Dubrovnik : la connexion juive rate son coup.
Le projet de golf était avait été proposé par l'homme d'affaires israélien Aaron Frenkel en collaboration avec le golfeur australien Greg Norman, ancien N.1 mondial qui a remporté l'Open britannique en 1986 et 1993 (lien).
Aaron Frenkel n'est rien de moins qu'un marchand d'armes (lien en anglais sur Haaretz).
Frankel s'est marié avec la croate Maja Brinar qui a été l'adjointe d'un ancien ministre de l'économie. Après son mariage Maja Brinar se convertit au judaisme et adopta le nom traditionnel de Ruth.
C'est avec l'aide de Davor Stern, un croate de confession juive qui fut lui-aussi ministre de l'économie, que le couple avait rencontré l'ancienne maire de Dubrovnik, Dubravka Suica.
Une fois introduit dans la place, pour mener à bien son projet le marchand d'armes disposait d'un homme d'influence en la personne du juif Ivo Goldstein, délégué croate auprès de l’UNESCO et Ambassadeur auprès de la République Française ainsi qu’auprès de la Principauté de Monaco.
D'après Enes Ćerimagić, juriste du mouvement écologique Zelena Akcija, Ivo Goldstein “a lui aussi négligé l’intérêt général” au regard d'un site classé au patrimoine de l'UNESCO.
En 2010, Bernard-Henri Lévy (un autre juif cette fois mieux connu) a été l’invité d’honneur d’un dîner de gala et d’une vente aux enchères organisé à Monaco par
les mécènes Maja Ruth et Aaron Frenkel. A cette occasion BHL avait livré une interview (ici) à un média local où il défendait encore et toujours le pédophile d'ascendance juive Roman Polanski.
Rome
Rassemblement solidaire avec le Donbass le 7 février.
Source : https://www.facebook.com/donbass.italia?fref=ts
Croatie : la confiance n'y est plus.
En ce début d’année le gouvernement croate s’essaie poussivement à quelques mesures antilibérales. Il s’agit davantage de colmatage pour éviter une explosion sociale que d’une réelle volonté de changer les choses. C’est pourquoi chaque jour une centaine de Croates souscrivent à l’assurance Zivi Zid en prenant leur carte auprès du seul parti prêt à les aider en cas de pépin.
1. Croatie : dettes effacées pour des démunis
Les dettes de quelque 60.000 personnes les plus
démunies en Croatie, notamment envers des entreprises publiques, des opérateurs
de téléphonie et de banques, et dont les comptes ont été bloqués, seront
effacées à hauteur de 4.500 euros, vient d'annoncer le gouvernement.
"La situation sociale est extrêmement difficile et le gouvernement en est
conscient. Mais il s'agit d'une mesure unique parce que la dette ne sera
effacée qu'une seule fois", a déclaré à la presse la ministre de la
Politique sociale, Milanka Opacic. Cette mesure concerne les personnes ou
les familles les plus démunies, qui touchent déjà des allocations sociales.
La mesure s'applique également aux personnes dont les revenus mensuels ne
dépassent pas 325 euros ainsi qu'aux familles dont les revenus cumulés ne
dépassent pas 160 euros pour chacun de ses membres.
Un pays en récession économique depuis six ans
Le salaire moyen en Croatie, pays de 4,2 millions d'habitants qui a adhéré en
2013 à l'Union européenne, était en octobre de 737 euros, alors que le chômage
touche 19,2% de la population active. La Croatie est en récession
économique quasiment permanente depuis plus de six ans.
Ces dettes seront effacées par les services municipaux, la compagnie nationale
d'électricité, trois opérateurs de téléphonie et six banques, a-t-on précisé.
Le montant total des dettes qui seront supprimées devrait s'élever à près 290
millions d'euros, a précisé l'agence officielle Hina.
Selon une association locale représentant des personnes dont les comptes en
banque ont été bloqués, il y a au total 320.000 Croates frappés par cette
mesure alors que la dette totale de particuliers envers des banques s'élève à
3,8 milliards d'euros, soit environ 8,7% du PIB.
Source : lefigaro.fr, le 15 janvier 2015.
2. La Croatie va fixer le cours du franc suisse pour protéger les débiteurs
La Croatie a annoncé lundi le "gel" du cours du franc suisse pour quelque 60'000 particuliers dans ce pays qui remboursent des crédits libellés en devise helvétique
Suite à la flambée du franc suisse, le gouvernement croate a décidé lundi de remettre au Parlement des amendements à la loi qui vont "fixer le cours du franc suisse à 6,39 kuna", a déclaré le Premier ministre Zoran Milanovic.
Cette mesure sera valable durant un an et son coût devra être couvert par les banques. Environ 90% du secteur bancaire croate est contrôlé par des banques étrangères.
Après la décision de la Banque nationale suisse (BNS) d'abandonner le taux plancher de 1,20 pour un euro, la kuna croate a décroché d'environ 17% face au franc. Une association locale représentant des emprunteurs a mis en garde contre une "catastrophe" pour quelque 60'000 débiteurs.
En Croatie, les prêts libellés en francs suisses se chiffrent à 23,7 milliards de kunas (environ trois milliards de francs), selon la banque nationale. La hausse du franc suisse menaçait d'affecter entre 200'000 et 300'000 personnes dans ce pays de 4,2 millions d'habitants
Source : rts.ch, le 19 janvier 2015.
Blagoslov
Bénédiction
Kad vrhovnih sila odluka se zbude
Te se Pjesnik rodi u čemernu svijetu,
Prestravljena mati s krikom psovke lude
Diže k Bogu pesti, a ne hvalu svetu:
»O, što nisam vrgla škorpije i zmije,
Nego da mi grudi ovo ruglo doje!
O, prokleta noć kad strast nam uzavrije,
Te utroba zače ispaštanje moje!
Kad od sviju žena na me gnjev svoj svali
Da se mužu jadnom zgadim kao kužna,
I kad ne može u ognju da se spali
Ko ljubavno pismo ta nakaza ružna,
Prenijet ću svu mržnju kojom si me shrvo
Na prokleto sredstvo tvoga zla i kazne,
Tako dobro svinut ću to bijedno drvo
Da nikad ne pusti pupove zarazne!«
Tako joj se usta gnjevom kletve pjene,
I, ne shvaćajući sudbu onozemnu,
Samoj sebi sprema u grobu Džehenem
Lomaču za zločin grešnih majki spremnu.
Ipak, dok nevidljiv anđeo ga štiti,
Nesretno dijete zrake sunca pije,
I sve što okusi, što uzme piti,
Biva srk nektara, trunak ambrozije.
S vjetrom igra se i s oblacima priča,
Opojen, sa pjesmom križnim putem hodi;
Motreći ga, vedra poput šumskog ptića,
I Duh plače što ga u romanju vodi.
Svi koje on voli, klone ga se, strani,
Ili, pakosni zbog njegove mirnoće,
Nadmeću se tko će ljuće da ga rani,
I na njemu vrše ispit svoje zloće.
Njegov kruh i vino, bez grižnje nemirne,
Pepelom i slinom često opogane;
Licemjerno bace ono što on dirne,
Strahuju da tko mu u trag stope stane.
A žena mu viče po mjestima javnim:
»Kad sam dosta lijepa da mu zanos budim,
Želim biti slična kraljicama davnim,
Ures čista zlata ko i one žudim;
Želim pjanstvo mirta, tamjana i kada,
Mirisavih ulja, paske, mesa, vina,
Da znam da l' mi osmijeh čije srce svlada
Da pobožno štuje draž mojih vrlina!
A kad mi ta igra pakosna dodija,
Stavit ću mu na grud krhku, snažnu ruku;
Moji nokti, oštri ko nokti harpija,
Znat će sve do srca da mu se zavuku.
Kao mlado ptiče, što plaho treperi,
Trgnut ću mu srce skrletno iz prsi,
Od dragosti, svojoj najmilijoj zvijeri
Bacit ću ga, s mržnjom, neka se omrsi!«
K nebu, gdje mu oko vidi tron u svili,
Pjesnik vedro diže ruke u visine,
Blijesak svevidnog mu duha uvis krili,
Dalek svemu onom što zli ljudi čine:
»Blagoslovljen, Bože, što nam patnju dijeliš,
Ko božanski lijek za naše niske slasti,
Najbolju, najčišću hranu kojom želiš
Jake spremiti za pothvat svetih strasti!
Za pjesnika, znam da jedno mjesto imaš
U presretnu krugu svojih serafina,
Na vječitu gozbu da ga k sebi primaš,
Vječni blagdan Vlasti, Trona i Vrlina!
Znam, tek bol je prava plemenitost, koju
Ne satire moć zemaljska ni paklena,
Za mističnu krunu potrebno je moju
Da zadivim svemir sav i sva vremena.
Ali ni Palmirsko basnoslovno blago,
Ni biserje morsko, neznani metali,
Djela vaših ruku, ni kamenje drago,
Na toj dijademi sjajnoj ne bi sjali;
Jer ona tek svjetlom najčistijim zrači,
Prsnulim iz iskre jednog jasnog pradna,
Ljudsko oko, kraj sveg sjaja, uza nj znači
Tek sjaj ogledala maglena i jadna!«
Lorsque, par un décret des
puissances suprêmes,
Le Poète apparaît en ce monde ennuyé,
Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes
Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié:
— «Ah! que n'ai-je mis bas
tout un noeud de vipères,
Plutôt que de nourrir cette dérision!
Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères
Où mon ventre a conçu mon expiation!
Puisque tu m'as choisie
entre toutes les femmes
Pour être le dégoût de mon triste mari,
Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes,
Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri,
Je ferai rejaillir ta haine
qui m'accable
Sur l'instrument maudit de tes méchancetés,
Et je tordrai si bien cet arbre misérable,
Qu'il ne pourra pousser ses boutons empestés!»
Elle ravale ainsi l'écume
de sa haine,
Et, ne comprenant pas les desseins éternels,
Elle-même prépare au fond de la Géhenne
Les bûchers consacrés aux crimes maternels.
Pourtant, sous la tutelle
invisible d'un Ange,
L'Enfant déshérité s'enivre de soleil
Et dans tout ce qu'il boit et dans tout ce qu'il mange
Retrouve l'ambroisie et le nectar vermeil.
II joue avec le vent, cause
avec le nuage,
Et s'enivre en chantant du chemin de la croix;
Et l'Esprit qui le suit dans son pèlerinage
Pleure de le voir gai comme un oiseau des bois.
Tous ceux qu'il veut aimer
l'observent avec crainte,
Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité,
Cherchent à qui saura lui tirer une plainte,
Et font sur lui l'essai de leur férocité.
Dans le pain et le vin
destinés à sa bouche
Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats;
Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche,
Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Sa femme va criant sur les
places publiques:
«Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer,
Je ferai le métier des idoles antiques,
Et comme elles je veux me faire redorer;
Et je me soûlerai de nard,
d'encens, de myrrhe,
De génuflexions, de viandes et de vins,
Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire
Usurper en riant les hommages divins!
Et, quand je m'ennuierai de
ces farces impies,
Je poserai sur lui ma frêle et forte main;
Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies,
Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin.
Comme un tout jeune oiseau
qui tremble et qui palpite,
J'arracherai ce coeur tout rouge de son sein,
Et, pour rassasier ma bête favorite
Je le lui jetterai par terre avec dédain!»
Vers le Ciel, où son oeil
voit un trône splendide,
Le Poète serein lève ses bras pieux
Et les vastes éclairs de son esprit lucide
Lui dérobent l'aspect des peuples furieux:
— «Soyez béni, mon Dieu,
qui donnez la souffrance
Comme un divin remède à nos impuretés
Et comme la meilleure et la plus pure essence
Qui prépare les forts aux saintes voluptés!
Je sais que vous gardez une
place au Poète
Dans les rangs bienheureux des saintes Légions,
Et que vous l'invitez à l'éternelle fête
Des Trônes, des Vertus, des Dominations.
Je sais que la douleur est
la noblesse unique
Où ne mordront jamais la terre et les enfers,
Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique
Imposer tous les temps et tous les univers.
Mais les bijoux perdus de
l'antique Palmyre,
Les métaux inconnus, les perles de la mer,
Par votre main montés, ne pourraient pas suffire
A ce beau diadème éblouissant et clair;
Car il ne sera fait que de
pure lumière,
Puisée au foyer saint des rayons primitifs,
Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière,
Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs!»
Izvor : http://www.e-novine.com/kultura/kultura-knjige/115401-Blagoslov.html
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