JEF Srbija
Laissez parler les Biélorusses
JEF Srbija, la branche nationale serbe de l'organisation des Jeunes Européens fédéralistes, s'est jointe à l'action "Laissez parler les Biélorusses". Ainsi, elle a bâillonné des dizaines de sculptures à Novi Sad, Belgrade et Niš en signe de soutien au peuple de Biélorussie dans sa lutte pour l'un des droits humains fondamentaux : le droit à exprimer sa propre opinion.
L'action s'est déroulée pour la cinquième année consécutive et, cette année, plus de 130 villes sur trois continents y ont pris part.
Source : mojaevropa.rs, le 22 mars 2010.
Le Ministère de la Défense de la République de Croatie aurait-il menacé le locataire de l'appartement où vit la Premier ministre ?
Les frères Drobac, dans l'appartement desquels s'était installée en 1995 la Premier ministre Jadranka Kosor, avaient reçu des menaces de la part du Ministère de la Défense de la République de Croatie (MORH) parce qu'ils n'avaient pas accepté de s'installer dans un appartement vétuste et plus petit à Ivanić-Grad.
C'est ce que Momir Drobac (50 ans) a déclaré aujourd'hui pour la télévision publique croate (HTV). Ce dernier avait vécu avec son frère dans l'appartement mis en cause (90m²), situé dans la rue Šeferova.
En 1995 il lui avait été demandé par la commission du ministère de la Défense d'évacuer l'appartement afin qu'un invalide de la Guerre de la Patrie, Drago Severin, puisse s'y installer. Toutefois Severin n'avait passé que quelque mois dans l'appartement de la rue Šeferova, avant que ne vienne s'y installer Jadranka Kosor.
La Premier ministre actuelle avait pour sa part déménagé dès 1990 de Velika Gorica pour s'installer dans un appartement d'une pièce, situé au n°10 de la rue Šeferova, pour ensuite occuper l'appartement plus spacieux des frères Drobac.
Récemment le Ministère de la Défense de la République de Croatie a affirmé que cette affaire ne comportait aucun élément litigieux ni illégal.
- L'appartement à Ivanić-Grad était dans un état terrible - a déclaré Momir Drobac dans le reportage, en expliquant au journaliste Saša Kosavonić pourquoi il avait refusé de déménager. C'est ainsi qu'aujourd'hui encore il n'y a ni parquet ni chauffage, et pas même de courant depuis sept ans. Cela fait vingt ans que Momir est sans emploi.
Son frère s'est suicidé en 1999 en sautant du quatorzième étage dans la rue d'Ivanić-Grad. Quant à lui il était tombé malade dès le début des années 90, et le déménagement ne fit qu'aggraver sa situation. Depuis lors Momir Drobac n'a jamais plus mis les pieds dans la chambre de son frère.
- Momo (Momir) Drobac est notre conscience. Je serais mort de honte si j'étais Jadranka Kosor - a commenté le journaliste Drago Pilsel à propos du reportage diffusé.
MORH prijetio bivšim stanarima premijerkina stana ?
Braća Drobac, u čiji je stan 1995. uselila hrvatska premijerka Jadranka Kosor, dobivali su prijetnje iz MORH-a jer nisu pristajali na preseljenje u manji i derutan u Ivanićgradskoj.
Izjavio je to danas za HTV Momir Drobac (50), koji je sa svojim bratom živio u spornom stanu od 90 kvadrata u Šeferovoj ulici.
On je 1995. dobio zahtjev komisije Ministarstva obrane da se iseli iz stana, kako bi u njega uselio invalid Domovinskog rata Drago Severin. Međutim, Severin je u stanu u Šeferovoj proveo samo nekoliko mjeseci, a potom je u njega uselila Jadranka Kosor.
Današnja je premijerka pak još 1990. iz Velike Gorice preselila u jednosoban stan u Šeferovoj 10., da bi se potom preselila u veći stan Dropčevih.
DORH je nedavno utvrdio kako u tom slučaju nije otkriveno ništa sporno ni nezakonito.
- Stan u Ivanićgradskoj bio je u strašnom stanju - rekao je Momir u prilogu objašnjavajući novinaru Saši Kosanoviću zašto su odbijali preseljenje. Tako je i danas nema grijanja i parketa, a već sedam godina nema ni struje. Momir je već 20 godina nezaposlen.
Brat mu je 1999. godine počinio samoubojstvo skokom sa 14 kata u Ivanićgradskoj ulici. Teško se razbolio još početkom 90-ih godina, a selidba mu je samo pogoršala stanje. Otada Momir nije nijednom ušao u bratovu sobu.
- Momo Drobac je naša savjest. Umro bih od srama da se zovem Jadranka Kosor - komentirao je novinar Drago Pilsel prikazani prilog.
Source : jutarnji.hr, le 19 mars 2010.
Energie-Cités a le plaisir de vous annoncer que deux des membres d’Energie-Cités ont été sélectionnés parmi les onze villes reconnues comme les meilleures candidates au Prix de la Semaine européenne de la mobilité : Ivanić-Grad et Zagreb. La Ville d’Ivanić-Grad est nominée comme une des trois finalistes au Prix.
Le Prix récompense les villes pour les efforts remarquables qu’elles ont déployées pour la sensibilisation des citoyens aux questions de mobilité urbaine durable et leurs projets innovants pour développer une mobilité en ce sens durant la huitième édition de la Semaine européenne de la mobilité qui s’est tenue du 16 au 22 septembre dernier.
La ville lauréate du Prix sera officiellement annoncée par M. Janez Potočnik, le Commissaire européen à l’Environnement, au cours d’une prestigieuse cérémonie au Musée du Cinquantenaire à Bruxelles le 23 Mars 2010 pendant la semaine appelée Sustainable Energy Week.
Les onze villes sélectionnées sont :
Les trois finalistes sont :
La Semaine européenne de la mobilité 2009 avait comme thème ‘Un meilleur climat pour nos villes’. Ce thème offrait aux villes l’opportunité de mettre en valeur leurs efforts faits pour la lutte contre le changement climatique au niveau local et l’amélioration de la qualité de vie non seulement par la promotion des modes de transport alternatifs à la voiture particulière comme la marche, la bicyclette et le transport public, mais aussi par celle dédiée à la conduite économique, l’autopartage et le covoiturage.
En savoir plus : www.mobilityweek.eu
Source : energie-cites.eu, le 19 mars 2010
Grad Ivanić-Grad finalist Europskog tjedna kretanja
23 Velj
Objavljeno u Novosti
U razdoblju od 16. do 22. 09. 2009. godine održavao se 8. Europski tjedan kretanja. Grad Ivanić-Grad se uključio u obilježavanje uz još 2180 gradova. 40 gradova ispunilo je prijavu za nagradu u kojoj su se navodile sve aktivnosti koje su se provodile tijekom Tjedna mobilnosti kao i trajne mjere koje su poduzete (npr. izgradnja biciklističkih staza, upuštanje rubova pješačkih staza, uzdizanje pješačkih prijelaza).
Žiri je u uži izbor odabrao 11 gradova: Arenas de San Pedro, Bolonja, London, Gävle, Hamburg, Ivanić-Grad, Leon, Murcia, Ostersund, Panevežys i Zagreb, a finalisti su Gävle, Léon i Ivanić-Grad. Nagrada će biti dodijeljena 23.03.2010. u Bruxellesu, a ovih dana u Ivanić-Gradu boravi ekipa koja za Europsku komisiju snima promotivni spot o Ivanić-Gradu koji će biti emitiran na svečanoj dodjeli nagrada.
Više na službenim web stranicama Europskog tjedna kretanja: www.mobilityweek.eu
La loi croate ignore la notion de "sans-abri"
Amnesty International de Croatie poursuivra aujourd'hui la campagne "Nous réclamons la dignité", en voulant attirer l'attention sur le nombre grandissant de sans-abris à Zagreb dont l'organisation dit que personne ne s'occupe systématiquement. Sur la Place des fleurs (Cvjetni trg) seront installés des pantins de façon à symboliser l'existence difficile que traversent les sans-abris, lit-on dans le communiqué d'Amnesty International de Croatie.
La campagne, qui a pour message "Plus de droits - moins de pauvreté", durera jusqu'au 31 mars.
On y insistera sur le niveau élevé de chômage en tant que cause déterminante du chômage, mais aussi sur le réseau d'appui insuffisant. De fait, en Croatie, il n'existe pas de programme pour parer à ce problème, est-il dit dans le communiqué que rapporte l'agence nationale de presse Hina.
D'après la dernière enquête approfondie, réalisée en 2002, il existe environ 500 sans-abris en Croatie dont environ 400 rien que pour le territoire de Zagreb. Il s'agit pour la plupart d'hommes d'âge moyen, quoique le nombre de femmes "sans-abri" soit en hausse.
Amnesty International souligne les failles de la législation croate, où le concept de "sans-abri" n'existe pas, de même qu'aucune loi qui traite de cette catégorie de personnes.
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Amnesty International Hrvatske nastavit će danas kampanju "Zahtijevamo dostojanstvo", želeći upozoriti na sve veći broj beskućnika u Zagrebu kojima se, kako ističu, nitko sustavno ne bavi. Na Cvjetnom trgu bit će postavljene lutke kao simboli teškog života s kojim se suočavaju beskućnici, priopćeno je iz Amnesty Inernationala Hrvatske. | |
Kampanja, kojoj je poruka "Više prava - manje siromaštva", trajat će do 31. ožujka.
Njome će se upozoriti na visoku stopu nezaposlenosti, kao ključan uzrok zbog koga ljudi postaju beskućnici, ali i na nedostatnu mrežu potpore, jer u Hrvatskoj, kako se ističe, ne postoji program za suzbijanje tog problema, prenosi Hina.
Po posljednjem relevantnom istraživanju, provedenu 2002., u Hrvatskoj je oko 500 beskućnika, od kojih samo na području Zagreba četiri stotine. Uglavnom je riječ o muškarcima srednjih godina, iako raste i broj žena beskućnica.
Amnesty International upozorava i na kontradikcije hrvatskog zakonodavstva, u kojemu ne postoji pojam "beskućnik", odnosno niti jedan zakon koji se bavi tom kategorijom ljudi.
Source : zamirzine.net, le 18 mars 2010. |
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