeći žalost. U to se uključio i Ministarstvo prosvete, "preporučujući" školama i fakultetima da ne rade. I to u zemlji gde je crkva odvojena od države. Samo ta preporuka zaslužuje krivičnu prijavu, zbog izgubljenih časova.

 

Ali vrhunac licemerja bio je sam ispraćaj. Žandari i gardisti oko kovčega trebali su da simbolizuju da se radi o državnoj sahrani. Međutim, potpuno tuđ običaj, preuzet iz Rusije, da se kroz čitav grad nosi otvoren kovčeg, uveo je u Srbiju nešto potpuno pagansko. To je valjda učinjeno da bi više ljudi došlo na ispraćaj na ulice Beograda. Da se pokaže da je ovaj ispraćaj veći od Brozovog, i od Đinđićevog, i od svakog mogućeg. Da je ideja sekularne države za navek sahranjena, da srećno hrlimo u teokratiju, gde se predsednik države, po svom izkazu, "konsultuje" sa patrijarhom oko važnih pitanja. 

 

Izgleda da je sahrana patrijarha Pavla postala i pokušaj sahrane modernog društva, koje se vekovima gradilo upravo odvajajući se od crkve. Podeljena i posvađana crkva nameće se tako kao model organizacije koja treba da vodi društvo. A inače lično skromni i gotovo asketski patrijarh - kao najpoželjniji politički lider.

 

I tako su država i crkva sve izneverili. Prva svoj sopstveni Ustav, a druga životni primer svog preminulog patrijarha, koji popularnost nije stekao baveći se politikom, već dajući primer stilom svog života.  

 

 

Source : e-novine.com, le 19 novembre 2009. 

 

 

 


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posté le 17-11-2009 à 23:15:26

Le journal serbe Novosti dans les kiosques croates

 

 

Dix ans après avoir été lancé sera visible dans les kiosques le journal Novosti que publie le Conseil national serbe et pour lequel écrivent certaines des meilleures plumes du journalisme et de la littérature serbe et croate. 

 

Le premier numéro de l'hebdomadaire indépendant Novosti, qui sera dans les kiosques le vendredi 4 décembre, a été présenté aujourd'hui à la Maison des journalistes par le rédacteur en chef Rade Dragojević, le président du Conseil national serbe Milorad Pupovac et le chroniqueur Viktor Ivančić. Il s'agit d'un hebdomadaire ayant à son actif plus de 500 numéros, qui paraît depuis des années en deux langues et deux alphabets, mais qui jusqu'à présent n'était pas accessible à la vente. 

 

L'apparition en kiosque est un exploit qui tranche quelque peu s'agissant de journaux des minorités, car à l'exception du journal La Voce del Popolo aucune minorité en Croatie ne publie en dehors du cadre communautaire. 

 

L'hebdomadaire tentera d'affirmer le journalisme d'analyse et d'investigation, ce dont témoigne la liste de ses collaborateursl parmi lesquels on trouve Viktor Ivančić, Marinko Čulić, Vladimir Arsenijević, Boris Rašeta, Igor Lasić, Tanja Tagirov, Jovan Hovan, Srećko Pulig, Igor Mandić, Boris Buden, Bojan Munjin, Dubravko Jagatić et d'autres. 

 

La parution du Novosti est par ailleurs liée à la manifestation Les journées de la culture serbe, qui ont lieu traditionnellement en fin d'année à Zagreb et dont le programme a également été présenté aujourd'hui. C'est ainsi que dès ce soir au Club littéraire Books sera organisée une tribune publique intitulée "Le Novosti est-il le seul média indépendant en Croatie", auquel prendront part Viktor Ivančić, Rade Dragojević et Nikica Petković. 

 

 

 

 

 

 

Srpske Novosti na hrvatskim kioscima

 

 

Deset godina nakon pokretanja na kioscima će se pojaviti list Novosti, koji izdaje Srpsko narodno vijeće i za koji pišu neka od najuglednijih imena hrvatskog i srpskog novinarstva i književnosti. 

 

Prvi broj nezavisnog tjednika Novosti, koji će se na kioscima naći u petak, 4. prosinca, danas su u Novinarskom domu predstavili glavni urednik Rade Dragojević, predsjednik Srpskog nacionalnog vijeća Milorad Pupovac te kolumnist Viktor Ivančić. Rijeć je o tjedniku s preko 500 brojeva, koji već godinama izlazi na dva jezika i dva pisma, no dosad nije bio dostupan u prodaji. 

 

Izlazak na kioske pomalo je neuobičajena pothvat za novine manjinske zajednice, jer izuzev lista La Voce del Popolo nijedna manjinska zajednica ne izlazi izvan okvira zajednice. 

 

Tjednik će afirmirati analitičko i istraživačko novinarstvo, a ilustracija toga je popis suradnika lista, među kojima su Viktor Ivančić, Marinko Čulić, Vladimir Arsenijević, Boris Rašeta, Igor Lasić, Tanja Tagirov, Jovan Hovan, Srećko Pulig, Igor Mandić, Boris Buden, Bojan Munjin, Dubravko Jagatić i drugi. 

 

Izlazak Novosti povezan je i s manifestacijom Dani srpske kulture, koji se tradicionalno krajem godine održavaju u Zagrebu, a čiji program je također danas predstavljen. Tako će već večeras u književnom klubu Booksa biti održana tribina "Jesu li Novosti jedini nezavisni medij u Hrvatskoj", na koji će sudjelovati Viktor Ivanćić, Rade Dragojević i Nikica Petković. 

 

Source : h-alter.org, le 17 septembre 2009. 

 


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