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Balkanikum

posté le 10-10-2009 à 18:05:41

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La marche de la Bosnie vers l'Europe dépend de ses dirigeants 

 


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posté le 10-10-2009 à 13:37:59

Les leaders serbes et hongrois vont débattre de la loi sur les droits des minorités

 

 

Le président de la Serbie, Boris Tadić, se rendra en visite en Hongrie les lundi et mardi afin de débattre avec le président et le Premier-ministre hongrois sur une loi relative à la minorité hongroise qui vit en Serbie, a informé vendredi le service de presse local MTI. 

 

Les Hongrois ont grand intérêt à discuter au sujet d'une loi, récemment adoptée par le Parlement à Belgrade, qui offre aux minorités ethniques une autonomie culturelle. 

 

La loi octroie aux 300.000 Hongrois qui vivent dans la province de Voïvodine, presque 4% de la population totale de la Serbie, l'opportunité d'élire un Conseil ethnique hongrois de 35 membres. 

 

Ce conseil aura droit à présenter des propositions, exprimer des opinions et décider des mesures qui affectent sa population, y compris le droit d'établir des collèges dans lesquels est enseigné le hongrois. 

 

Le président du comité des affaires extérieures du parlement hongrois, Zsolt Nemeth, a qualifié la loi d'"importante contribution pour le futur de l'ethnie hongroise en Voïvodine". 

 

Durant une session plénière du Parlement européen tenue jeudi, Csaba Tabajdi, membre hongrois, a qualifié la loi d'"exemplaire", et il a ajouté qu'elle "servira d'exemple pour beaucoup de pays de l'Union européenne". 

 

***

 

Líderes serbio i húngaro debatirán ley sobre derechos de minorías

 

 

El presidente de Serbia, Boris Tadić, visitará Hungría el lunes y el martes para debatir con el presidente y el premier húngaros una ley relacionada con la minoría húngara que vive en Serbia, segun informó el viernes el servicio de noticias local MTI.

 

Los húngaros tienen un gran interés en discutir una ley recién adoptada por el parlamento en Belgrado que ofrece a las minorías étnicas autonomía cultural.

 

La ley otorga a los 300.000 húngaros que viven en la provincia serbia de Vojvodina, casi un 4 por ciento de la población total de Serbia, la oportunidad de elegir un Consejo Etnico Húngaro de 35 miembros.

 

Este consejo tendrá derecho a presentar propuestas, expresar opiniones y decidir las medidas que afecten a su población, incluido el derecho de establecer colegios en los que enseñe en húngaro.

 

El presidente del comité de asuntos exteriores del parlamento húngaro, Zsolt Nemeth, calificó la nueva ley de "una importante contribución para el futuro de la etnia húngara de Vojvodina".

 

En una session plenaria del Parlamento Europeo el jueves, Csaba Tabajdi, miembro húngaro, calificó la ley de "ejemplar", y añadio que ésta "sentará un ejemplo para muchos países de la Unión Europea".

 

Source : spanish.peopledaily.com.en, le 10 octobre 2009. 

 


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posté le 09-10-2009 à 13:34:11

Egalement deux médecins croates sur la liste "clientièle" de Novartis

 

 

Tous les deux sont accusés d'avoir pris part à de coûteux voyages à travers le monde sur le compte de Novartis, notamment deux semaines de ski dans la station américaine d'Aspen au Colorado. 

 

Rappellons que depuis plusieurs jours le pays voisin [la Slovénie] est secouée par une grosse affaire de corruption qu'a déclenchée un ancien employé de la firme Novartis, en affirmant dans une dénonciation que le géant pharmaceutique paye des médecins à coup de dizaines de milliers d'euros, afin qu'ils procèdent à des actions de lobbying pour que les produits de cette firme finissent sur la liste officielle de l'institut national de l'assurance maladie, et qu'il leur graisse la patte avec des voyages luxueux.

 

En Croatie, outre les deux médecins, on évoque l'entremise de certains consultants d'Oktal Pharma. Le Docteur Damir Vrbanec est l'un des oncologistes les plus connus de l'Hôpital généraliste de Zagreb ; prié de commenter ces accusations il a seulement brièvement dit qu'il "ne se souvient pas d'avoir été à Aspen".

 

Le responsable du service d'oncologie à l'Hôpital généraliste de Split, Eduard Vrdoljak, a été bien plus explicite et il a tout de suite confirmé que tous les deux ont effectivement été en Amérique aux frais de Novartis. "C'est exact, nous avons été à la Breast Cancer Conference. Vous devez savoir qu'aucun médecin en Croatie ne serait jamais allé à un quelconque congrès d'importance s'il n'y avait l'industrie pharmaceutique, et le plus souvent ni même le médecin des pays occidentaux. Chez nous, qui plus est, vous n'avez aucun congrès public qui ne soit financé par l'industrie pharmaceutique", affirme Vrdoljak.

 

Il ajoute que de telles relations avec les groupes pharmaceutiques ne doivent pas être inscrites dans les déclarations du médecin, à la différence de toute relation avec des consultants. "A l'étranger les médecins remplissent un formulaire sur les conflits d'intérêts, où ils mentionnent tous les engagements sur le compte des groupes pharmaceutiques. Chez nous ce n'est pas l'habitude, mais je n'ai rien contre le fait que ce soit introduit et que tout soit transparent, car il n'y a qu'ainsi que l'on écartera tout soupçon dont font l'objet les recherches cliniques chez nous, par exemple", a déclaré Vrdoljak.

 

L'affaire a eu un fort retentissement en Slovénie, mais aussi dans toute l'UE, car l'on soupçonne que le centre de la firme en Suisse ne soit responsable de tout. En même temps l'affaire va de pair avec un scandale sur l'acquisition du vaccin de Novartis contre la pandémie de grippe en Croatie, étant donné qu'il s'est avéré que la firme s'est déchargée de sa responsabilité pour l'inefficactité et les effets secondaires du vaccin.  

 

 

 

 

 

I dvojica hrvatskih liječnika na popisu Novartisove "klijentele"

 

 

Njih dvojicu se optužuje za skupa putovanja diljem svijeta na račun Novartisa, pri čemu se apostrofira dvotjedno skijanje u luksuznom odredištu u američkom Aspenu, Colorado. 

 

Podsjetimo, susjednu državu danima trese velika korupcijska afera koju je pokrenuo bivši djelatnik tvrtke Novartis tvrdeći u prijavi da farmaceutski div plaća liječnike desecima tisuća eura, kako bi lobiraju da proizvodi ove tvrtke dospiju na službene liste nacionalnih zavoda za zdravstveno osiguranje, te da ih podmićuje luksuznim putovanjima.

 

U Hrvatskoj se, pored dvojice liječnika, spominje i posredovanje nekih konzultanata iz Oktal Pharme. Dr. Damir Vrbanec je jedan od priznatijih onkologa iz KBC-a Zagreb, a na naš upit da komentira ove optužbe samo je kratko kazao da se "ne sjeća je li bio u Aspenu". 

 

Voditelj odjel za onkologiju u KBC-u Split Eduard Vrdoljak bio je mnogo eksplicitnije, te je odmah potvrdio da su obojica doista bili u Americi o trošku Novartisa. "To je točno, bili smo na Breast Cancer Conference. Morate znati da nitko od liječnika iz Hrvatske nikada ne bi otišao na bilo kakav značajan kongres da nema farmaceutske industrije, a najčešće ni liječnik iz zapadnih zemalja. Kod nas, dapače, nemate nijedan državni kongres kojeg ne financira farmaceutska industrija", tvrdi Vrdoljak. 

 

Dodaje da se ovakav odnos s farmaceutima ne mora deklarirati u istupima liječnika, za razliku od bilo kakvog konzultantskog odnosa. "U inozemtsvu liječnici ispunpavaju formular o konfliktu interesa, gdje navode sve angažmane na račun farmaceuta. Kod nas to nije običaj, no ja nemam ništa protiv da se on uvede i da sve bude transparentno, jer jedino to može skinuti stigmu koju kod nas imaju klinička istraživanja, na primjer", kazao je Vrdoljak. 

 

Afera je u Sloveniji ali i u cijeloj EU snažno odjeknula jer se sumnja da je za sve odgovorna centrala tvrtke u Svičarskoj. Istodobno je prati skandal s nabavkom Novartisovog cjepiva protiv pandemijske gripe u Hrvatskoj, jer se pokazalo da se tvrtka odriče odgovornosti za neučinkovitost i njuspojave cjepiva. 

 

Source : business.hr, le 9 octobre 2009. 

 


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posté le 08-10-2009 à 13:05:12

La prison pour un journaliste croate

 

 

Un journaliste peut-il finir en prison, y compris pour un texte qu'il n'a pas écrit? En Croatie la réponse est - oui ! En raison d'un commentaire d'un utilisateur anonyme sur la page internet vukovarac.net Damir Fintić doit maintenant écoper de la prison et verser une amende vertigineuse. 

 

Le journaliste-blogueur et propriétaire du site internet Vukovarac.net, Damir Fintić, devra se présenter à la prison d'Osijek pour servir une peine de vingt jours de prison au motif d'avoir diffamé le maire de Vukovar et député du HDZ Vladimir Štengl ainsi que son épouse Dragica. Selon le jugement du tribunal de grande instance de Vukovar, cette diffamation a été émise dans un commentaire sur son site privé, ainsi que dans des commentaires supplémentaires laissés par d'autres, des utilisateurs anonymes, en dessous du texte.

 

La Croatie aux-côtés de pays tels que la Corée du Nord et l'Iran

 

En raison d'un commentaire publié en 2005, qui traitait de la façon dont Štengl a acquis ses biens, la famille Štengl a intenté trois poursuites pénales à l'encontre de Fintić et encore deux autres au civil et au total, pour l'instant, elle est parvenue à se faire payer 50 mille kunas comme indemnisation pour souffrances morales, et elle exige encore 200 mille kunas. L'ensemble de ses revenus ayant été bloqués en 2008, le blogueur Damir Fintić n'a pas pu verser l'année dernière trois mille kunas d'amende pour diffamation et en mai de cette année la peine a été transformée en peine de prison. D'après les données de l'association Članak 19, il n'a été enregistré en Europe aucun cas de journaliste ayant fini en prison pour diffamation. Or, passé le 27 octobre, on pourra constater qu'un tel cas vaut pour la Croatie, ainsi le pays viendra-t-il se ranger parmi ceux qui sont qualifiés d'hostile à internet, tels que l'Iran, l'Afghanistan, le Myanmar et la Corée du Nord a commenté son cas Fintić. "Je ferai quarante jours de prison à coup sûr et encore quatre mois, peut-être, comme n'importe quel autre être vivant."

 

Cas unique en Europe

 

L'association des journalistes croate (HND) a condamné la possibilité que Fintić soit peut-être le seul blogueur en Europe à finir en prison au motif de diffamation. Le vice-président de l'HND, Luko Brailo, a signalé qu'en Croatie la communication internet ne fait l'objet d'aucune régulation. "Lorsque l'on ajoute à cela la violence à laquelle les journalistes ont été exposés l'année dernière et celle-ci, alors les journalistes en Croatie se trouvent vraiment dans une situation difficile", a déclaré Brailo. 

 

La condamnation contre Fintić est définitive, il connaîtra donc la prison tant qu'il n'aura pas versé 252 mille kunas. Du reste, 20 jours derrière les barreaux valent environ trois mille kunas. 

 

 

 

 

 

Zatvor za hrvatskog novinara

 

 

Može li novinar u zatvor, čak i zbog teksta kojeg nije napisao ? U Hrvatskoj je odgovor - da ! Zbog komentara anonimnog korisnika na web-stranici vukovarac.net Damir Fintić sada mora u zatvor i platiti vrtoglavu globu.

 

Novinar-bloger i vlasnik internet domene Vukovarac.net Damir Fintić 27. listopada mora se javiti u osječku kaznionicu na odsluženje 20-dnevne zatvorske kazne zbog klevete bivšeg gradonačelnika Vukovara i zastupnika HDZ-a Vladimir Štengla i njegove supruge Dragice koja je, po presudi vukovarskog županijskog suda, objavljena u komentaru na njegovom privatnom webu, te u dodatnim anonimnim komentarima koje su ispod teksta ostavili drugi, nepoznati korisnici.

 

Hrvatska uz bok zemalja poput Sjeverne Koreje i Irana

 

Zbog komentara objavljenog 2005. godine, koji se bavi načinima na koji je Štengl stjecao imovinu, obitelj Štengl pokrenula je protiv Fintića tri kaznene te još tri građanske parnice i ukupno, do sada, uspjela ishoditi 50 tisuća kuna za naknadu duševnih boli, a potražuju još 200 tisuća kuna. Zbog blokade cjelokupnih primanja u 2008., bloger Damir Fintić nije mogao prošle godine isplatiti presuđenih tri tisuće kuna kazne zbog klevete te je ta kazna u veljači ove godine preinačena u zatvorsku kaznu. Prema statiskama udruge Članak 19 na podrućju EU-a nije zabilježen ni jedan slučaj odlaska novinara u zatvor zbog klevete, a nakon 27. listopada moći će konstatirati da je takav slučaj u Hrvatskoj, a Hrvatska će moći biti svrstana u zemlje, koje se u svijetu nazivaju internet neprijateljima, kao što su Iran, Afganistan, Burma i Sjeverna Koreja, komentirao je svoj slučaj Fintić - "Četrdeset sadašnjih dana sigurnih i još, možda, na to četiri mjeseca, odležat ću u zatvoru kao i svako drugo žive biće."

 

Usamljeni slučaj u Europi

 

Hrvatsko novinarstvo društvo osudilo je mogućnost da Fintić bude možda jedini bloger u Europi koji će morati u zatvor zbog klevete. Potpredsjednik HND-a Luko Brailo naglasio je kako u Hrvatskoj uopće nije zakonski regulirana internetska komunikacija. "Kad se tome doda nasilje kojem su novinari bili izloženi tijekom prošle i ove godine, onda se novinari u hrvatskoj doista nalaze u teškoj situaciji", izjavio je Brailo.

 

Presuda Fintiću je pravomoćna, pa će u zatvor sve dok ne isplati 252 tisuće kuna. Inače, 20 dana iza rešetaka vrijedi oko tri tisuće kuna.

 

Source : dw-world.de, le 8 octobre 2009. 

 

***

 

First Croat to go to prison for blog comment 

 

 

Vukovar resident Damir Fintić will be the first Croat and possibly the first European who will end up in jail for comments on his blog www.vukovarac.net in 2005. 

 

Fintić has been sentenced to 20 days in prison for comments written by someone else on his blog criticizing former Vukovar Mayor Vladimir Štengl and his wife Dragica. 

 

Blog visitors have written critical comments about how the Štengls acquired property. 

 

Štengl pressed three criminal and three civil charges against Fintić and demanded a total of 250,000 kunas or 33,311 Euros in damages. 

 

Considering that he had no money with which to pay the damages, Fintić decided to go to prison. 

 

He needs to check himself into Osijek prison on 27 October. After that, he will need to spend time in prison once more for a second fine connected to the Štengl case. 

 

The Croatian Journalist Association (HND) has strongly opposed prison for Fintić. It believes Fintić  could be the only blog writer to go to prison in Europe. If that happens, HND fears it will change the picture of Croatia as a country that respects freedom of expression. 

 

Fintić told the daily Novi list he had no money with which to pay damages and had refused to accept money from other people because he did not see anything wrong in opening a public forum on his blog. 

 

He added : "I wanted to offer all Vukovar residents a chance to express their opinions in public. Considering that Vukovar suffered a lot in the Homeland war in 1990s, I espected intensive comments on my blog. But I need to stress I deleted all insulting comments that expressed animosity towards anyone." 

 

The Štengl family has pressed numerous charges against blogs, the media and journalists, demanding in total almost 100,000 Euros in damages. 

 

Source : croatiantimes.com, le 8 octobre 2009. 

 

***

 

Pena de cárcel para un bloguero croata

 

 

Un periodista croata ha sido condenado a une pena de 20 dias de cárcel por un delito de calumnias contra un político local, vertidas en comentarios de terceras personas en un "blog" creado por él.

 

Un tribunal de la ciudad de Vukovar ha ordenado el ingreso en prisión de Damir Fintić después de que éste asegurara que no puede seguir pagando la multa que le impuso en 2008 por la "calumnias" sin firma aparecidas en su "blog". 

 

El periodista fue condenado entonces por un delito de atentado contra el honor de un ex alcalde de Vukovar, el conservador Vladimir Štengl, por unos comentarios que cuestionaban el modo en que Štengl y su esposa adquirieron sus actuales bienes. 

 

La sentencia condenó al periodista a indemnizar al político con 7.000 euros, lo que dejó en la ruina a Fintić, y le obligo a vivir de la caridad de amigos y de las donaciones de una red de apoyo en su favor.

 

"Fintić será posiblemente el primer blogero en Europa que vaya a la cárcel por una causa así. Se trata de un serio golpe a la libertad de expresión, si se considera que en Croacia la comunicación por internet no está regulada por la ley", dijo el presidente de la Asociación Croata de Periodistas, Zdenko Duka.

 

La asociación Croata de Periodistas destaca que Fintić nunca ofendió personalmente a Štengl o a su familia sino que solamente fundó la página web vukovarac@net. "No veo qué mal hice por haber abierto un foro en que todos los ciudadanos de Vukovar podrían comentar los acontecimientos en su ciudad", comentó Fintić para un rotativo croata.

 

Una vez que cumpla la pena de 20 días de cárcel, que comienza el 27 de octubre, Fintić tendrá que volver a la prisión por el mismo periodo al no poder hacer frente a una nueva cuota de la sanción.

 

En sus múltiples denuncias contra el periodista, la familia Štengl reclama un total de 30.000 euros de indemnización, por lo que el periodista se enfrenta a la posibilidad de pasar una larga temporada en prisión.

 

La Organización Croata de Bloggers (HBO) considera que en el proceso judicial contra Fintić fueron violados los derechos humanos y civiles básicos y el principio constitucional de la libertad de expresión.

 

Source : abc.es, le 9 octobre 2009. 

 

 

 


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posté le 07-10-2009 à 18:23:19

Novartis a versé des pots-de-vin à des médecins des Balkans pour faire la promotion de médicaments

 

 

La branche slovène de la firme pharmaceutique suisse Novartis, propriétaire de Lek, est soupçonnée d'avoir versé des pots-de-vin à des oncologistes serbes, des fonctionnaires du ministère de la Santé d'Albanie et à des amis et parents de médecins slovènes afin qu'ils prescrivent le médicament Exiade, rapporte POP TV. 

 

La police slovène a reçu une dénonciation anonyme, qui a ensuite été transmise aux organes slovènes et internationaux chargés des poursuites. 

 

Une enquête internationale élargie a été suggérée en raison du soupçon que les mêmes actes de corruption aient été commis en Bosnie-Herzégovine, Croatie, Suisse et Italie. Pour l'heure Novartis n'a fait aucun commentaire sur la dénonciation alors que les instances européennes chargée de réprimer la corruption ont étendu l'enquête en dehors de la Suisse. 

 

 

 

 

 

Novartis bribes Balkan Doctors to promote Medicines

 

 

Slovenian branch of the Swiss pharmaceutical company Novartis, owner of Lek, allegedly bribed oncologists in Serbia, officials at the Ministry of Health in Albania and friends and families of Slovenians doctors to prescribe the drug Exiade, reports POP TV. 

 

Slovenian police received an anonymous denunciation, wich was then mediated to Slovenian and international prosecution bodies. 

 

A wider international investigation was suggested due to suspicion of same acts of corruption in Bosnia and Herzegovina, Croatia, Switzerland, and Italy. Novartis has not commented on the denunciation so far, while the European body for corruption prevention expanded the investigation outside of Switzerland. 

 

Source : macedianonline.eu, le 6 octobre 2009. 

 

 

 


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