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Balkanikum

posté le 29-02-2012 à 10:27:03


Lancement d’une initiative pour créer un Parti pirate en Bosnie-Herzégovine, le PiratskaPartija.ba (PP.ba)

 

« Le PP.ba mène le combat contre l’influence des entreprises et des individus dont les actes, inspirés par l’appât du gain, mettent à mal les droits humains et la liberté tout en s’efforçant d’accroître le contrôle sur les gens », lit-on sur leur page Facebook.

 

Source : abrasmedia.info

 


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posté le 28-02-2012 à 15:04:06


Le père Ivan Grubišić soutient l’idée d’une révision des accords entre la Croatie et le Saint-Siège

 

 

Le député croate indépendant Ivan Grubišić prône depuis des années une révision des accords signés entre le Vatican et la Croatie. Il propose que le peuple se prononce sur cette question lors d’un référendum.

 

« Ces accords ne sont pas bon parce qu’ils nous ramènent au Moyen Âge, lorsque le droit religieux primait sur le droit d’Etat », a déclaré Grubišić. « Je suis pour le référendum, que le peuple décide s’il nous faut ces accords et [si oui] lesquels », ajoute-t-il. 

 

« Les gens ne peuvent pas fouiller dans les poubelles pendant qu’on donne autant d’argent à l’Eglise », a l’habitude de dire le père Grubišić.

 

L’évêque de Gospić-Senj, Mile Bogović, a déclaré que l’Eglise catholique était prête à engager des discussions concernant une possible révision des accords entre la Croatie et le Saint-Siège, des accords en vertu desquels l’Eglise se voit versée chaque année quelque 250 millions de kunas par les contribuables.

 

 

Source : advance.hr, le 28 février 2012.

 

 

 


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posté le 28-02-2012 à 13:25:13

La journée internationale de la langue maternelle vue de Tuzla
 
 

Mardi 21 février 2012 était célébrée la journée internationale de la langue maternelle (Dan maternjeg jezika). C’est la première fois qu’une célébration de cet événement était organisée à Tuzla à l’initiative d’une des enseignantes de bosnien de la ville.

 

A cette occasion, élèves, professeurs, associations de théâtres venant de différentes villes du canton se sont retrouvés dans une agence pédagogique de la ville de Tuzla pour célébrer cette journée. A travers des lectures de textes écrits par les jeunes, les représentations des jeunes membres d’une troupe de théâtre, l’exposition de travaux des enfants, était retracée l’histoire de la langue bosnienne, ses origines, les différentes influences subies par la langue de l’occupation slave à l’occupation par l’empire ottoman.

 

Le long des couloirs de l’agence pédagogique on pouvait apprécier une exposition faite par les enfants sur la langue, l’alphabet, son histoire, ses origines. Les jeunes avaient écrit des textes sur la langue, la force des mots. Les plus jeunes ont dessiné une lettre de l’ancien alphabet [1].

 

Une telle exposition prend tout son sens ici. Dans un pays où on parle bosnien, langue également appelée serbo-croate car de la Croatie à la Serbie en passant par la Bosnie c’est la même langue que l’on parle. Cette appellation de la langue, cette division entre « bosnien », « serbe », « croate » est uniquement de nature terminologique. Il s’agit bien d’une même et seule langue et pourtant si vous demandez à un Serbe quelle langue il parle il vous répondra serbe. Un Bosnien vous répondra qu’il parle bosnien. Un Croate vous répondra qu’il parle croate. A l’intérieur même de la Bosnie les bosno serbes disent qu’ils parlent serbes, les bosno croates qu’ils parlent croate et les bosniaques le bosnien. Ce « débat des mots » autour de la langue nous illustre bien à quel point les divisions restent marquées aujourd’hui encore.

 

« Avant on était un seul et même pays, avec la même langue mais maintenant les Croates disent qu’il parlent croates, les serbes disent qu’ils parlent serbes et nous on parle bosnien  » me disait Adnan un de mes voisins peu de temps après notre rencontre. «  Aujourd’hui je dis que je parle bosnien. Si tu passes la frontière et que tu te rends en Serbie les gens que tu rencontreras te diront qu’ils parlent serbe. Et pourtant c’est la même langue. Si je parle avec eux nous nous comprendrons sans difficultés ».

 

On parle de langue bosnienne, langue serbe et langue croate quand bien même il s’agit de la même langue. Ce qui n’est pas sans rappeler la récente polémique née fin janvier en Croatie. Le conseil des médias électroniques a ordonné aux chaînes croates de sous-titrés en « croate » tous les films serbes. Encore une façon de marquer des divisions qui n’ont pas lieu d’être...

 

[1] Le Bosančica, proche de l’alphabet cyrillique dont les premiers écrits datent du Xème siècle. Cet alphabet a été utilisé jusqu’au XIXème siècle

 

 
Source : emi-cfd.com, le 25 février 2012. 
 
 
 


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posté le 27-02-2012 à 23:07:07

Lecture

 

Jacques Attali

Pour François Hollande

 

 

 

En ce qui me concerne ni Hollande ni l'autre. La France a besoin de quelqu'un qui sera capable d'arrêter cette spirale qui nous conduit inéluctablement vers la guerre. 

 

Hollande ou Sarkozy, les deux sont des marionnettes du pire, des marionettes de l'empire.

 


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posté le 27-02-2012 à 18:32:42


Le groupe pétrolier croate INA cesse ses activités en Syrie

 

 

Le groupe pétrolier croate INA, contrôlé par le géant hongrois MOL, a indiqué lundi avoir cessé toute activité en Syrie, où il avait réalisé en 2011 l'essentiel de ses bénéfices, pour respecter les sanctions économiques adoptées par l'Union européenne contre Damas.


"Conformément à la décision du gouvernement croate, mais aussi à cause de la situation sécuritaire, INA n'est pas en mesure de poursuivre ses activités régulières en Syrie", explique la société dans un communiqué.


INA dit avoir informé son partenaire en Syrie, la société pétrolière nationale General Petroleum Company (GPC), qu'en raison d'une situation de "force majeure" elle a décidé de suspendre temporairement ses activités, sans pour autant abandonner les deux contrats d'exploitation du pétrole et de gaz signés en 1998 et en 2004.


La Croatie, qui est appelée à adhérer à l'UE en 2013, a adopté jeudi des sanctions contre les autorités syriennes, en assumant ainsi des mesures décidées par Bruxelles.


En 2011, le profit d'INA (264 million euros) a été notamment lié aux activités développées en Syrie. La compagnie avait déjà réduit ses activités en Syrie et en a rapatrié la plupart de ses employés sur place.


L'UE a adopté contre la Syrie plusieurs séries de sanctions, qu'elle entend encore durcir, dans le but de stopper la répression menée par le régime de Damas contre les insurgés qui réclament que le président Bachar al-Assad quitte le pouvoir.

 

Source : lesechos.fr, le 27 février 2012.

 

 

Note : on n'a pas demandé l'avis des Croates, ils doivent se coucher au nom de la déstabilisation de la Syrie. 

 

 

 


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