[Rem. : Cette rubrique n'aura pas fait long feu, peut-être que ce n'est que partie remise]
Terral scioccato a causa della violenza in Serbia
Belgrado - L'ambasciatore della Francia a Belgrado, Jean François Terral, ha dichiarato di essere sorpreso dal fatto che la Serbia non sia ancora riuscita a trovare i modi per lottare contro i gruppi estremisti.
"Potrei dire che sono un po' scioccato per la tolleranza di fronte a questo feonomeno, particolarmente sono sbalordito dalle dichiarazioni che escludono la necessità di sciogliere tali gruppi, che alla fini potrebbe portare alla loro libertà di agire, ha dichiarato Terral per "Blic".
Parlando sull'assalto in centro di Belgrado contro tre tifosi di Toulouse in cui è stato ferito gravemente il francese Brice Taton, l'ambasciatore ha dichiarato che sia molto importante sottoporre le persone colpevoli alla giustizia e punirle come lo meritano, infatti "in un modo severo".
Terral ha aggiunto di essere sbalordito per la violenza non provocata contro i tifosi francesi e la cosa ancora peggiore è che si tratta di "un assalto pianficato e preparato già in avanti".
Secondo le stime dell'ambasciatore francese la violenza simile come anche l'incapacità dello Stato di garantire la sicurezza ai partecipanti della "Sfilata di fierezza" per cui essa è stata di disdetta, distruggono la riputazione della Serbia nel mondo.
È evidente che tali eventi e in primo luogo il linciaggio di Brice Taton gettano un'ombra sull'immagine della Serbia nel mondo. Questo vale anche per la Francia, in particolare per la regione di Toulouse dove questo evento ha suscitato le emozioni forti. Questo è un grande peccato, perché la Serbia merita meglio, ha dichiarato Terral.
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Traduction en italien de l'article original sur ce blog.
Les femmes violées pendant le conflit de Bosnie-Herzégovine attendent toujours que justice leur soit rendue
"Cette nation oublie tout. On nous oublie, nous les victimes. Mais je n'oublierai jamais ce qui m'est arrivé." - Sabiha, interviewée par Amnesty International
"Je ne sais pas s'il est possible de punir ce crime. Est-ce qu'il y a une justice ? [...] Ailleurs, peut-être, mais pas ici, en Bosnie." Bakira, interviewée par Amnesty International
Les gouvernements qui se sont succédés en Bosnie-Herzégovine n'ont pas pris les mesures nécessaires pour que justice soit rendue aux milliers de femmes et de jeunes filles qui ont été violées pendant la guerre de 1992-1995, a déclaré Amnesty International dans un rapport rendu public ce mercredi 30 septembre.
"Pendant la guerre, des milliers de femmes et de jeunes filles ont été soumises à des viols, souvent commis avec une extrême brutalité ; nombre d'entre elles ont été placées en détention dans des camps pénitentiaires, des hôtels, des habitations privées où elles ont été victimes d'exploitation sexuelle. Beaucoup ont été tuées", a déclaré Nicola Duckworth, directrice du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.
"A ce jour, justice n'a pas été rendue à celles qui ont survécu à ces crimes. Les responsables de leurs souffrances, qu'ils soient membres des forces armées, de la police ou de groupes paramilitaires, sont toujours en liberté. Certains occupent toujours des postes importants ou vivent à proximité de leurs victimes."
"Les autorités de Bosnie-Herzégovine sont tenues de permettre à ces victimes de violations du droit international humanitaire et de crimes contre l'humanité de saisir la justice et d'obtenir les réparations pleines et entières auxquelles elles ont droit."
"A cette fin, les autorités doivent veiller à la tenue d'enquêtes exhaustives qui déboucheront sur des poursuites à l'encontre des auteurs présumés de violences sexuelles assimilables à des crimes de guerre qui ont été commises dans le pays. Tant que justice n'aura pas véritablement été rendue et que des réparations pleines et effectives n'auront pas été accordées, les victimes continueront à souffrir des conséquences de ces crimes atroces."
Dans son rapport intitulé Whose justice ? Bosnia and Herzegovina's women still waiting, Amnesty International met en lumière les carences du système judiciaire du pays. L'organisation souligne également que les autorités ont failli à leur devoir de fournir des réparations, notamment sous la forme d'indemnités, aux femmes victimes de crimes, et détaille les violations de leurs droits.
"Nombre de femmes qui ont survécu à des violences sexuelles infligées pendant la guerre n'obtiennent pas de réparations en raison de la complexité du système judiciaire et des services sociaux du pays. Par rapport à d'autres victimes de guerre, elles sont en butte à des discriminations dans l'accès à l'aide sociale", a indiqué Nicola Duckworth.
Jasmina, survivante de violences sexuelles infligées pendant la guerre, a déclaré à Amnesty International : "Je ne peux pas dormir sans cachets. Quand les gens évoquent la guerre, cela me perturbe toujours autant. Une image, un souvenir, un spot télévisé peuvent me bouleverser. Je n'en peux plus. [...] J'ai besoin d'aide."
Les autorités de Bosnie-Herzégovine n'ont pas pris de dispositions pour permettre à ces femmes de bénéficier d'une prise en charge médicale ou psychologique adaptée. Celle-ci leur est proposée uniquement par des organisations non gouvernementales (ONG) aux moyens limités.
Une ONG bosniaque a indiqué à Amnesty International que l'immense majorité des survivantes de violences sexuelles constituant des crimes de guerre ne recevaient aucune aide psychologique.
Des milliers de survivantes ont également perdu des membres de leur famille. Nombre d'entre elles n'arrivent pas à trouver ou à conserver un emploi en raison de leur état psychologique. Beaucoup n'ont pas de revenu stable et vivent dans la pauvreté, sans pouvoir acheter les médicaments dont elles ont besoin.
Le viol restant un sujet tabou, la plupart des victimes, alors qu'elles auraient besoin d'être reconnues et aidées pour reconstruire leur vie, doivent faire face à une mise à l'index.
"Les autorités doivent travailler avec des ONG pour élaborer une stratégie globale afin que les survivantes bénéficient de réparations, notamment de pensions suffisantes, d'une aide pour l'accès à l'emploi et de la meilleure prise en charge médicale possible. Les autorités doivent soutenir les survivantes de violences sexuelles constituant des crimes de guerre, leur permettre de s'exprimer pour qu'elles puissent demander que leurs droits soient respectés, et lutter contre la discrimination et la stigmatisation dont elles font l'objet dans leur vie quotidienne", a déclaré Nicola Duckworth.
Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a été créé en 1993 dans le but de poursuivre les responsables présumés de graves violations du droit international humanitaire, y compris les auteurs de violences sexuelles.
Toutefois, le TPIY n'a pu mener des poursuites que sur un nombre limité d'affaires de violations du droit international humanitaire survenues durant les guerres qu'a connues l'ex-Yougoslavie. A la fin du mois de juillet 2009, le TPIY avait engagé des poursuites sur 18 affaires liées à des violences sexuelles en Bosnie-Herzégovine.
Créée en 2005, la Chambre des crimes de guerre de la Cour d'Etat de Bosnie-Herzégovine a été chargée d'enquêter sur des crimes dont le TPIY ne pouvait pas se saisir et de poursuivre leurs auteurs présumés. A ce jour, 12 hommes seulement ont été condamnés pour des violences sexuelles constituant des crimes.
Amnesty International a demandé au Parlement de Bosnie-Herzégovine de proroger le mandat des juges et procureurs internationaux, ceux-ci contribuant au reforcement du système judiciaire du pays du fait de leur compétence, de leur impartialité et de leur indépendance.
Source : amnesty.org, le 30 septembre 2009.
Cyber Yugoslavia
Ceci est Cyber Yougoslavia, le foyer des cyberyougoslaves. Nous avons perdu notre pays en 1991 et sommes devenus citoyens d'Atlantis. Depuis le 9 septembre 1999 ceci est notre foyer. Nous n'avons pas d'espace physique, mais nous avons une nationalité, et nous accordons la citoyenneté ainsi que des passeports CY. Parce que c'est Atlantis, nous accordons la double et triple citoyenneté. Si vous vous sentez Yougoslave, veuillez solliciter la citoyenneté CY, quel que soit votre nationalité ou citoyenneté actuelle, et vous serez accepté. Prenez la peine de lire notre Constitution pour de plus amples détails.
Lorsque nous aurons cinq millions de citoyens, nous avons l'intention de déposer notre candidature pour devenir membre de l'ONU. Ceci accompli, nous réclamerons 20 m² de territoire n'importe où sur terre. Sur ce territoire nous maintiendrons notre serveur.
Si quelqu'un est désireux d'acquérir le passeport cyberyougoslave, qu'il clique ici.
Esto es Cyber Yugoslavia, hogar de los cyberyugoslavos. Perdimos nuestro país en 1991 y nos convertimos en ciudadanos de Atlantis. Desde el 9 de septiembre de 1999 éste es nuestro hogar. No tenemos un espacio físico, pero sí tenemos nacionalidad, y estamos concediendo ciudadanéas y pasaportes de CY. Dado que esto es Atlantis están permitidas la dobles y triples nacionalidades. Si se siente Yugoslavo solicite la ciudadanía CY, será aceptado sea cual su ciudadanía o nacionalidad actuales. Consulte nuestra Constitución para más detalles. Si tan sólo se siente curioso, le esperamos como turista.
trad. espagnole tirée du blog balkanidades
Virus H1N1 : la Croatie va acheter 1,5 millions de vaccins de Novartis
Zagreb : La Croatie va acheter d'ici la fin de l'année 1,5 million de lots de vaccins contre la grippe H1N1 du laboratoire suisse Novartis, dont la vente au sein de l'Union européenne devrait être prochainement autorisée, a annoncé le ministère croate de la Santé.
Près de dix millions d'euros ont été octroyés par le gouvernement croate pour l'achat de ces vaccins, a précisé lors d'une conférence de presse le secrétaire d'Etat à la Santé, Dražen Jurković, cité par l'agence Hina.
Depuis juillet, quand le premier cas de contamination par le virus H1N1 avait été décelé en Croatie, les autorités sanitaires locales ont enregistré au total 206 cas, selon les données officielles.
Selon le ministère de la Santé, la campagne de vaccination devrait commencer à la fin de l'année, ou au plus tard au début 2010.
Candidat à l'adhésion à l'UE, la Croatie est peuplée de 4,4 millions d'habitants.
L'Agence européenne des médicaments a recommandé vendredi à la Commission européenne (CE) d'autoriser la mise en vente de deux premiers vaccins contre la grippe H1N1, l'un fabriqué par Novartis et le second par son concurrent britannique GlaxoSmithKline (GSK).
L'utilisation de ces vaccins devrait être autorisée par Bruxelles début octobre.
Des vaccins avaient déjà été approuvés en Chine et aux Etats-Unis par les autorités sanitaires locales, mais aucun n'a jusqu'ici été approuvé dans l'UE.
Source : romandie.com, le 28 septembre 2009.
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Scandale : Pour avoir dénoncé des malversations au sein de l'Institut d'immunologie il a été licencié
Le Dr Srećko Sladoljev a signalé que l'Institut d'immunologie (IZ) a commandé des vaccins non enregistrés contre la grippe porcine pour un montant de 330 millions de kunas.
Sladoljev, du reste membre du Conseil de surveillance (NO) de l'Institut d'immunologie à Zagreb, alerte depuis des années les institutions compétentes sur les malversations financières qui mènent l'institut à la ruine. C'est ainsi qu'il a attiré l'attention sur l'argent étrangement gaspillé pour des quantités non nécessaires de vaccin contre la grippe.
"Je dois démentir le fait que ce soit moi qui ait agité les médias et lancé l'affaire. Lorsque pendant la séance du Conseil de surveillance il m'a été donné de décider sur l'acquisition de tant de vaccins sans le moindre contrat, j'ai consulté le Syndicat et informé le ministre et le directeur de l'Institut croate de l'assurance maladie (HZZO)", a déclaré Sladoljev dans une interview sur le site Business.hr.
D'après lui, la Direction n'a pas procédé à l'évaluation durant les deux saisons précédentes du risque commercial, de sorte que d'énormes quantités de vaccins ont été jetées à la poubelle. Il s'agit d'un montant de 13 millions de kunas, ce qui rend les salaires des employés incertains.
"J'ai été licencié au motif d'avoir divulgué un secret d'affaires portant sur la collaboration entre l'Institut d'immunologie et la firme Novartis.
Même si le motif formel auquel se réfère la Direction de l'Institut d'immunologie aurait à voir avec la divulgation d'un secret d'affaires, il n'y a guère de doute que Sladoljev est pénalisé à cause des critiques acerbes visant le travail de la Direction et les opérations commerciales qui nuisent à l'Institut juste avant que la participation publique ne soit cédée.
Skandal : Zbog ukazivanja na malverzacije u Imunološkom zavodu dobio otkaz
Dr. Srećko Sladoljev ukazao je da je IZ naručio neregitrirano cjepivo protiv svinjske gripe u vrijednosti od 330 milijuna kuna.
Sladoljev, inače član Nadzornog odbora Imunološkog zavoda u Zagrebu, godinama upozorava sve nadležne institucije o financijskim malverzacijama koje upropaštavaju Zavod, pa je tako upozoravao i na začuđujuće bacanje novaca na bespotrebne količine cjepiva protiv gripe.
"Moram demantirati da sam ja pokrenuo medije i izazvao aferu. Kad sam za sjednicu NO dobio prijedlog odluke o nabavci tolikog cjepiva bez ikakvih ugovora, konzultirao sam se s Sindikatom te obavijestio ministra i ravnatelja HZZO", izjavio je Sladoljev u intervjuu za Business.hr.
Prema njegovim riječima, Uprava u prethodne dvije sezone nije realizirala tzv. poslovne rizike pa su ogromne količine cjepiva bačene u smeće. Radi se o vrijednosti od 13 milijuna kuna zbog čega su zaposlenicima upitne plaće.
"Dobio sam otkaz s obrazloženjem da sam objavio poslovnju tajnu o suradnji Imunološkog zavoda i tvrtke Novartis", dodao je Sladoljev.
Iako je formalni razlog na koji se poziva Uprava Imunološkog zavoda navodno otkrivanje poslovne tajne, Sladoljeva se nedvojbeno kažnjava zbog oštre kritike rada Uprave te poslovnih poteza koje uzrokuju štetu Zavodu neposredno prije prodaje državnog udjela.
Source : metro-portal.hr, le 1 octobre 2009.
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