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A quelques kilomètres seulement de la mer, sur l'ancien dépôt d'ordures de Kaštijun situé entre Pula et Medulin, s'offre une scène détestable : des monceaux d'ordures et des dizaines de mouettes en train d'y farfouiller, en plein sud touristique de l'Istrie.

Depuis plus de deux ans, l'Initiative citoyenne s'oppose à ce que soit construit un centre de gestion des déchets du district à Kaštijun, où devraient être déposés les déchets de toute l'Istrie. Les activistes affirment que cela menacerait la santé d'à peu près 85.000 citoyens. Du reste, de telles scènes ne sont sans doute pas faites pour les yeux des touristes européens qui ont une conscience développée de l'écologie.

Pour l'instant la lutte des activistes reste sans effets : le permis pour le futur centre de gestion des déchets d'une valeur de 100.000 euros a déjà été accordé.

La dernière manifestation des activistes s'est tenue il y a trois jours ; ils exigent que l'ancienne décharge soit assainie au plus vite mais aussi que l'on trouve un autre emplacement pour la construction du centre de gestion des déchets. Ils tiennent pour responsable du projet le chef de district Ivan Jakovčić et la ministre compétente Marina Matulović Dropulić.

L'initiative citoyenne "Ne Kaštijun" fait savoir que l'étude d'impact sur l'environnement, ainsi que la détermination de la surface et du contenu du futur centre du district pour la gestion des déchets, se fait de manière non transparente, sans que soient consultés les citoyens et les collectivités territoriales.






Tek koji kilometar od mora, na starom odlagalištu otpada Kaštijun između Pule i Medulina, užasan prizor: gomila smeća i deseci galebova koji po njemu kopaju na samom turističkom jugu Istre

Građanska inicijativa više od dvije godine bori se protiv izgradnje županijskog centra za gospodarenje otpadom na Kaštijunu, gdje bi se trebao odlagati otpad iz cijele Istre. Aktivisti tvrde da bi time bilo ugroženo zdravlje oko 85 tisuća građana. Uostalom, ovakvi prizori zasigurno nisu za oči europskih turista koji imaju razvijenu svijest o ekologiji.

Borba aktivista zasad nema rezultata: za budući centar za gospodarenje otpadom vrijedan sto tisuća eura već je izdana lokacijska dozvola.

Posljednji prosvjed aktivista održao se prije tri dana, a traže hitnu sanaciju starog odlagališta, ali i drugu lokaciju za izgradnju centra za gospodarenje otpadom. Za projekt krive župana Ivana Jakovčića i resornu ministricu Marinu Matulović Dropulić.

Iz građanske inicijative NE Kaštijun kažu da se izrada studije utjecaja na okoliš, kao i određivanje površine i sadržaja budućeg županijskog centra za gospodarenje otpadom, odvijala netransparentno, bez konzultiranja građana i jedinica lokalne samouprave.

Source : h-alter.org, le 8 juin 2010.

Conférence sur la Bosnie-Herzégovine

 

 

Une conférence sera proposée le lundi 14 juin, à 20 h 30, à l'Espace Noriac à Limoges.

 

 

Elle a lieu dans le cadre de l'exposition "Notre Histoire", Sarajevo, Bosnie Herzégovine, 1992-95, présentée au centre de la mémoire à partir du 25 juin.

 

 

Le thème. Nicolas Moll, directeur adjoint du centre André-Malraux de Sarajevo, parlera de "La Bosnie Herzégovine, l'impossible sortie de guerre ?".

 

 

Le contexte. Après la disparition officielle de la République socialiste fédérative de Yougoslavie le 25 décembre 1991, la Bosnie Herzégovine suit la voie ouverte par la Slovénie et la Croatie.

 

 

Le pays déclare son indépendance en mars 1992, à la suite d'un référendum boycotté par la population serbe.

 

 

La guerre éclate en avril 1992, et prend fin officiellement le 14 décembre 1995 avec la signature des accords de Dayton, entérinant un partage territorial de la Bosnie.

 

 

Les conséquences de la guerre marquent toujours le présent des Bosniens et l'avenir de la Bosnie Herzégovine.

 

Entrée libre.

 

Renseignements. 05.55.43.04.30.

 

 

Source : lepopulaire.fr, le 8 juin 2010. 

 

Solidarité internationale avec 6 anarchistes de Belgrade 

 

 

Solidarité avec les 6 de Belgrade ! Manifestons avant leur procès le 16 juin 2010

 

Les 24-25 août 2009 l’ambassade grecque à Belgrade, Serbie, a été dégradée en solidarité avec Todiris Iliopulos, qui a été incarcéré en Grèce lors des émeutes de fin 2008 et avait entamé une grève de la faim. Il n’y a eu que des dommages mineurs à l’extérieur du bâtiment de l’ambassade. Bien que la responsabilité ait été entièrement revendiquée par un autre groupe, en septembre quatre membres de l’Initiative Anarchosyndicaliste (ASI, la section serbe de l’Association Internationale des Travailleurs) et deux autres personnes ont été arrêtés sans mandats. Ils ont été détenus sans charge pendant 3 mois puis finalement accusés de « terrorisme international » ; c’était la première fois que cette accusation était retenue en Serbie.

Les 6 de Belgrade ont passé les cinq mois et demi suivants dans de terribles conditions d’isolement et de torture dans la Prison Centrale à Belgrade. Mais un dur travail mené par d’autres camarades dans les Balkans, combiné à une protestation internationale impressionnante de la part de groupes libertaires et à une inquiétude publique par rapport à l’utilisation de la nouvelle loi ont abouti à leur libération sous caution en février 2010. Lors de la première audience le 17 février, à laquelle plus de 200 personnes de Serbie et d’ailleurs ont tenté d’assister, la cour les a libérés afin qu’ils continuent leur défense en dehors de la prison.

Il est important de savoir que pendant la détention des 6 de Belgrade, trois sympathisants d’une autre ASI locale ont été arrêtés à Vršac pour avoir placardé des posters avec les mots « Liberté pour les anarchistes arrêtés ». Deux autres camarades de l’extérieur de la Serbie ont été arrêtés pendant qu’ils soutenaient les 6 de Belgrade pendant le procès, pour avoir distribué un prospectus disant « L’anarchisme n’est pas du terrorisme » et se sont vu saisir leurs documents de voyage. Les autorités ont également essayé de faire interdire un spectacle artistique mettant en scène l’un des 6 de Belgrade. Après la défaite de la première audience, l’aile droite a décidé d’utiliser des formes alternatives de répression et d’intimidation contre ASI. Au début du mois de mars 2010 des posters fascistes disant « Connais ton voisin ! Connais les ennemis de la Serbie » sont apparus près de l’entrée d’une tour d’immeuble où l’un des 6 de Belgrade vit. Le poster racontait des mensonges sur ASI et disait « si une cour corrompue ne les jugera pas, voici ceux qui vont le faire » et « Nous savons où vous vivez, nous savons quand vous dormez ».

Une deuxième audience a eu lieu le 23 mars. Face à la menace d’un autre mois de retard les défendeurs ont été obligés de participer à la deuxième audience sans présence publique. Ils n’ont été prévenus que le jour du procès que l’accusation de « terrorisme international » serait réduite à celle d’« atteinte à la sécurité publique ». L’accusation est toujours sérieuse dans la mesure où c’est la même accusation qui est portée contre les nationalistes qui ont monté l’ambassade des États-Unis contre le soutien étasunien à la déclaration d’indépendance du Kosovo, dans laquelle une personne à trouvé la mort. La peine minimale d’emprisonnement est de 6 mois et la peine maximale de 13 ans.

Le 16 juin 2010, la dernière audience des 6 de Belgrade aura lieu.

L’Internationale des Fédérations Anarchistes (IAF-IFA) soutient l’appel à des manifestations précédant le procès. Depuis le début l’accusation de “terrorisme international” et le procès aux airs de show politique étaient très clairement un autre acte de répression contre ASI qui s’oppose aux ultraconservateurs et aux nationalistes et soutient l’agitation des travailleurs en Serbie et ailleurs dans les Balkans, comme en Grèce. Les manifestations ont été interdites au centre ville de Belgrade, puisque les autorités cherchent à contrôler l’agitation des travailleurs. La Belgrade Pride a également été interdite. Des membres d’ASI soutenaient cette parade. Nous voyons que les convictions politiques sont suffisantes pour enfermer des anarchistes, confrontés aux accusations les plus graves.

Il est important d’attirer davantage l’attention sur ce cas et de créer un soutien pour les camarades d’ASI-IWA avant le 16 juin. Nous exhortons tous et toutes les libertaires à organiser et à soutenir des manifestations et des actions en soutien aux 6 de Belgrade et à leurs sympathisants qui ont été arrêtés ou se sont vu saisir leur documents de voyage et à rester à jour en lisant le site Internet

http://belgradesolidarity.org/

 

Contre la répression. Pour l’anarchisme,

 

L’Internationale des Fédérations Anarchistes (IAF-IFA)

 

http://www.iaf-ifa.org

http://www.i-f-a.org

 

Source : anar56.over-blog.org, le 7 juin 2010. 

 

Condamnant fermement les 50 ans d'occupation et la politique agressive menées par l'Etat d'Israël, dont le récent exemple patent fut le carnage contre des civils dans les eaux internationales, et exprimant un soutien entier à la lutte de libération palestinienne, les membres de l'organisation zagréboise de Radnička borba ont mené une action de solidarité dans la nuit du 6 juin 2010. A l'entrée du bâtiment dans lequel sont situés les locaux de l'Ambassade d'Israël à Zagreb (rue grada Vukovara, 271) avec une bombe aérosol de couleur rouge a été inscrit en anglais le message "Israel - agresseur", et ont été collées des affiches frappées de l'image du mouvement de résistance palestinien pourvue du message en anglais : "Vive la Palestine libre".

L'incident qui s'est déroulé la semaine dernière n'est pas une exception mais la conséquence logique et la poursuite d'une politique criminelle de la bourgeoisie israélienne, rendues visibles dans la sanglante attaque contre la bande de Gaza l'année dernière, le blocus de Gaza qui se poursuit, et dans les mesures de subtil nettoyage ethnique de la population arabe qui est opérée en continu. L'actuel gouvernement de droite israélien fait clairement savoir dans sa destruction massive de vies humaines qu'il est prêt à aller aussi loin que bon lui semble, et que les principes internationaux et les droits de l'Homme ne sont que des platitudes auxquels les impérialistes ont recours lorsque cela leur convient, en refusant d'entreprendre quoi que ce soit lorsque ces principes sont ouvertement bafoués par leurs alliés.

La classe capitaliste israélienne et leurs valets politiques sous l'aspect de Benyamin Netanyahou, Avigdor Lieberman et autres, ainsi que leurs parrains et protecteurs impérialistes - les USA et l'UE - sont les pires ennemis et les bourreaux de la population arabe, mais aussi de la classe laborieuse juive. L'arrêt durable des conflits armés, la coexistence pacifique entre les populations arabe et juive, de même que la réalisation des intérêts vitaux fondamentaux de tous ceux qui vivent de leur travail, ne sont possibles qu'à condition de renverser le gouvernement israélien et la classe dominante israélienne et de détruire leur domination économique. Il est nécessaire d'organiser une forte mobilisation des travailleurs progressifs autant juifs qu'arabes, mais aussi d'organiser une classe laborieuse internationale vouée à l'objectif d'une auto-détermination pleine et inconditionnelle de la Palestine, au rejet de la politique sioniste ainsi qu'au droit au retour des réfugiés de 1948.

L'organisation zagréboise de Radnička borba

 

Oštro osuđujući pedesetogodišnju okupatorsku i agresorsku politiku države Izrael, čiji je nedavni otvoreni primjer predstavljalo krvoproliće nad civilima u međunarodnim vodama, te izražavajući punu potporu palestinskoj oslobodilačkoj borbi, članovi zagrebačke organizacije Radničke borbe su tijekom noći 6. 6. 2010. izvršili akciju solidarnosti. Na ulazu u zgradu u kojoj se nalaze prostorije Izraelskog veleposlanstva u Zagrebu (Ulica grada Vukovara 271) crvenim je sprejem na engleskom jeziku ispisana poruka: „ Izrael – agresor“, te su zalijepljeni plakati s grafikom palestinskog pokreta otpora uz poruku na engleskom: „ Živjela slobodna Palestina“.

Incident koji se dogodio prošloga tjedna nije izuzetak nego logična posljedica i nastavak zločinačke politike izraelske buržoazije, vidljive i u prošlogodišnjem krvoločnom vojnom udaru na pojas Gaze, blokadi Gaze koja se i dalje nastavlja, te u mjerama suptilnog etničkog čišćenja arapskog stanovništva koje se neprekidno odvija. Postojeća izraelska desna vlada očito daje do znanja da je u svojem masovnom uništavanju ljudskih života spremna otići toliko daleko koliko želi, te kako su principi međunarodnih i ljudskih prava samo floskule koje imperijalisti upotrebljavaju onda kada im to odgovora, odbijajući da poduzmu bilo što u slučajevima najotvorenijih kršenja tih principa od strane njihovih saveznika.

Izraelska kapitalistička klasa i njihovi politički sluge u vidu Benjamina Netanyahua, Avigdora Liebermana i ostalih, te njihovi imperijalistički pokrovitelji i zaštitnici – SAD i EU,  najveći su neprijatelji i krvnici ne samo arapskog stanovništva, već i židovske radničke klase. Trajni prestanak oružanih sukoba, miran suživot arapskog i židovskog stanovništva, kao i ostvarivanje temeljnih životnih interesa svih onih koji žive od svoga rada, moguće je samo pod pretpostavkom zbacivanja izraelske vlade i izraelske vladajuće klase, te uništavanjem njezine ekonomske dominacije. Potrebno je organizirati snažnu mobilizaciju kako progresivnih arapskih i židovskih radnika, tako i međunarodne radničke klase posvećenu ciljevima punog i bezuvjetnog samoodređenja Palestine, odbacivanja cionističke politike, te prava na povratak izbjeglica iz 1948.

zagrebačka organizacija Radničke borbe


Source : radnickaborba.org, le 6 juin 2010.

Video

 

L'accord sur les frontières approuvé en Slovénie