Le groupe de Coimbra du Conseil portugais pour la Paix et la Coopération a organisé le 24 juin 2015 sur la Place du 8 mai un débat intitulé "La situation en Ukraine fragilise la paix en Europe", Le débat comptait avec la présence de Luis Carapinha, spécialiste des questions internationales.
Le débat a porté sur le contexte historique du conflit ukrainien. Y ont été analysés les intérêts impliqués dans le conflit provoqués par le déroulement du Maïdan et le coup d'état consécutif soutenu et financé par les Etats-Unis et encouragé par l'UE qui a porté au pouvoir les fascistes.
L'accent a également été mis sur la résistance des populations de l'Est de l'Ukraine au coup d'Etat dit "pro-occidental" et sur la guerre fraticide qui a été transposée dans l'Est de l'Ukraine par le pouvoir putschiste.
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O
núcleo de Coimbra do CPPC realizou nesta 4ª Feira, 24 de Junho de
2015, na Pr. 8 de Maio, um debate com o tema: "A situação na
Ucrânia fragiliza a PAZ na Europa" que contou com a presença
de Luís Carapinha, especialista em questões internacionais.
No debate foi referido o enquadramento histórico do conflito ucraniano, analisada a situação dos interesses envolvidos no conflito aberto na sequência dos acontecimentos na Praça Maidan e do golpe de estado subsequente apoiado e financiado pelos Estados Unidos da América e incentivado pela União Europeia, que levou ao poder as forças fascistas. Foi ainda sublinhada no debate a resistência das populações do Leste da Ucrânia ao golpe de Estado dito "pró-ocidental" e à guerra fraticida que foi movida pelo poder golpista à região do Leste da Ucrânia.
Source :https://www.facebook.com/conselhopaz?fref=nf
Premier ministre serbe : “Il ne nous faudra plus sept heures pour aller à Budapest”
“Pour la Serbie la ligne Belgrade-Budapest est d'une importance capitale, et en ce qui concerne la Serbie nous restons restons entièrement et rigoureusement prêts à entrer dans ce projet dès avant la fin de l'année”, a déclaré le Premier ministre serbe.
Au cours d'une conférence de presse au côté du Premier ministre hongrois Viktor Orban, Vučić a annoncé que les 16 et 17 juillet aurait lieu une réunion entre les groupes d'experts serbes et hongrois, les ministres des transports et des infrastructures et la partie chinoise.
“Quelles que soient les différentes évaluations dans les études de faisabilité entre nos gouvernements et le gouvernement chinois nous restons entièrement et rigoureusement prêts à entrer dans ce projet, et en ce qui concerne la Serbie dès avant la fin de l'année nous serons capables et prêts à entamer la construction de cette ligne”, a déclaré Vučić.
Interrogé sur la dynamique des travaux relative à la construction de la ligne et sur la date de la fin des travaux, Vučić a déclaré que “nous avons déjà en grande partie commencé à élaborer l'avant-projet pour la ligne Belgrade-Budapest.
“Comptez trois ou trois ans et demi pour utiliser la ligne rapide et pour aller de Budapest à Belgrade et vice versa en deux fois moins de temps que les sept heures [actuelles]”, a annoncé Vučić.
“Je pense que c'est également une bonne liaison pour la Hongrie avec le reste de l'Europe du sud et de l'est”, a estimé Vučić. Il a expliqué qu'il a discuté avec le Premier ministre hongrois d'autres projets d'infrastructures : la ligne Baja-Segedin-Subotica, l'ouverture d'un passage fluvial sur la Tisa et l'ouverture d'autres points de passage sur la frontière entre la Serbie et la Hongrie.
Le Premier ministre serbe a dit avoir discuté avec son collègue hongrois des investissements des hommes d'affaires hongrois en Serbie et ceux des hommes d'affaires serbes en Hongrie.
“Nous souhaitons voir les entreprises hongroises non seulement en Voïvodine mais dans toute la Serbie. Nous sommes parvenus à réaliser ce type d'accord”, a dit Vučić en précisant que les entreprises hongroises sont interessées par la privatisation de 35 sociétés en Serbie.
Source : b92.net, le 1er juillet 2015.
La Macédoine et la Serbie prennent des mesures pour se protéger de la crise grecque.
Skopje
(Macédoine) - La Banque centrale de Macédoine (NBRM) et la Banque
centrale de Serbie (NBS) ont introduit lundi des mesures visant à se
protéger de l'instabilité financière qui menace la Grèce
voisine.
La
NBRM a introduit des mesures préventives, en demandant notamment aux
banques du pays de retirer les dépôts qu'elles détiennent dans des
banques grecques.
Ces
mesures de protection ont un caractère temporaire et sont prises
pour faire face à la menace d'une éventuelle sortie plus importante
de capitaux de la Macédoine vers sa voisine septentrionale, et qui
pourrait provoquer une perturbation de la balance des paiements et de
la stabilité du système financier, a indiqué lundi la Banque
centrale macédonienne (NBRM) sur son site internet.
Elles
seront en vigueur pour une durée de six mois, a précisé la
banque.
En
Serbie, la Banque centrale a elle aussi annoncé l'entrée en vigueur
de mesures de protection concernant les banques dont les
propriétaires majoritaires sont basées en Grèce.
Ces
mesures portent sur un contrôle renforcé et une limitation des
transactions entre les succursales en Serbie et leurs banques mères
en Grèce et visent à prévenir des effets négatifs (de la crise en
Grèce, ndlr) sur le secteur banquier en Serbie, a indiqué la NBS
dans un communiqué.
Interrogée
par téléphone, la NBS n'a pas été en mesure de fournir davantage
de détails sur ces mesures, ni sur leur durée.
A
Skopje, la NBRM a demandé aux banques en Macédoine de retirer tous
les dépôts et les prêts aux banques installées en Grèce et dans
leurs succursales dans le monde, un contrôle des capitaux qui
n'affectera que les futures transactions et non les engagements déjà
existants entre des organismes macédoniens et grecs.
La
Macédoine et la Serbie sont les premiers pays, voisin et proche de
la Grèce, à prendre une initiative concrète afin de se protéger
contre l'instabilité financière qui menace Athènes.
La
décision de la NBRM fait suite à la décision d'Athènes
d'introduire un contrôle des capitaux et de fermer temporairement
les banques en Grèce à partir de lundi.
Les
banques grecques détiennent environ 20% de la totalité des avoirs
banquiers en Macédoine.
Source : romandie.com, le 29 juin 2015.
Alors que la presse allemande, se basant sur un rapport de la Commission européenne, prévient que la situation économique s'est gravement détériorée et qu'à l'instar des Grecs nous courons le risque d'un défaut de paiement, le Premier ministre Milanović et le vice-président Branko Grčić semblent descendus d'une autre planète : dans ces circonstances dramatiques ils racontent au premier venu que tout baigne dans l'huile et que nous sortons de la récession.
Qui plus est, Milanović explique qu'il convient énormément de tenir compte de la population homosexuelle pour attirer les investisseurs et développer le pays.
“A côté des célébrités, parmi les principaux défenseurs de la possibilité de célébrer des mariages entre personnes de même sexe en Irlande figuraient les grandes entreprises, qui ont vu dans cette décision positive une chance d'embellir l'image de ce pays. Nous sommes un petit pays et nous devons être ouverts, nous ne pouvons êtres renfermés, rigides et arriérés, en particulier dans le tourisme”, a déclaré Milanović. Il a ajouté que la Croatie est classée en quatrième ou cinquième position en Europe au regard du degré de protection de la population gay, ce qui, sous-entend le Premier ministre, aidera la Croatie à sortir de la crise !?
Que pensent les experts de l'optimisme débordant affiché par Milanović au moment où la Commission européenne nous prédit le sort de la Grèce et qu'en est-il des affirmations selon lesquelles les pays où l'ont peut contracter des mariages gay attirent les investisseurs.
[…]
Guste Santini partage l'avis de Dinko Bartulović.
“Il y a plusieurs années déjà j'ai déclaré qu'en Croatie la situation est pire qu'en Grèce. La profession se doit de voir certaines choses bien avant autrui car c'est la mission des professionnels. Ainsi la Grèce en tant que membre de la zone euro a bien vécu tout un temps, en s'endettant à bon compte. Il convient de noter qu'en Grèce règne la même mentalité qu'en Croatie. Tous les pays méditerranéens, c'est-à-dire tous les pays qui ont éprouvé le totalitarisme, sont enclins à s'endetter sans beaucoup réfléchir et consulter les électeurs. Or les Grecs se sont endettés bien au-delà des limites sans pour autant invertir dans la production, mais au contraire dans la consommation. La même chose s'est passée en Croatie. La différence est que la dette grecque inquiète l'Allemagne parce que la Grèce est membre de la zone euro alors que la dette croate ne soulève pas trop d'inquiétudes. C'est pourquoi nous pouvons dire que la Croatie se trouve même dans une situation pire que la Grèce. Nous sommes déjà placés sous la surveillance de la Commission européenne et il est donc ridicule de dire qu'une croissance de 0,2% signifie beaucoup pour la Croatie. Notre croissance devrait être d'au moins 3 ou 4% annuellement parce que les intérêts sur la dette extérieure s'élèvent au moins à autant”, déclare Santini.
Il considère que parler de succès à propos d'une croissance de 0,2% est pour le moins douteux.
“La Croatie a besoin de réformes radicales parce que la situation en Croatie est vraiment dramatique ! Nous entrons dans le club des pays sous-développés de troisième catégorie. Si nous ne lançons pas d'urgence des réformes, nous allons devenir un pays de troisième catégorie. Or ce n'est pas le type de partenaires pour les pays de l'Union européenne”, conclut l'analyste politique. A propos de la thèse avancée sur les mariages homosexuels, il préfère s'abstenir de commenter car ce serait ridicule de s'apesantir sur de telles déclarations.
Source : hazud.hr, le 25 mai 2015.
Yankee Go Home !
Kaiserslautern (Allemagne), le 27 juin.
(Européens patriotes contre l'américanisation de l'Occident) sur Facebook
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