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Balkanikum

posté le 09-08-2010 à 20:02:44

Stage de découverte : langues et cultures des Balkans

Langues: bosniaque - croate - serbe - monténégrin

Du lundi 23 août 2010 au vendredi 27 août 2010

Adresse: Rue du Vautour, 2 - 1000 Bruxelles (CCA)

Prix: 25 euros pour le stage.

Participation aux ateliers de conversation sur l'heure du midi: gratuit.


Niveau débutant (aucune connaissance de la langue requise) – contenu du programme susceptible d'être modifié en fonction du niveau de connaissance des participants

 

Stage
23/08/10
24/08
25/08
26/0827/08
 10h-11h15

Cours de langue :

conjugaison (passé,

présent,futur)

Cours de langue :

grammaire (accusatif, nominatif,

locatif)

Cours de langue :

vocabulaire et analyse d'un poème

Cours de langue :

exercices 

oraux

Cours de langue :

exercices

écrits

 

 11h15-11h30 Pause Pause Pause Pause
 Pause
 11h30-12h15

 Animation :

géographie des Balkans

Animation: histoire des Balkans depuis 1914

Animation :

présentation de quelques 

artistes 

célèbres

Animation:

divertissement des Balkans

Animation:

cuisine des

Balkans (et dégustation)

      
 Extra     
 12h30-13h30
Atelier de conversation
Atelier de conversation
Atelier de conversation
Atelier de conversation
Atelier de conversation

 

Ce stage est rendu possible grâce à l'aimable hospitalité du Centre Communautaire Anneessens.


Contact: info@gratiartis.be


Pour localiser la rue du Vautour sur une carte, cliquer sur ce lien.

 

 

 


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posté le 09-08-2010 à 10:51:38

L'administration communale de Knin a fait enlever la plaque commémorative dédiée aux victimes de l'Opération Tempête
 


La plaque commémorative dédiée aux victimes de l'Opération Tempête, qui a été apposée à la sortie nord de Knin le 5 août par les soins de l'ONG croate l'Initiative des jeunes pour les droits de la personne, a été enlevée vendredi par l'administration communale de Knin. C'est ce qu'a fait savoir pour le site e-novine Mario Mazić, le coordinateur de l'Initiative. Sur la plaque on pouvait lire: "Pour le 15ème anniversaire de l'Opération Tempête menée par l'Armée croate, le long de cette route empruntée par des milliers de réfugiés ont apposé cette plaque les citoyens de la République de Croatie, qui offrent aux victimes leurs excuses à défaut d'excuses des responsables".

"Nous avons appris que la plaque a été enlevée sur demande de la maire Josipa Rimac du HDZ [la Communauté démocratique croate, N.D.T.], parce qu'elle a été installée sans autorisation, et à présent nous allons demander qu'on nous la rende et nous l'offrirons aux associations de réfugiés et de victimes de [l'Opération] Tempête", a déclaré notre interlocuteur.

Il signale que l'Initiative a été informée de ce que la plaque, selon des explications non officielles, a été enlevée parce qu'elle a été installée sans permission, or cette organisation avait fait la demande d'une autorisation à plusieurs reprises mais sans recevoir la moindre réponse de la part des autorités communales.

"On n'a même pas essuyé une fin de non-recevoir, toutefois ce n'est pas la première fois que l'on communique de la sorte avec les autorités communales. Nous avions voulu apposer cette plaque précisément ce jour-là et c'est ce que nous avons fait, nous n'avions pas voulu attendre des mois jusqu'à ce qu'on recoive l'autorisation. Il faut lire comme message à cela qu'en Croatie, en particulier là où le HDZ mène la politique, en tant que parti qui a également mené la politique à l'époque de la guerre, ce pays a sa propre version de l'histoire et ne permettra pas qu'on s'y oppose. Cette année, par exemple, nous avons souvent pu entendre la Premier ministre Jadranka Kosor dire qu'elle ne permettra à personne de réviser l'histoire. Mais moi aussi si j'étais à sa place je craindrais fort que l'on ne révise l'histoire, surtout si quelqu'un le fait sur base des faits", nous a déclaré Mario Mazić.

Ce vendredi il a reçu de sérieuses menaces.

"Le secrétaire de l'organisation zagréboise du Pur parti croate du droit, connu pour ses opinions profascistes et oustachies, m'a envoyé un e-mail dans lequel il est écrit que nous sommes de la racaille yougo-tchetnike et partisane et que s'il a l'occasion de me croiser ça ira mal pour moi", a fait savoir Mazić.

 

 

 

Gradska administracija Knina uklonila spomen - ploču žrtvama Oluje
 


Inicijativa obaveštena da je ploča, po nezvaničnim objašnjenjima, uklonjena zato što je postavljena bez dozvole, a ta organizacija je u više navrata tražila dozvolu i nije dobijala nikakav odgovor od gradskih vlasti

Spomen - ploču žrtvama Oluje koju je na severnom izlazu iz Knina 5. avgusta, na Dan pobede, postavila hrvatska Inicijativa mladih za ljudska prava, uklonila je u petak, kako je za e-novene saopštio Mario Mazić, koordinator Inicijative, kninska gradska administracija. Na ploči piše „O 15. obljetnici akcije HV-a "Oluja", uz ovu cestu kojom su prošle tisuće izbjeglica, ploču postavljaju građani RH koji nude žrtvama svoju ispriku u nedostatku isprike odgovornih“.

„Saznali smo da ploča uklonjena na zahtev gradonačelnice Josipe Rimac iz HDZ- a, zato što je postavljena (ploča) bez dozvole i sada ćemo tražiti da nam je vrate i poklonićemo je udrugama izbjeglica i žtava Oluje“, kaže naš sagovornik.

On ističe da je Inicijativa obaveštena o tome da je ploča, po nezvaničnim objašnjenjima, uklonjena zato što je postavljena bez dozvole, a ta organizacija je u više navrata tražila dozvolu i nije dobijala nikakav odgovor od gradskih vlasti.

„Nismo dobili čak ni odbijenicu, ali to nije prvi put da tako komuniciramo sa gradskim vlastima Knina. A htjeli smo da ploču postavimo baš na taj dan i to smo učinili, nismo htjeli čekati mesecima dok ne ishodimo dozvolu. Poruka je u tome da u Hrvatskoj, naročito tamo gde HDZ vodi politiku, kao stranka koja je vodila politiku i z vreme rata, ona ima svoju verziju povijesti i neće da ide protiv nje. Ove godine smo, recimo, često mogli čuti premijerku Jadranku Kosor da neće dozvoliti nikome da revidira povijest. I ja bih se na njenome mjestu strašno bojao revidiranja povijesti, posebno ako to netko radi na osnovu činjenica“ rekao nam je Mario Mazić.

Njemu su u petak upućene ozbiljne pretnje.

„Tajnik zagrebačke Hrvatske čiste stranke prava, poznate po profašističkim i ustaškim načelima poslao mi je poruku, mejl u kojem piše da smo mi jugočetničko - partizanski šljam“ i da, kada me sretne - neću se dobro provesti“, kaže Mazić

Source : e-novine.com, le 9 août 2010.

 


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posté le 07-08-2010 à 20:21:23

Gros plan sur les cinémas des pays de l’ex-Yougoslavie
 

La partition de la Yougoslavie en six entités distinctes n’a pas été sans conséquences sur le secteur du cinéma. D’un marché de vingt-deux millions d’habitants avec une production conséquente mais sous surveillance, les six pays qui formaient l’ex-Yougoslavie se sont trouvés dans l’obligation de mettre en place des cinématographies nationales dans de très petits marchés.

La production cumulée de la région est d’une soixantaine de longs métrages pour l’année en cours avec en haut de la liste la Serbie ( 27 films produits ) , et au bas le Monténégro avec un film. La Croatie est à 16 films alors que la Bosnie, la Macédoine et la Slovénie sont à moins de dix films produits par an. Le box office dans ces pays est à l’instar de pratiquement tous les pays de la planète entièrement dominé par les superproductions américaines. L’existence aujourd’hui de cinématographies serbes, croates, bosniaques, slovènes ou macédoniennes doit beaucoup aux centres nationaux de cinématographies nationales mis en place dans les différents pays de la région. Cependant le montant de l’aide apportée par les différents Etats à la production nationale varie selon les pays et reste proportionnel aux possibilités des économies respectives des différentes entités qui forment l’ex-Yougoslavie. La Croatie avec près de 7 millions d’euros alloués au cinéma pour une population d’un peu plus de quatre millions d’habitants tient le haut du pavé. Elle est suivie de près par la Slovénie, petit pays de deux millions d’habitants dont la dotation publique pour le cinéma avoisine les 6 millions d’euros. La Serbie avec ses huit millions d’habitants n’allouant que 4 millions d’euros d’aide publique pour le cinéma. Ces ressources publiques demeurent néanmoins insuffisantes et nécessitent un appel d’air venant du secteur privé et de fonds d’aide européens. Sur ce plan, et depuis quelques années déjà, des logiques de coproduction régionales se sont développées avec généralement un apport majoritaire du pays du réalisateur et des apports de moindre importance des pays limitrophes. Dicté par un souci purement pragmatique (la rareté des ressources disponibles pour le cinéma, cette mise en commun des efforts de production dénote aussi d’une volonté de dépasser les contentieux politiques qui existent entre les différents Etats de la région.

Un cinéma réaliste entre désarroi et mélancolie

Le festival de Sarajevo est le lieu par excellence à partir duquel il est possible d’observer ce qui travaille les différents cinémas des pays de l’ex-Yougoslavie. La première décennie de ce siècle constitue pour les jeunes cinéastes de la région un moment charnière. Il s’agit en effet pour eux de contribuer à l’édification d’une cinématographie nationale (un cinéma serbe, bosniaque, croate…) tout en se sachant les dépositaires d’une histoire proche traumatique. A cela vient peser sur les épaules de cette nouvelle génération de cinéastes, l’urgence de témoigner d’une réalité paradoxale, versatile, impitoyable pour les plus faibles où la brutalité du capitalisme semble avoir tué à jamais les chimères de la paix retrouvée et de l’émancipation nationale.

C’est un regard apaisé, distancié, ironique et impertinent sur l’histoire des Balkans que pose le réalisateur serbe Zeljko Mircovic dans un des films les plus iconoclastes de la compétition documentaire. Le documentaire est une sorte de Road movie au cours duquel la caméra de Mirkovic accompagne le voyage de deux écrivains, un serbe et un croate dans le territoire de ce qui a été durant presque cinquante ans la fédération de Yougoslavie. C’est dans une vieille yougo ( voiture symbole de la période de socialiste), tout ce qui leur reste de leurs passé commun que nos deux écrivains entreprennent leur voyage à travers « l’autoroute de la fraternité » construite par Tito pour relayer l’ensemble du territoire de l’ex-yougoslavie. A la faveur de rencontres, de témoignages, de pannes de tous genres, se donne à voir toute l’absurdité d’un présent où les enfants d’une même petite ville mais de quartiers différents sont amenés à apprendre dans des livres d’Histoire différents selon qu’ils soient serbes ou croates. Une histoire qui relève beaucoup plus de propagandes d’Etat tant la vérité sur ce qui s’est passé lors de ces douloureuses années de guerres fratricides est encore à faire. Certaines bribes du passé proche sont reconstitués à travers les témoignages d’intellectuels et d’hommes politiques de premier plan pour qui aujourd’hui le démembrement de l’ex Yougoslavie était inévitable mais pas la guerre. Un brin, nostalgiques de l’ancien régime, lucides et désenchantés nos deux compères écrivains, à la faveur de leurs rencontres nous livrent leurs sentiments face à tant de gâchis et d’aveuglement des politiques et de l’Histoire.

Ce très beau documentaire est représentatif d’une volonté perceptible chez certains cinéastes de la région de se réconcilier avec le passé dans une sorte de rejet des propagandes nationales qui ne font qu’attiser une haine qui a été dévastatrice pour la région. Dans « Years eaten by lions », le réalisateur Bosniaque Boro Kontic interroge les manipulations médiatiques en en démontant les mécanismes pour montrer comment dans chaque camp, des journalistes se sont adonnés à la pire propagande au mépris de toute déontologie et comment ces faussaires de l’information se refont une virginité en se trouvant propulsés à de hautes responsabilités politiques.

Cette vitalité du documentaire n’a pas son équivalent dans la fiction dont la qualité reste moyenne. Les films bosniaques présentés à Sarajevo cette année sont tous travaillés par les tourments du présent et la volonté de donner du sens à une réalité labile, paradoxale opaque. La guerre n’est pas loin et les personnages de « On the path » de Jasmila Zbalic et de « Savdah for Karim » de Jasmin Durakovic en portent les blessures. En plus de ce lourd passé, les protagonistes sont confrontés à un quotidien où ils ont du mal à s’ancrer. Le spectre de l’islamisme est présent dans ces deux films et il constitue une échappatoire possible pour des personnages désemparés. « Jasmina » le troisième film bosniaque en lice se veut un film œcuménique une histoire d’amitié durant le siège de Sarajevo entre une réfugiée bosniaque et un clochard croate réunis par l’amour d’une petite fille « Jasmina ». Dégoulinant de bons sentiments, télévisuel et très convenu, ce film divisé est un non film.

Ce trop plein de réalité dont il a été question plus haut se retrouve dans « Tilva Rosh » le film serbe primé, plus ambitieux esthétiquement dans la mesure où il se présente comme un scénario minimal sur le désarroi de jeunes adolescents qui improvisent pratiquement devant la caméra. Inégal et un peu systématique, il a le mérite de nous faire percevoir sans fard la déroute d’une jeunesse sans illusions.
Gris, froid, mélancolique et désespéré le cinéma de l’ex-Yougoslavie en dit long sur les dégâts de la transition sans douceur de la guerre aux dures réalités du marché. Se réinventer un passé en étant constamment sollicités par les dures réalités du présent voilà une équation bien difficile à résoudre pour ces peuples dont l’aspiration est de vivre (ou survivre ?) en temps de paix.

par Ikbal zalila

Source : jetsetmagazine.net, le 7 août 2010.
 


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posté le 07-08-2010 à 14:04:39

Cher Dodik, viens dans notre coin, pour que tu puisses voir ce qu'est le paradis !
 

Dans plusieurs villes de la Republika Srpska sont apparues hier de grandes affiches portant l'inscription "Cher Dodik, viens dans notre coin, pour que tu puisses voir ce qu'est le paradis !", lesquelles affiches montrent la photographie d'un homme en train de fouiller dans les poubelles.

Les affiches sont signées par un groupe appelé "Pritisak" ("Pression"), qui indique sur sa page officielle pritisak.org que son objectif est "d'informer le Premier ministre sur les conditions de vie et les événements dans la Republika Srpska". Il s'agit de leur première action et déjà elle a attiré l'attention des médias et des citoyens.

- Nous invitons tous les citoyens de la Republika Srpska à nous envoyer des illustrations de leur localité en guise d'exemple de la réalité dont, visiblement, n'est pas informé le Premier ministre. Pour que les photos soient publiées, elles ne peuvent être de nature injurieuse, ni inciter à la haine et l'intolérance envers les membres d'un peuple particulier ou d'un groupe social, peut-on lire sur la page officielle de ce groupe.

"C'est là l'oeuvre de quelqu'un qui a trop d'argent, et trop peu d'idées", a commenté pour Blin Magazin le secrétaire général du SNSD [le Parti social-démocrate indépendant - au pouvoir], Rajko Vasić. 

Source : e-novine.com, le 7 août 2010.
 


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posté le 06-08-2010 à 13:58:00

La Serbie va construire une base aérienne en Irak
 

Belgrade - L'Irak est intéressée à ce que la Serbie participe à la reconstruction d'une base aérienne, à la construction d'un hôpital militaire et à la fourniture de munitions, a déclaré le ministre serbe de la Défense Dragan Šutanovac.

Šutanovac estime que les perspectives dans ce pays sont très bonnes, et il annonce la poursuite de la collaboration aussitôt qu'aura été formé le nouveau gouvernement irakien.

L'industrie de la défense a exporté sur le marché international durant l'année 2009 du matériel pour une valeur d'environ 300 millions de dollars.

De nouveaux contrats ont été conclus pour une valeur de plus de 500 millions de dollars, avant tout avec l'Irak, l'Algérie et l'Egypte. En 2009, le principal partenaire économique a été l'Irak.

Tous les armements et les équipements militaires ayant fait l'objet d'un contrat pour l'exportation en Irak ont été livrés, sauf le produit le plus complexe sur le plan technique qu'exporte la Serbie - l'avion de type "lasta 95" -, du producteur Utva de Pančevo. L'Armée irakienne a commandé 20 de ces aéronefs à condition qu'ils soient équipés pour l'entraînement au combat et pour l'action. Trois avions du type "lasta" ont été livrés à l'Irak. La livraison des autres engins est prévue d'ici la fin de l'année, lorsque ce type d'avion constituera le squelette de l'aviation irakienne pour l'entraînement.

Le "lasta 95" est un biplace à aile basse et moteur unique, les sièges des pilotes sont placés l'un derrière l'autre. Il permet le décollage et l'atterrissage sur piste en béton ou en herbe. Il est pourvu des équipements électroniques dernier cri. Sa vitesse minimale de vol est 105 km/h, et sa vitesse maximale 340 km/h.


 
 
Srbija će graditi avio-bazu u Iraku

Beograd -- Irak je zainteresovan da Srbiju angažuje na rekonstrukciji avio-baze, izgradnji vojne bolnice i za isporuku municije, kaže Dragan Šutanovac, ministar odbrane.

Šutanovac ocenjuje da je perspektiva u toj zemlji jako dobra, i najavljuje da se nastavlja proširivanje dalje saradnje, odmah po formiranju nove vlade Iraka.

Odbrambena industrija izvezla je na svetsko tržište tokom 2009. godine robu u vrednosti od oko 300 miliona dolara.

Zaključila je nove ugovore vredne više od 500 miliona dolara, pre svega sa Irakom, Alžirom i Egiptom. Tokom 2009. godine najveći ekonomski partner bio je upravo Irak.

Sve naoružanje i vojna oprema ugovoreni za izvoz u Irak isporučeni su, osim tehnički najsloženijeg proizvoda koji Srbija izvozi, proizvođača Utva iz Pančeva - aviona tipa „lasta 95”. Vojska Iraka naručila je 20 ovih letelica, uz zahtev da su osposobljeni i za borbenu obuku i dejstva. Tri aviona tipa „lasta” isporučena su Iraku. Isporuka preostalih letelica planirana je do kraja godine, kada će ovaj tip aviona činiti osnovu iračke avijacije za obuku.

„Lasta 95” je jednomotorni niskokrilac metalne konstrukcije, sa dva sedišta za pilote postavljena jedno iza drugog. Omogućava poletanje i sletanje sa betonskih i travnatih poletno-sletnih staza. Opremljena je savremenom elektronikom. Minimalna brzina leta je 105, a maksimalna 340 kilometara na čas.

Source : b-92.net, le 6 août 2010.
 


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