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Balkanikum

posté le 24-05-2011 à 17:21:14

Lettre ouverte aux gens heureux
(Otvoreno pismo srećnim ljudima)
 

La rédaction d'e-novine rappelle à l'Ambassade de France à Belgrade que le détenteur de la Légion d'Honneur Emir Kusturica a accusé le site d'informations en ligne e-novine à deux reprises, en raison de textes repris à d'autres médias implantés dans le territoire de l'ex-Yougoslavie. Sachant que l'audience judiciaire est fixée pour le 8 juin 2011, la rédaction d'e-novine espère que l'Ambassade de France enverra son représentant, afin qu'il puisse mesurer la liberté des médias en Serbie.



Chère Excellence, monsieur François-Xavier Deniau,

Nous vous prions de trouver ci-joint des liens vers des articles publiés dans e-novine, au sujet de Emir Kusturica, l'homme qui a tout récemment reçu la Légion d'Honneur de la part de la République Française.

La rédaction d'e-novine estime que ce prix est une honte pour la France, un pays jusqu'à présent connu par le slogan - Liberté, Egalité, Fraternité.

En outre, la rédaction de e-novine rappelle l'ambassade de France à Belgrade que le titulaire de la Légion d'Honneur Emir Kusturica a déposé deux plaintes contre e-novine, devant le tribunal, au sujet des articles publiés dans d’autres médias de la région ex-Yougoslave et que nous avons repris sur notre site.

Ayant en vue que l'audience judiciaire est fixée pour le 8. juin 2011, nous espérons que l'ambassade de France enverra son représentant au procès, afin qu'il puisse mesurer la liberté des médias en Serbie.

Toutes les tentatives de e-novine de discuter avec l'Ambassade de France à ce sujet sont restées sans réponse à ce jour. Nous espérons que cette lettre ouverte sera le point tournant dans les relations entre notre média et votre Ambassade.

Veuillez agréer monsieur l' Ambassadeur, les assurances de ma très haute considération,

Petar Lukovic Rédacteur en chef de e-novine



***
 


Poštovana ekselencijo, gospodine Fransoa-Gzavije Denio,

U prilogu vam šaljemo linkove tekstova objavljenih u e-novinama, a koji se tiču Emira Kusturice, čoveka kojem je nedavno Francuska republika dodelila orden Legije časti.

Redakcija e-novina smatra da je ova nagrada Emiru Kusturici sramota za Francusku, zemlju doskora poznatu po sloganu – Sloboda, Jednakost i Bratstvo.
Moi je sais qui est Nemanja: Petar Luković
Photo: Dragan Kujundžić

Takođe, redakcija e-novina podseća ambasadu Francuske u Beogradu da je nosilac Legije časti Emir Kusturica dva puta tuzio e-novine, samo zbog tekstova koji su preuzeti iz drugih medija sa prostora ex-Jugoslavije.

Imajući u vidu da je sudski proces zakazan za 8. jun 2011, nadamo se da će francuska ambasada poslati svog predstavnika, kako bi ovaj bio u prilici da izmeri slobodu štampe u Srbiji.

Svi pokušaji e-novina da sa Ambasadom Francuske razgovaramo o ovom problemu, ostali su bez ikakvog odgovora. Nadamo se da će ovo otvoreno pismo biti prekretnica u odnosima našeg medija i vaše ambasade.

Izvolite primiti, gospodine François-Xavier Deniau, moje naijskrenije pozdrave,

Petar Luković
Glavni i odgovorni urednik e-novina



Source : e-novine.com, le 24 mai 2011.

 

 


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posté le 24-05-2011 à 16:15:20

Ultimate sranje of Jasranja Kosor

 

"Treba vidjeti tko može i tko smije biti procesuiran"

 

 


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posté le 24-05-2011 à 15:07:36

Il faut sauver le soldat Kadhafi

 

 

Mila Aleckovic Nikolic, mariée à Yves Bataille, un négationniste notoire concernant le massacre de Srebrenica, réitère son appui au dictateur Kadhafi.

 

Pour ce faire, elle se sert de son organisationnette "Mouvement Žene"

 

 

 

 

(en fait, elle trouve qu'il est déjà suffisamment ravagé et qu'il ne faut pas en rajouter)

 

 

 

 


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posté le 24-05-2011 à 13:24:13

Un scandale judiciaire vient conforter les esprits sceptiques envers la Croatie
 

Enfin la Croatie est parvenue a créer au sein de l'UE un climat positif pour l'adhésion. Puis c'est alors qu'un nouveau scandale judiciaire a éclaté hier en plein jour.

Zagreb/Bruxelles. Le chef de la police, Oliver Grbić, a tenu informé les hautes instances du parti au pouvoir (l'Union démocratique croate) sur des éléments d'enquête dans de nombreuses affaires. Tel est le reproche énoncé en public lundi par Damir Polančec, ancien ministre des Affaires économiques et confident de l'ancien chef du gouvernement Ivo Sanader.

A l'époque, en 2009, il existait plus de 100 plaintes visant des dirigeants politiques du HDZ. Polančec a eu un aperçu de ces plaintes et prétend avoir informé le sommet du HDZ.

"Si les accusations s'avèrent exactes, elles sont alors une attaque sérieuse contre les droits humains, l'ordre constitutionnel et politique en Croatie" a déclaré le président Ivo Josipović, qui a demandé la convocation du Conseil de sécurité nationale. La Premier ministre Jadranka Kosor (HDZ) a aussitôt marqué son accord.  

Pour rappel : Des enquêtes ont été ouvertes contre Polančec et Sanader, eux-mêmes soupçonnés d'abus de pouvoir.


Le chapitre de la Justice

Le tout récent scandale en Croatie sonne comme une note grinçante avec en coulisse les négociations d'adhésion à l'UE. Le chapitre de la justice est en effet l'un des chapitres thématiques les plus délicats. Les ministres des Affaires étrangères de l'UE se sont penchés hier dans le cadre d'un dîner sur les progrès de la Croatie dans son chemin vers l'UE. Michael Spindelegger a confirmé la position traditionnellement positive de l'Autriche concernant une admission de la Croatie : "Nous voulons aider la Croatie dans les derniers mètres avant l'achèvement des négociations", a-t-il déclaré. Le projet est d'y parvenir d'ici la mi-juin, par conséquent d'ici la fin de la présidence hongroise de l'UE. Sur l'ensemble des 35 chapitres, que Bruxelles et Zagreb doivent mener à bout, cinq sont encore ouverts.

Soutenue par la Grande-Bretagne et les Pays-Bas, la France a plaidé pour placer la Croatie sous un mécanisme de surveillance spécial entre la fin des négociations et l'adhésion effective à l'UE dans le domaine de la Justice et des droits fondamentaux. Pour Spindelegger cela ne peut être qu'un "recours ultime" et pas vraiment nécessaire.





Justizskandal stützt Kroatien-Skeptiker
 

Endlich hatte es Kroatien geschafft, in der EU positive Stimmung für den Beitritt zu machen. Doch dann kam ausgerechnet gestern ein neuer Justizskandal ans Tageslicht.

Zagreb/Brüssel. Polizei-Chef Oliver Grbic habe die Spitze der Regierungspartei HDZ (Kroatische Demokratische Gemeinschaft) laufend über Ermittlungergebnisse in zahlreichen Fällen informiert. So lautet der Vorwurf, den Damir Polancec, ehemaliger Wirtschaftsminister und Vertrauter von Ex-Regierungschef Ivo Sanader, am Montag ­publik gemacht hat.

Zu dieser Zeit, im Jahr 2009, gab es mehr als 100 ­Anzeigen gegen führende ­Politiker der HDZ. Polancec bekam Einblick in die Anzeigen und informierte nach
eigenen Angaben die HDZ-Spitze.

„Wenn die Vorwürfe stimmen, dann sind sie ein starker Schlag gegen die Menschenrechte, die verfassungsrechtliche und politische Ordnung in Kroatien", sagte Staatspräsident Ivo Josipovic, der die Einberufung des Nationalen Sicherheitsrates verlangte. ­Ministerpräsidentin Jadranka Kosor (HDZ) stimmte dem bereits zu.

Zur Erinnerung: Gegen Polancec und Sanader selbst wird wegen des Verdachts auf Amtsmissbrauch ermittelt.

Das Kapitel Justiz

Der jüngste Skandal in Kroatien ist vor dem Hintergrund der EU-Beitrittsverhandlungen pikant. Denn das Kapitel Justiz ist eines der besonders heiklen Themengebiete. Die EU-Außenminister haben sich gestern im Rahmen eines Abendessens mit Kroatiens Fortschritten auf dem Weg in die EU befasst. Michael Spindelegger untermauerte im Vorfeld Österreichs positive Haltung gegenüber einer Aufnahme des Adriastaats: „Wir wollen Kroatien auf den letzten Metern vor Abschluss der Verhandlungen helfen", sagte er. Der Plan ist, dass dieser bis Mitte Juni erfolgt, also bis zum Ende der ungarischen EU-Ratspräsidentschaft. Von den insgesamt 35 Kapiteln, die Brüssel und Zagreb durch-arbeiten müssen, sind fünf noch offen.

Frankreich hat sich mit ­Rückendeckung von Großbritannien und den Niederlanden dafür ausgesprochen, Kroatien zwischen dem Ende der Verhandlungen und dem tatsächlichen EU-Beitritt im Bereich Justiz und Grundrechte unter ein spezielles Monitoring zu stellen. Aus Sicht von Spindelegger sollte das aber nur ein „letzter Ausweg" und eigentlich nicht ­notwendig sein.


Source : wirtschaftsblatt.at, le 23 mai 2011.






 


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posté le 24-05-2011 à 11:39:49

Video

 

Faute d'habitants, des villages meurent en Serbie

 


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