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Balkanikum

posté le 14-05-2010 à 18:03:00

Salon du livre des Balkans 

 

Du 4 juin 2010 au 5 juin 2010

Les associations Albania et le Courrier des Balkans organisent le premier Salon du livre des Balkans. Il accueillera à Paris plus de 30 auteurs venus d‘Albanie, de Bosnie- Herzégovine, de Bulgarie, de Croatie, de Grèce, du Kosovo, de Macédoine, du Monténégro, de Roumanie, de Serbie et de Turquie.

Le salon du livre des Balkans présentera au public la diversité éditoriale d'hier et d'aujourd'hui des Balkans dans les domaines de la littérature, du voyage et de l'histoire.

De nombreux éditeurs des Balkans feront découvrir leurs éditions en langue originale aux côtés d'éditeurs français.

Tables rondes, rencontres, dédicaces, cartes blanches, expositions photographiques et de livres anciens rythmeront ces deux journées.

Au programme, quatre tables rondes :

La littérature de voyage : le regard des voyageurs sur les Balkans du XIXème siècle à aujourd'hui.
Les écrivains balkaniques d'expression française : pourquoi écrire dans la langue de l'autre ?
L'émergence des "Balkans romanesques".
La traduction : que traduit-on des Balkans en langue française et pourquoi ?

Informations pratiques :

Entrée libre
Vendredi 4 et samedi 5 juin (de 12h à 20 h)
Cité internationale des arts
18, rue de l'Hôtel de ville - 75004 Paris
Métro : Pont Marie - ligne 7
Bus : 67 et 96
Station Vélib' face au salon
Renseignements : +33 (0) 6 64 82 20 79

Url de référence :
http://www.livredesbalkans.org
 
Source : fabula.org, le 14 mai 2010. 
 


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posté le 14-05-2010 à 11:21:44

Polančec a raison : la vente de TLM a été signée par Jadranka Kosor !
 

Le document du gouvernement datant du 19 avril 2007 par lequel a été acceptée l'offre du consortium national pour TLM a été signé en personne par celle qui était alors la vice-Premier ministre, Jadranka Kosor, rapporte le journal Novi list.

En apposant sa signature J. Kosor a permis au consortium national Adrial d'acquérir TLM, et la décision fut prise lors de la séance à huis clos tenue par le Gouvernement le 19 avril 2007. Cependant, le Gouvernement n'a pas pour habitude de publier les documents issus des séances à huis clos de sorte que jusqu'à présent personne n'était au courant que J. Kosor avait apposé sa signature donnant lieu à la privatisation controversée.

Même si la décision revêt un certain caractère formel, c'est par elle qu'au nom du Gouvernement fut acceptée la recommandation du comité du Fonds croate pour la privatisation (HFP) pour qu'Adrial soit choisi afin de reprendre TLM. La décision ne fait que constater que le Gouvernement a accepté l'offre du consortium pour reprendre la part détenue par le gouvernement à hauteur de 80,2% dans TML, pour une valeur nominale de 442 millions d'euros.

Le fait que Jadranka Kosor eut signé le document, et non pas l'ex Premier ministre Ivo Sanader, n'a rien d'inhabituel, toutefois les récentes déclarations de Damir Polančec laissant entendre que le cabinet restreint porte tout autant la responsabilité prennent désormais un tout autre sens.

Au sein du Comité du HFP siégeaient alors les ministres Ivan Šuker, Petar Čobanković et Božidar Kalmeta. Pour autant que l'on sache personne n'a encore été interrogé.




Polančec imao pravo: prodaju TLM-a potpisala Jadranka Kosor!
 


Vladin dokument od 19. travnja 2007. godine kojim je prihvaćena ponuda domaćeg konzorcija za TLM potpisala je osobno tadašnja potpredsjednica Vlade Jadranka Kosor, prenosi Novi list.

Svojim potpisom Kosor je omogućila domaćem konzorciju Adrialu da privatizira TLM, a odluka je donesena na zatvorenom dijelu sjednice Vlade 19. travnja 2007. godine, no Vlada nema običaj objavljivati dokumente sa zatvorenog dijela sjednice pa se tako do danas nije znalo ni za Kosoričin potpis vezan uz kontroverznu privatizaciju.

Sama odluka prilično je formalnog karaktera, ali je njom u ime Vlade prihvaćena preporuka Upravnog odbora HFP-a da Adrial bude izabran za preuzimanje TLM-a. U odluci se tek konstatira da je Vlada prihvatila ponudu konzorcija za preuzimanje Vladinog udjela od 80,2 posto u TLM-u, nominalne vrijednosti 442 milijuna kuna.

Činjenica da je Jadranka Kosor potpisala dokument, a ne bivši premijer Ivo Sanader, nije ništa neobično, no nedavne izjave Damira Polančeca kako je kriv isto koliko i uži kabinet Vlade sada dobivaju drugi smisao.

U upravnom odboru HFP-a tada su uz Polančeca sjedili i ministri Ivan Šuker, Petar Čobanković te Božidar Kalmeta, a koliko je poznato nitko do sada još nije ispitan.

 

Source : business.hr, le 14 mai 2010. 

 


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posté le 14-05-2010 à 09:08:46

Video

 

L'arrestation de Mladić toujours attendue 

 


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posté le 13-05-2010 à 11:34:42

Interruption des chimiothérapies en Bosnie-Herzégovine
 

A l'Hôpital universitaire de Mostar et dans d'autres hôpitaux au travers de la Bosnie-Herzégovine ont été interrompues les chimiothérapies par manque de cytostatiques suite aux manquements des agences pour les médicaments au niveau des entités et de l'Etat, ont annoncé mardi les médias à Mostar.

Les cytostatiques pour plusieurs types de chimiothérapies font défaut depuis plus de 15 jours, ce qui a été confirmé à l'Hôpital universitaire de Mostar. Les cytostatiques sont exclusivement achetés par la Caisse d'assurance maladie de la Fédération de Bosnie-Herzégovine sur base de procédures complexes pour les commandes publiques.

"Il existe des problèmes avec plusieurs cytostatiques, et pour leur acquisition il existe maintenant des problèmes techniques", a déclaré la directrice de la Caisse d'assurance maladie (ZZO) de la Fédération de Bosnie-Herzégovine, Novka Agić. Elle a expliqué que la dernière tentative d'appel d'offres pour ces cytostatiques a tout bonnement échoué car aucun fournisseur n'a répondu à l'appel d'offres.

La raison pour laquelle les cytostatiques viennent à manquer est liée aux procédures de pré-enregistrement pour tous les médicaments particuliers pour lesquels il est désormais nécessaire d'obtenir l'autorisation de l'Agence nationale pour les médicaments et les produits médicaux de Bosnie-Herzégovine dont le siège est situé à Banja Luka, une tâche auparavant confiée aux agences des entités.

Selon les médias, au lieu d'une liste unique essentielle des médicaments existants en Republika Srpska et dans la Fédération de Bosnie-Herzégovine, même les hôpitaux plus importants doivent désormais attendre que l'agence délivre l'autorisation pour l'utilisation de tous les médicaments. L'agence nationale explique cela par les règles à respecter quant à la provenance, la qualité et les effets des médicaments que les fournisseurs doivent à nouveau enregistrer auprès d'elle.


Obustavljene kemoterapije u BiH
 

U Sveučilišnoj kliničkoj bolnici u Mostaru i drugim bolnicama diljem BiH obustavljene su kemoterapije zbog nedostatka citostatičnih lijekova zbog niza propusta državnih i entitetskih agencija za lijekove, objavili u utorak mediji u Mostaru

Više od 15 dana za nekoliko vrsta kemoterapija nedostaje citostatika, što su potvrdili u Sveučilišnoj bolnici u Mostaru. Citostatike isključivo nabavlja Zavod za zdravstveno osiguranje Federacije BiH na temelju složenih procedura javnih nabava.

"Postoje problemi s nekoliko citostatika i za njihovu nabavu sada postoje tehnički problemi", rekla je ravnateljica Zavoda zdravstvenog osiguranja (ZZO) Federacije BiH Novka Agić. Pojasnila je kako je posljednji natječaj za nabavku ovih citostatika jednostavno propao jer se nitko do dobavljača nije javio na natječaj.

Do zastoja u nabavi citostatika došlo je i zbog postupka preregistracije svih pojedinačnih lijekova za koje je sada potrebno dobiti odobrenje od državne Agencije za lijekove i medicinska sredstva BiH sa sjedištem u Banjoj Luci, što su do sada radile entitetske agencije.

Mediji navode da se umjesto samo objedine esencijalne liste postojećih lijekova u Republici Srpskoj i Federaciji BiH, sada i najteži bolesnici moraju čekati da agencija izda odobrenje za korištenje svih lijekova. Iz državne agencije to objašnjavaju propisima kojih se moraju pridržavati te odgovarati za podrijetlo, kakvoću i učinke lijekova koje nabavljači ponovno moraju registrirati kod njih.

Source : e-novine.com, le 13 mai 2010.
 


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posté le 11-05-2010 à 15:55:47

Sur son "Blog de veille sur les droits de l'homme en Serbie", l'auteur Dragan Grčić a posé une note intitulée "Chomsky a perdu toute crédibilité". Voici ce qui semble être l'interview critiquée de Noam Chomsky. L'émission fut diffusée sur TV BHA en janvier 2006 et elle était dirigée par Duška Jurišić. Vient ensuite ma traduction.

Note : Noam Chomsky ne parlant pas le bosniaque, il s'agit obligatoirement d'une traduction de traduction, ce qui n'est jamais l'idéal. 


Zanimljivo je da vi i ovaj put ne koristite reč genocid za ono što se
dogodilo u Srebrenici u ratnom periodu. Zašto?

Tako je. Ja ne volim način na koji se koristi reč genocid proteklih
nekoliko godina. Ja više volim da korišćenje te reči ostavim za ono
što mu je bila prvobitna namena, posebno kada je u pitanju holokaust i
u drugim slučajevima istinskih razaranja velikih razmera usmerenog na
uništenje jednog naroda. Ja sam, recimo, isto tako koristio termin
genocid za Ruandu, ali ga nisam koristio za zločine na Istočnom Timoru
u isto vreme gde je 200.000 ljudi bilo pobijeno. Izbrisano je  1/3,
1/4 stanovnika uz podršku SAD, Britanije i Francuske ali za to i za
neke druge stravične masakre koji su se desili, ja isto tako ne bih
koristio reč genocid. Srebrenica nije ni blizu tih razmera. Tako isto,
ne bih rekao <<genocid>> za zločine u El Salvadoru koji godinama traju i
gde je 10 hiljada ljudi postradalo... Jednostavno se pojeftinjuje značaj
tog termina...

Prof. Čomski, u pravnoj kvalifikaciji, odnosno obrazloženju presude
gen. Radislavu Krstiću, komandantu Drinskog korpusa, stoji da je on
osuđen za genocid koji je počinjen u Srebrenici od jedinica kojima je
on komandovao...

Ja ću ponoviti ono što sam već rekao. Termin genocid izvorno je
stvoren da označi zločine, konkretno zločine holokausta i masovni
pokolj Jevreja, odnosno Roma, Cigana, u nastojanju da se oni potpuno
zbrišu. I mislim da ga je primereno koristiti i za druge velike
pokolje raznih vrsta, recimo onaj koji se dogodio u Ruandi u isto
vreme kao i ratovi na Balkanu. Ja znam, kao što sam već spomenuo, da
se poslednjih godina termin genocid koristi na različite načine.
Koristi se za ubijanje velikih razmera koje vrši neprijatelj. Ako
ljudi žele tako da koriste tu reč onda dobro, ali u tom slučaju, nam
treba nova reč da zameni staru reč <<genocid.>> Ja lično radije bih da
zadržim izvornu reč u izvornom značenju, ali to je jednostavno pitanje
terminologije. Ne mislim da je <<genocid>> odgovarajući termin za
neprijateljsko ubijanje širih razmera. Ne koristimo to ni za svoje
zločine čak i ako budu širih razmera.

Ovde nije bilo reči samo o ubijanju širih razmera, nego i o nameri za
istrebljenje jednog naroda ili dela tog naroda. To je formulacija
genocida svuda u svetu, pa i u Haškom tribunalu. Sada, Vi ste veliki
protivnik rada Haškog tribunala. Šta o njegovom radu sada mislite?

Dozvolite da odgovorim na to. To nije način na koji se termin genocid
koristi. Recimo, uzmite ove situacije koje sam spomenuo, mada mogu da
navedem i druge primere. U slučaju Timor u isto vreme otprilike negde
1/3, 1/4 stanovništva je izbrisana, 200.000 ljudi. To je, u suštini,
bilo uz podršku SAD, Britanije i Francuske. Niko to ne zove genocidom.
Mada se uklapa u definiciju pokušaja da se uništi veći deo, ogroman
deo naroda, u ovom slučaju u isto vreme kao i rat na Balkanu.

Prof. Čomski, mi ovde govorimo o sudskoj presudi...

Isto stanovništvo je, u suštini i ovde. Niko to ne naziva genocidom.
Jeste bilo slučajeva u Centralnoj Americi autentičnog genocida, kao
što je, recimo, Gvatemala. Vojne snage, uz podršku SAD, jesu  pokušale
i praktično uspele su da potpuno izbrišu određena plemena Maja. I to
se, takođe, može nazvati genocidom. Ali, ubijanje širokih razmera
nekoliko hiljada ljudi u Centralnoj i Južnoj Americi niko ne zove
genocidom. Ni ja to ne zovem genocidom, mada to jeste bio pokušaj da
se uništi veliki deo stanovništva... Ali, ako će se termin genocid
koristiti na način koji opisujete, onda ima genocida u ovom trenutku u
svim delovima sveta.

To niko ne osporava. Recite nam šta mislite o radu Haškog tribunala za
ratne zločine počinjene na teritoriji bivše Jugoslavije, kao veliki
kritičar njegovog rada, kasnih 90-tih i 2000-tih godina. Šta mislite o
rezultatima rada ovog suda?

Tribunal koji se bavi balkanskim ratovima s početka 90-tih je, koliko
ja znam, dosta dobro radio svoj posao. Rad tribunala u 2000. godini je
bio potpuna farsa. Optužnice su objavljene protiv Miloševića usred
američkog, britanskog i francuskog bombardovanja, očigledno, kao
političko sredstvo opravdavanja bombardovanja, dok su se veoma
ozbiljni zločini dešavali u isto vreme. Ali svi mi znamo ili bi
trebalo da znamo da su, u stvari, zločini bili posledica
bombardovanja, a ne uzrok. Usred tog zločina, usred bombardovanja,
tribunal postupa kao zastupnik SAD, Britanije, Francuske i podiže
optužnicu za ratne zločine. Pogledajte optužnicu, samo se jedna tačka
odnosi na period pre bombardovanja. Optužnica je, pre svega, doneta na
osnovu informacija obaveštajne službe Amerike i Britanije. To se ne
može ozbiljno uzimati usred jednog bombardovanja. Uz to, jedna grupa
međunarodnih pravnika, malo nakon toga, obraća se tribunalu sa
informacijama koje su izvedene iz priznanja komande NATO i veliki broj
organizacija za ljudska prava traže da tribunal podnese optužnice
protiv NATO, a tribunal to odbija obrazlažući to kršenjem pravila.
Jednostavno, prihvata da je NATO delovao dobronamerno te neće
istražiti takve optužbe. Tako da ma šta mislili o tribunalu danas, to
je u stvari agencija, politička agencija koja deluje kao
podrška...prvenstveno zapadnim silama predvođenim Sjedinjenim Američkim
Državama. To jednostavno diskredituje tribunal i ono što su njegove
stvarne aktivnosti. Ja moram reći da postoji problem sa svim ovakvim
međunarodnim tribunalima. To se vraća do Nirnberga...U Nirnbergu su
sudili možda najgorim zločincima sveta. To je nesporno. Morali su
definisati ratni zločin i zločin protiv čovečnosti, i to su uradili
vrlo eksplicitno, tako da opravdaju saveznike. Bilo kakav ozbiljan
zločin saveznika se nije nazvao ratnim zločinom i upravo zato
bombardovanje civilnih područja u samom Nirnbergu nije nazvano ratnim
zločinom. Razlog tome je što su saveznici učinili više zločina nego
nacisti. Jednostavno, mi smo bili izuzeti od optužbe... Tako su
komandanti američkih podmornica vršili zločine. Jedan od njih je imao
izjavu britanskog zapovedništva mornarice, i svedoci su rekli: "Jeste,
Amerikanci i Britanci su radili iste stvari". U drugom tribunalu oni
bi bili osuđeni, osim u Nirnberškom gde su bili oslobođeni. I to zato
što je definicija ratnog zločina pred tribunalom bio zločin kada ste
ga vi činili, a ne mi.

Na kraju rada tribunala, sudija DŽekson je dao vrlo elokventno
objašnjenje kako je odluka ovog tribunala obavezujuća za sve, a
posebno je obavezujuća za SAD i Britaniju. Ako mi ikada izvršimo bilo
kakva dela ovakve vrste kakvu mi osuđujemo, u ovom trenutku, onda i mi
podležemo istim propisima, istim kaznama, istim zakonima. To se,
naravno, nikad nije desilo. Na osnovu toga vidimo da su od samog
početka tribunali sadržavali jednu fatalnu manu. Sadrže je i danas,
čak i ako je svakodnevni rad jeste legitiman, to se dešava.

Pitanja iz publike:

Prof. Čomski, hteo bih Vam postaviti jedno pitanje. Ja sam Hasan
Nuhanović iz Srebrenice. Putem e-maila smo razmenili pre 10-tak dana
poruke vezane za vašu izjavu u javnosti o Srebrenici. Na jedan
filozofski način govorite o terminu <<genocid,>> dajete jednu definiciju
i smatrate da je ta definicija ostala na neki način nedorečena. Možda,
u suštini, rezervišete taj termin za holokaust nad Jevrejima, Ciganima
i ostalim narodima u Drugom svetskom ratu... Sami ste se pozvali da
govorite o Srebrenici, niko vas nije pozvao da o Srebrenici govorite.
Moje pitanje je vrlo jednostavno, da li sebe stavljate iznad Haškog
tribunala i iznad presude o genocidu?

Ja sam već objasnio. Ako ljudi žele da koriste termin <<genocid>> tako
kako ga koristi tribunal, onda se mogu voditi suđenja protiv ljudi iz
celog sveta uključujući lidere SAD, Britanije, Francuske i drugih koji
su odgovorni za zločine koji su, žao mi je što to tako moram reći,
veći od zločina u Srebrenici...Ako tako želite da koristite termin
<<genocid,>> onda je to vaš izbor. Ali, onda se on mora šire primeniti.
Međutim, moramo  se dogovoriti oko novog termina koji bi označavao ono
što je <<genocid>> prvobitno značio. Prvobitno, on je bio stvoren kao
termin za zločine koje su počinili nacisti i trebalo je da se odnosi
na ogromne pokolje koji su za cilj imali uništenje naroda. Takav je
slučaj bio u Ruandi, kao što sam napomenuo, i on se može nazvati
genocidom. Možda se i pokolj u Istočnom Timoru može nazvati genocidom,
ali se to ne radi, jer je za te zločine odgovoran Zapad. Ima još dosta
takvih primera. Jednostavno, ako će se termin <<genocid>> koristiti za
ubijanje velikih razmera koja vrši neprijatelj, onda u redu. Možemo se
dogovoriti da ga tako koristimo. Ali, onda to nema nikakvog moralnog
značenja. Što se tiče tribunala, tj. da li je neko iznad tribunala, i
vi ste iznad i svako od nas. Mi smo iznad tribunala u Nirnbergu. Svi
mi imamo moralnu odgovornost da sudimo za sva dela, nezavisno od toga
ko ih je učinio. I upravo zato ja dajem kritiku i suđenju u Nirnbergu.

U toku vašeg ranijeg intervjua, prvi put sam čula da javno spominjete
cifru od 8.000 hiljada ubijenih u Srebrenici. Pitam se, zašto toliko
dugo i na ne mali način ste dali svoju podršku autorki jedne upitne
knjige Dajani DŽonston, koja stavlja veliki znak pitanja na broj
ubijenih u Srebrenici?

Znam šta sam rekao o Srebrenici. Rekao sam da je <<generalno prihvaćena
brojka je otprilike 7.500-8.000 >> u svim ozbiljnim studijama. Dajana
DŽonston je postavila pitanja o tome, kao i u mnogi drugi naučnici.
Što se tiče moje podrške njenoj knjizi, imajte na umu ono što se
dogodilo. Naime, njena knjiga govori o događajima. Trebalo je da bude
objavljena u Švedskoj, veliki napad desio se na tu knjigu u švedskim
novinama. Meni su ti detalji bili poslati, traženo je da na to dam
komentar. Prošao sam kroz optužbe koje su iznete protiv nje i veoma
lako sam mogao da vidim da su te optužbe laž i obmana. I o tome
postoji otvoreno pismo.... Onda sam rekao i ponoviću, mislim da je
neverovatno povući jednu knjigu iz štampe na osnovu običnih laži i
obmana....Ja podržavam slobodu štampane rači. Možete se sa njenim
naučnim radom složiti ili ne, to je druga stvar, ali ja sam protiv
povlačenja objavljenog teksta zato što se protiv nje upućuju laži koje
je lako pobiti.

Rekli ste da je njena knjiga jedan izvrstan rad koji upućuje ljude da
gledaju na ono što se desilo u BiH kao činjenica i kao razum. Dakle,
vi ste njen rad nazvali izvrsnim, rad koji negira činjenicu da je u
Srebrenici ubijeno 8.000 ljudi?

Ja i dalje stojim iza svake reči koju sam rekao, a to nije ono što ste
vi rekli. Knjiga je povučena na osnovu serije običnih laži i obmane...
Ona ne kaže ništa definitivno o Srebrenici. Ona samo otvara razna
pitanja. To je u stvari naučni rad. Ako želite uđutkati naučni rad sa
kojim se ne slažete, to je vaše pravo. Na osnovu principa koji sam
spomenuo, postoji pošten način da se to uradi. Odgovorite joj,
dokažite joj da nije u pravu. Ne možete samo reći da su to činjenice i
ona ih opovrgla. Ali, ako neke knjige treba zabraniti zato što kažu
nešto što se vama ne sviđa, onda je to izvan domena civilizacijskog
razgovora.

Pročitao sam, ne knjigu, već tekst od 20-tak strana  Dajane DŽonston,
koji je ona objavila na internetu. I u tom tekstu 90% su bile
iskrivljene činjenice o dešavanjima u Srebrenici tokom rata u kome sam
ja učestvovao 3,5 god. Da li verujete meni ili gospođi DŽonston?

Ja nisam pročitao šta ste vi napisali o tome, tako da ne mogu da dam
svoj komentar. Ali, ja bih to objavio negde gde će se to videti. Dao
bih detaljan pregled činjenica, za koje vi kažete da su u 90%
iskrivljene. Onda se može odgovoriti na to pitanje. Ali, ako vi samo
kažete <<ja mislim da su iskrivljene>>, ja nemam načina da o tome sudim.

(Emisija sa Noamom Čomskim emitovana na TV BH1,januara 2006.
Razgovarala Duška Jurišić)

 

***



On notera que cette fois vous n'utilisez pas le mot génocide pour ce qui s'est passé à Srebrenica au moment de la guerre. Pourquoi ?

C'est cela. Je n'aime pas la façon dont on utilise le mot génocide ces dernières années. Je préfère laisser l'usage de ce mot à ce qui était sa finalité première, en particulier lorsqu'il s'agit de l'Holocauste et d'autres cas de véritables destructions de grande ampleur visant à l'élimination d'un peuple. Ainsi, j'ai pareillement utilisé le terme génocide pour le Rwanda, mais je ne l'ai pas utilisé pour les crimes commis au Timor oriental à la même époque lorsque 200.000 personnes furent tuées. Un tiers/un quart de la population fut anéantie avec l'appui des USA, de la Grande Bretagne et de la France, pourtant, pour cela et pour d'autres crimes monstrueux qui ont eu lieu, je n'utiliserais pas non plus le mot génocide. Srebrenica est loin d'atteindre de telles proportions. De même, j'éviterais de dire "génocide" pour les Crimes au Salvador qui durent depuis des années et où 10.000 personnes ont péri... Tout simplement on galvaude la signification de ce terme...



Pr Chomsky, dans la qualification juridique, c'est-à-dire dans les motifs du jugement prononcé contre le général Radislav Krstić, commandant du Corps de la Drina, il est dit qu'il est condamné pour le génocide qui a été perpétré à Srebrenica par les unités qu'il commandait...

Je répéterai ce que j'ai déjà dit. Le terme génocide a été créé à l'origine pour définir des crimes, concrètement les crimes d'holocauste et de tueries massives de Juifs ou de Roms, de Tziganes, en vue de les éliminer entièrement. Et je pense qu'il est approprié de l'utiliser aussi pour d'autres grandes tueries en tout genre, comme par exemple celle qui a eu lieu au Rwanda à la même époque que les guerres dans les Balkans. Je sais, comme je l'ai déjà dit, que le terme génocide est utilisé ces dernières années de diverses façons. On l'utilise pour les tueries de grande ampleur auxquelles se livrent l'ennemi. Si les gens souhaitent utiliser ce mot en ce sens alors c'est OK, mais dans ce cas il nous faut un nouveau mot pour remplacer l'ancien mot "génocide". Personnellement je préfèrerais conserver le mot original dans son sens original, mais c'est simplement une question de terminologie. Je ne pense pas que "génocide" soit un terme qui corresponde aux tueries ennemies à grande échelle. Nous ne l'utilisons pas davantage pour nos propres crimes, même lorsqu'ils atteignent de grandes proportions.



Ici il ne s'agissait pas seulement de tueries à grande échelle, mais aussi de l'intention d'exterminer un peuple ou une partie de ce peuple. Ainsi formule-t-on le génocide partout au monde, y compris au Tribunal de La Haye. Justement vous êtes un grand adversaire du travail du Tribunal de la Haye. Que pensez actuellement de son travail ?

Permettez-moi de répondre à cela. Ce n'est pas la façon dont le terme génocide est utilisé. Prenons comme exemple ces situations dont j'ai parlé, même si je pourrais citer d'autres exemples. Dans le cas du Timor, à la même époque a été anéanti quelque chose comme un tiers/un quart de la population, 200.000 personnes. Cela se fit, pour l'essentiel, avec l'appui des USA, de la Grande Bretagne et de la France. Personne ne qualifie cela de génocide. Alors même que cela rentre dans la définition de tentative d'anéantir une grande partie d'un peuple, une immense partie, en l'occurrence à la même époque que la guerre dans les Balkans.



Pr Chomsky, ici nous parlons d'une décision de justice...

On retrouve pour l'essentiel la même [grandeur de] population. Personne n'appelle cela génocide. On a observé en Amérique centrale des cas d'authentique génocide, comme par exemple au Guatemala. Les forces militaires, avec l'appui des USA, ont tenté et pratiquement réussi à anéantir complètement certaines tribus mayas. Et cela aussi peut être qualifié de génocide. Pourtant, il n'y a personne pour qualifier de génocide la tuerie à grande échelle de plusieurs milliers de personnes en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Moi non plus je n'appelle pas cela un génocide, même si on a affaire à une tentative d'exterminer une grande partie de la population. Néanmoins si le terme génocide doit être utilisé de la façon que vous décrivez, alors il existe des génocides en ce moment dans toutes les parties du monde.



Cela personne ne le conteste. Dites-nous ce que vous pensez du travail du Tribunal de La Haye pour les crimes commis sur le territoire de l'ex-Yougoslavie, vous qui êtes un grand détracteur de son travail, pour la fin des années 90 et les années 2000. Comment jugez-vous les résultats du travail de ce tribunal ?

Le tribunal qui s'occupe des guerres balkaniques a assez bien fait son travail, pour ce que j'en sais, au début des années 90. Le travail du Tribunal a été une farce absolue durant l'année 2000. Les accusations furent publiées contre Milošević au beau milieu des bombardements américain, britannique et français, visiblement, comme moyen politique pour justifier les bombardements, alors que des crimes très sérieux étaient commis en même temps. Or nous savons tous, ou devrions savoir, qu'en fait les crimes furent la conséquence des bombardements et non pas la cause. En plein milieu du crime, en plein milieu du bombardement, le tribunal agit comme représentant des USA, de la Grande Bretagne et de la France, et il dresse des actes d'accusation pour les crimes de guerre. Regardez l'accusation, seul un chef porte sur la période d'avant les bombardements. L'accusation a surtout été formulée sur base des informations transmises par les services secrets d'Amérique et de Grande Bretagne. Cela ne peut sérieusement être pris en considération en plein bombardement. En outre, un groupe de juristes internationaux, un peu après cela, s'est adressé au tribunal avec des informations venant des aveux mêmes du commandement de l'OTAN tandis qu'un grand nombre d'organisations pour les droits de l'homme demanda que le tribunal dresse une accusation contre l'OTAN. Or, le tribunal s'y refusa en justifiant cela par une violation des règles. Simplement, il admet que l'OTAN a agi avec bonne intention et il n'enquêtera pas sur de telles accusations. Ainsi, quoi que l'on pense aujourd'hui du tribunal, il s'agit en fait d'une agence, d'une agence politique qui oeuvre comme soutien... en premier lieu des puissances occidentales menées par les Etats-Unis d'Amérique. Cela discrédite tout simplement le tribunal et ce que sont ses activités réelles. Je dois dire qu'il existe un problème avec tous ces tribunaux internationaux. Cela remonte jusqu'à Nuremberg... Sans doute qu'à Nuremberg ont été jugés les pires crimes au monde. C'est indéniable. Il leur avait fallu définir le crime de guerre et le crime contre l'humanité, ce qu'ils firent très explicitement, de façon à justifier les alliés. Il n'est pas un crime des alliés qui ait été qualifié de crime de guerre et c'est bien pourquoi le bombardement de zones civiles à Nuremberg même n'a pas été qualifié de crime de guerre. La raison vient de ce que les alliés ont commis plus de crimes que les nazis. Tout simplement nous avons été exempté des accusations... C'est ainsi que les commandants des sous-marins américains ont commis des crimes. L'un d'entre eux a fait état d'une déclaration du commandement britannique de la marine, et les témoins ont déclaré : "Oui, les Américains et les Britanniques ont fait les mêmes choses". Dans un autre tribunal ils auraient été condamnés, sauf à Nuremberg où ils ont été acquittés. Et cela parce que le crime de guerre devant le tribunal était défini comme un crime lorsque vous l'avez commis, et non pas moi.

Au terme des travaux du tribunal, le juge Jackson expliqua de façon très éloquente que la décision de ce tribunal avait un caractère obligatoire pour tous, et en particulier pour les USA et la Grande Bretagne. Si jamais nous commettons un crime quelconque du genre de ceux que nous condamnons, dès cet instant nous tombons sous le coup de ces mêmes règles, de ces mêmes peines, de ces mêmes lois. Bien entendu, cela n'est jamais arrivé. Partant de là, nous voyons que dès le début les tribunaux comportaient un vice fatal. Aujourd'hui encore ils en sont affligés. Quand bien même le travail quotidien est légitime, les choses se passent ainsi.



Questions du public :

Pr Chomsky, je voudrais vous poser une question. Je m'appelle Hasan Nuhanović de Srebrenica. Par voie de courriels nous avons échangé il y a une dizaine de jours des messages liés à votre déclaration publique à propos de Srebrenica. D'une façon très philosophique vous parlez du terme "génocide", vous donnez une définition et vous estimez que cette définition est restée en quelque sorte incomplète. Peut-être qu'au fond vous réservez ce terme pour l'Holocauste contre les Juifs, les Tziganes et les autres peuples durant la Seconde Guerre mondiale... Vous-même avez choisi de parler de Srebrenica, personne ne vous a demandé de parler de Srebrenica. Ma question est très simple, est-ce que vous vous placez au-dessus du Tribunal de La Haye ainsi qu'au-dessus du jugement sur le génocide ?

Je l'ai déjà expliqué. Si les gens veulent utiliser le terme "génocide" dans le sens où le fait le tribunal, alors on peut instruire des procès contre les gens du monde entier, y compris les dirigeants des USA, de la Grande Bretagne, de la France et d'autres qui sont responsables pour des crimes qui sont, je regrette de le dire ainsi, plus grand que le crime à Srebrenica... Si vous souhaitez utiliser ainsi le terme "génocide", c'est votre choix. Mais alors il faut l'appliquer plus largement. Il reste alors à se mettre d'accord sur un nouveau terme qui indiquerait ce que le "génocide" signifiait à l'origine. A l'origine, il a été créé comme terme pour les crimes qu'avaient commis les nazis et il devait concerner les immenses massacres qui avaient pour but d'exterminer des peuples. Un tel cas s'est produit au Rwanda, comme je l'ai dit, et il peut être appelé un génocide. Sans doute le massacre au Timor oriental peut-il être qualifié de génocide, mais il n'en fut rien car pour ces crimes l'Occident détient la responsabilité. Il existe encore pas mal de tels exemples. Tout simplement, si le terme "génocide" doit être utilisé pour des tueries à grande échelle que commet l'ennemi, alors c'est d'accord. Nous pouvons convenir de l'utiliser de la sorte. Sauf qu'alors il ne comporte aucune signification morale. En ce qui concerne le tribunal, c'est-à-dire de savoir si quelqu'un est au-dessus du tribunal, vous même vous êtes au-dessus et chacun de nous. Nous sommes au-dessus du tribunal de Nuremberg. Tous nous avons la responsabilité morale de juger tout acte, quel que soit celui qui l'a commis. Et c'est bien pourquoi j'adresse aussi des critiques au tribunal de Nuremberg.



Au long de votre interview, j'ai entendu pour la première fois que vous citez le chiffre de 8.000 morts à Srebrenica. Je me demande, pourquoi vous avez pendant si longtemps et de façon aussi appuyée donné votre appui à l'auteur d'un livre douteux, Diana Johnston, qui remet fortement en cause le nombre de tués à Srebrenica ?

Je sais ce que j'ai dit sur Srebrenica. J'ai dit que "généralement est accepté le nombre d'environ 7.500 à 8.000 [morts]" dans toutes les études sérieuses. Diana Johnston a posé la question à ce sujet, de même que nombre de scientifiques. En ce qui concerne mon soutien à son livre, prenez en compte ce qui s'est passé. En effet, son livre parle d'événements. Il devait être publié en Suède, de grosses attaques furent lancées contre ce livre dans les journaux suédois. Ces détails me furent rapportés, on me demanda de commenter la chose. Je passai en revue les accusations qui étaient portées à son encontre et je pu très  facilement voir que ces accusations étaient mensongères et trompeuses. Et il existe à ce propos une lettre ouverte... J'ai alors dit et je le répète : je pense qu'il est incroyable de retirer un livre de la presse sur base de simples mensonges et tromperies. Je soutiens la liberté de la presse écrite. Vous pouvez être d'accord avec son travail scientifique ou pas, c'est une autre affaire, mais je m'oppose à ce que soit retiré un texte publié parce que lui sont adressés des mensonges qu'il est facile de réfuter.



Vous avez dit que son travail est un excellent travail qui amène les gens à regarder ce qui s'est passé en Bosnie-Herzégovine sur un plan factuel et sensé. Par conséquent vous avez qualifié son travail d'excellent, un travail qui nie le fait qu'ont été tuées 8.000 personnes à Srebrenica ?

Je maintiens chaque mot que j'ai prononcé. Or ce n'est pas ce que vous avez dit. Le livre a été retiré sur base d'une série de simples mensonges et tromperies... Elle ne dit rien de définitif sur Srebrenica. Elle ne fait qu'ouvrir certaines questions. C'est en l'espèce un travail scientifique. Si vous voulez étouffer un travail scientifique avec lequel vous n'êtes pas d'accord, c'est votre droit. Sur base des principes que j'ai exposés, il existe une façon honnête d'y parvenir. Répondez lui, montrez lui qu'elle a tort. Vous ne pouvez vous contenter de dire que ce sont des faits tandis qu'elle, elle les nie. Mais s'il faut interdire certains livres parce ce leur contenu ne vous plaît pas, alors cela quitte le domaine de l'entretien civilisé.



J'ai lu non pas le livre mais un texte d'une vingtaine de pages écrit par Diana Johnston qu'elle a publié sur internet. Ce texte aussi comporte 90% de faits déformés à propos des événements à Srebrenica durant la guerre où j'ai participé pendant trois ans et demi. Est-ce que vous me croyez moi ou plutôt Mme Johnston ?

Je n'ai pas lu ce que vous avez écrit à ce propos, de sorte que je ne peux vous livrer mon commentaire. Toutefois je le publierais quelque part où cela peut se voir. Je donnerais un aperçu détaillé des faits pour lesquels vous dites qu'ils sont déformés à 90%. Alors on peut répondre à cette question. Mais si vous dites seulement "je pense qu'ils sont déformés", je ne suis pas en mesure d'en juger.


 


Commentaires

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1. Dragan  le 12-05-2010 à 15:48:01

Merci!

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