Des soldats serbes participeront à des missions de l'UE
Des officiers des forces armées serbes rejoindront la mission anti-piraterie de l'UE, « Atalanta », en Somalie et contribueront à la formation des forces de sécurité somaliennes. Un reportage d'EurActiv Serbie.
La secrétaire d'Etat serbe à la défense, Tanja Miščević, a annoncé la semaine dernière (23 septembre) qu'un groupe d'officiers rejoindrait en novembre la mission de l'Union européenne de formation des forces de sécurité en Somalie (UETM), qui se déroulera en Ouganda. Les officiers serbes prendront part à la composante navale d'Atalanta sur le navire du contingent français, a déclaré Mme Miščević. Dans la mesure où la participation des soldats serbes à des missions étrangères doit être approuvée par le parlement, généralement via l'adoption d'un plan annuel, les soldats partiront en Ouganda dans le cadre d'un accord bilatéral existant avec la France. La coopération entre l'UE et la Serbie a été rendue possible après que les deux parties ont accepté le 8 juin de coopérer dans des missions civiles et militaires. Cette décision a fait suite à un autre accord signé le 26 mai par le ministre serbe des affaires intérieures, Ivica Dačić, et la responsable de la politique étrangère de l'UE, Catherine Ashton, dans le cadre duquel Belgrade a accepté de participer à des procédures de sécurité pour l'échange et la protection d'informations classifiées. La Serbie fait partie des 20 pays qui ont signé ou sont sur le point de signer de tels accords avec l'UE. Même si elle espère rejoindre l'UE, la Serbie n'est pas obligée de prendre part aux missions militaires et civiles de l'Union. Toutefois, le responsable de la délégation de l'UE en Serbie, Vincent Degert, et Mme Ashton ont souligné qu'il s'agissait d'une étape importante dans le processus d'adhésion de la Serbie à l'UE. Au cours de sa visite à Belgrade, Mme Ashton a affirmé que la signature des accords de participation pour la coopération avec l'UE était « une étape qui rapproch[ait] la Serbie de l'Union ». Elle a ajouté : « Il s'agit d'un signe clair de confiance mutuelle ». Les soldats serbes sont également impliqués dans des missions des Nations Unies. Le 23 septembre, une section entière s'est rendue pour la première fois à Chypre. Les forces armées serbes disposent actuellement de 27 membres dans des missions de maintien de la paix dans quatre autres pays : la République démocratique du Congo, le Libéria, la Côte d'Ivoire et le Liban.
Source : euractiv.fr, le 27 septembre 2011.
M. Blazevic : «Le football croate a énormément changé»
Qu’il semble loin de temps où le Dinamo Zagreb remportait la Coupe des Villes de Foire (remplacée en 1971 par la Coupe de l’UEFA), éliminant coup sur coup la Juventus Turin, l’Eintracht Francfort et Leeds.
C’était en 1967 : une autre époque, une autre nation, un autre football. « Le football croate a énormément changé, confirme Miro Blazevic, agent de joueurs en Croatie, et fils de l’ancien sélectionneur, Miroslav Blazevic. Il a changé parce que tout a changé en Croatie ».
1991, en même temps que le football yougoslave atteint son apogée avec la victoire de l’Etoile Rouge de Belgrade en finale de la Coupe d’Europe des Clubs champions face à l’OM, la Yougoslavie explose et la guerre embrase la région. « En Croatie, tous les éléments de la société étant très liés économiquement, ces événements ont également changé le football, explique Blazevic.
Aujourd’hui, comme beaucoup de clubs n’arrivent pas à survivre, la seule solution pour eux est de faire émerger rapidement les jeunes. L’aspect négatif, c’est qu’ils ne peuvent pas les garder. » Et d’ajouter : « malgré cela, la seule chose qu’on ne pourra pas nous enlever, c’est notre technique. En France, c’est considéré comme quelque chose en trop, pour nous c’est le génie, la malice croate. » Bernard Lacombe se souvient d’un stage effectué en Yougoslavie au milieu des années 70 : « ils insistaient sur la technique avec une telle exigence , comme le faisait Pierre Pibarot chez nous. C’étaient les Brésiliens de l’Europe. Plus tard, à Bordeaux, j’ai vu Bixente Lizarazu et Christophe Dugarry travailler avec Ante Mladinic. Il envoyait le ballon contre le mur, et puis c’était: pied droit, pied gauche, contrôle orienté, extérieur, intérieur. »
De tout temps, le football balkanique a donc fait la part belle à la technique, mais pas seulement. « Avec Bordeaux, on a affronté l’Hadjuk Split en Coupe de l’UEFA en 1982-1983 (16es de finale : qualification des Girondins : 1-4, 4-0), raconte Bernard Lacombe. Aujourd’hui, le match retour se serait terminé précocement faute d’adversaires. Même Marius Trésor s’était mis en colère. Contre eux, même les matches amicaux étaient très chauds. Tout en conservant leur dominante technique, aujourd’hui, ils semblent retrouver cet engagement physique que nécessite le football moderne. »
Malgré ces progrès, Miro Blazevic souligne que si le Dinamo Zagreb est aujourd’hui le seul club croate capable de rivaliser avec les plus grandes équipes européennes, il souffre d’un championnat trop faible, d’un manque de concurrence domestique. Alors pourquoi ne pas créer une Ligue regroupant les meilleures formations anciennement yougoslaves, à l’instar de la Ligue Adriatique de Basket-ball ? « C’est encore trop tôt, explique Blazevic.
Pourtant, quand on regarde les résultats des sélections de Serbie, du Monténégro, de la Croatie, de la Slovénie, c’est incroyable. Mais on ne peut pas les assembler, il y a quelque chose qui sera toujours derrière nous, dans les têtes, qui fait partie de notre passé. Les regrouper serait compliqué car il manquerait le nationalisme indispensable aux plus grands exploits. Ce nationalisme que la Croatie avait en 1998 (demi-finaliste de la Coupe du Monde), et qui vous donne une force en plus.».
Source : olweb.fr, le 27 février 2011.
Rem : En principe je ne m'occupe pas de foot sur ce blog, mais ce discours minable valait bien que je le place dans la rubrique "gérontocroatie".
Demi finaliste de la Coupe du monde en 1998. Donc ils ne l'ont pas eu cette coupe, et pourtant les Croates n'ont pas fini d'en faire tout un plat. C'est à ça qu'on reconnaît les minables : ils regardent leur passé de minables et ils ne peuvent rien imaginer au-delà de cette frontière.
Snage sigurnosti u Manami uhapsile su 40 bahreinskih žena, među kojim sedam maloljetnica, tukli ih i maltretirali zato što su protestirale protiv djelimičnih općih izbora održanih u subotu, saopćila je u ponedjeljak glavna opoziciona grupa Al-Wefaq.
U saopćenju Al-Wefaq precizira da je "više od 40 bahreinskih žena zatvoreno u jedan trgovački centar gdje su pretučene i "ponižavane" i da je među njima bilo sedam djevočica u dobi od 12 do 15 godina.
Zbog ovog "divljačkog i nehumanog postupanja", Wefaq poziva na "trenutno oslobađanje" ovih žena koje su tražile svoje "pravo na slobodu izražavanja", a međunarodne organizacije poziva da interveniraju kako bi prekinule "flagrantno kršenje" tog prava.
Žene su uhapšene u petak kad su se okupili demonstranti da marširaju do trga Perla, koji je bio epicentar pobune polovinom marta kad su je vlasti krvavo ugušile, precizirao je lider Wefaqa Matar Matar.
On je kazao da se "neredi i demonstracije nastavljaju jer nema rješenja krize".
Učesnici u maršu su htjeli da ospore izbore održane u subotu, koje je bojkotirala opozicija, a uz pomoć kojih se željelo dobiti 18 mjesta koja su pripadala Wefaqu. Ova grupa je podnijela ostavku zbog krvavog gušenja pobune polovinom februara i marta koju su izveli šiiti, većinsko stanovništvo u zemlji.
Source : oprevolt.com, le 26 septembre 2011.
Le futur dictateur de la Corée du Nord étudie-t-il en Bosnie ?
Kim Han Sol (16), petit-fils du leader nord-coréen Kim Jong-il, s'est inscrit en sixième du Collège du monde uni de Mostar, rapporte le journal Dnevni Avaz.
Han Sol fréquentera le collège pendant deux ans aux côtés de 73 étudiants provenant de 29 pays.
Le Collège du monde uni n'a pas voulu commenter plus amplement l'information, mais l'on sait que le petit-fils du dictateur nord-coréen n'est pas encore présent sur les lieux.
Source : jutarnji.hr
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