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Balkanikum

posté le 19-05-2010 à 13:20:26

La monnaie serbe atteint un nouveau minimum historique face à l'euro

   
La monnaie nationale serbe, le dinar, a enregistré mercredi un nouveau record à la baisse face à la monnaie européenne et s'échange à 101,45 dinars pour un euro, a annoncé la Banque centrale de Serbie sur son site internet.

Le dinar avait dépassé lundi le seuil psychologique des 100 dinars pour un euro, une baisse sans précédent depuis l'introduction de la monnaie européenne, qui intervient en dépit des efforts de la Banque centrale pour interrompre cette tendance.

Le dinar a chuté en dépit d'une intervention de la Banque centrale qui a vendu mardi 50 millions d'euros pour tenter de préserver la valeur de la monnaie serbe.

Depuis le début de l'année, la Banque centrale serbe a procédé à la vente de 796,5 millions d'euros pour stabiliser la valeur du dinar.

L'Institut pour l'économie à Belgrade souligne que la baisse du dinar a pour effet de favoriser les exportations serbes et de renchérir le coût des importations.

"Les exportateurs sont sans aucun dilemme les vainqueurs de la situation actuelle", a déclaré à l'AFP Ivan Nikolic, de l'Institut.

"Cela est, du reste, en accord avec la politique économique que prônent actuellement les autorités", voulant "favoriser les exportations et décourager les importations", a-t-il ajouté.

La baisse du dinar constitue un "moyen supplémentaire" pour ajuster l'économie, a relevé M. Nikolic.

Face à ses problèmes de déficit, "la Grèce ne peut dévaluer l'euro et n'a par conséquent comme ressource que diminuer les salaires ou augmenter sa TVA", a estimé M. Nikolic.

La Serbie peut par contre "modifier sa politique budgétaire, mais elle peut aussi dévaluer sa monnaie et stabiliser de la sorte sa balance des paiements", a-t-il ajouté.

Le Conseil monétaire de la Banque centrale de Serbie a décidé par ailleurs mercredi de maintenir son taux directeur à 8%.

Source : lepoint.fr, le 19 mai 2010.
 


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posté le 18-05-2010 à 23:20:09

La présidente du Gouvernement s'était adressée à l'Association du barreau de Croatie dès vendredi


J. Kosor a bien demandé à ce que l'Association du barreau intervienne contre Nobilo.

Zagreb - Bien que l'Association du barreau de Croatie (HOK) ait engagé indépendamment une procédure à l'encontre d'Anto Nobilo dès jeudi dernier, la présidente du Gouvernement Jadranka Kosor a demandé vendredi dernier à l'HOK de faire savoir si celle-ci considère que les déclarations de Nobilo dans les médias représentent une pression sur la justice, et si ces déclarations sont permises selon le Code de déontologie des avocats.

Dans une lettre datée du 14 mai, la présidente du Gouvernement constate que "dans les dernières déclarations [faites] aux médias, l'avocat Anto Nobilo indique de façon inexacte et tendancieuse que la présidente du Gouvernement et les ministres au sein du Gouvernement 'tentent de mouiller' son client Damir Polančec et qu'un procès politique est mené à son encontre."

Rejetant comme inexactes les thèses de Nobilo, et signalant que les organes judiciaires en Croatie sont indépendants et que le Gouvernement n'influence pas leur travail, la Premier ministre Jadranka Kosor a prié le président de l'HOK, Leo Andreis, de faire savoir si Nobilo a enfreint le Code de déontologie des avocats, et si cela représente une pression sur la justice.

Pour rappel, Jadranka Kosor avait déclaré samedi que l'Association du barreau de Croatie devait s'occuper des déclarations de Nobilo. [...]






Predsjednica vlade još se prošlog petka obratila HOK-u
 
 
Kosor ipak tražila intervenciju Komore protiv odvjetnika Nobila

ZAGREB – Premda je Hrvatska odvjetnička komora (HOK) samostalno pokrenula disciplinski postupak protiv Ante Nobila još prošlog četvrtka, predsjednica Vlade Jadranka Kosor prošlog petka je od HOK-a tražila očitovanje predstavljaju li Nobilovi medijski istupi pritisak na pravosuđe, te jesu li dozvoljeni prema Kodeksu odvjetničke etike.

U dopisu Komori od 14. svibnja, predsjednica Vlade konstatira da »u zadnjim istupima u medijima odvjetnik Ante Nobilo na neistinit i tendenciozan način navodi kako predsjednica Vlade i ministri u Vladi 'smještaju' njegovom klijentu Damiru Polančecu, te da se protiv istog vodi politički proces«.

Odbacivši Nobilove teze kao neistinite, te istaknuvši da su pravosudna tijela u Hrvatskoj neovisna i da Vlada ne utječe na njihov rad, premijerka Jadranka Kosor zamolila je predsjednika HOK-a Lea Andreisa da se izjasni je li Nobilo povrijedio Kodeks odvjetničke etike, te predstavlja li to pritisak na pravosuđe.

Podsjetimo, Jadranka Kosor je u subotu izjavila kako bi se Nobilovim izjavama trebala pozabaviti i Hrvatska odvjetnička komora. [...]

Source : novilist.hr, le 18 mai 2010.
 


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posté le 18-05-2010 à 17:45:39

Formation interculturelle en France, Allemagne et Croatie 

 

 

Formation interculturelle à thème "Cultures et frontières"
Formation trinationale franco-germano-croate 2010

Cycle de formation à thème en 3 sessions :
- Session 1 : du 18 au 25 mai 2010 à Vukovar/Osijek (Croatie)
- Session 2 : du 16 au 22 octobre 2010 à Blossin / Berlin (Allemagne)
- Session 3 : du 29 novembre au 5 décembre 2010 à Strasbourg (France)


Présentation

Cette formation interculturelle, réalisée dans le cadre du pacte de Stabilité pour l’Europe du Sud Est, s’adresse à des jeunes adultes - étudiants, jeunes en formation professionnelle, personnes engagées dans des associations ou dans le travail avec des jeunes - susceptibles de développer des projets d’échanges internationaux ou désireux de s’ouvrir à d’autres cultures. Elle traite de sujets tels que l’apprentissage interculturel, le rôle et la fonction de l’animateur d’échanges internationaux, le travail en équipe interculturelle, les jeux et méthodes spécifiques aux échanges de jeunes.

De jeunes Français, Allemands et Croates se retrouvent afin de discuter des problématiques et des enjeux interculturels en Europe. Des interprètes seront présents pour faciliter la communication (parler anglais ou une langue commune est un plus pour communiquer pendant les temps informels).

Pendant toute la durée du séminaire, nous nous confronterons aux réalités, aux contextes historiques et culturels des cultures représentées (visites, débats, rencontres).

 

Eléments du programme

- Discussions sur la situation politique et économique de l’ex-Yougoslavie, et de l’Europe
- Débats sur les questions suivantes : les droits de l’Homme, l’engagement des jeunes dans la société civile, l’importance de la coopération régionale dans le cadre du processus d’intégration à l’UE
- Approches méthodologiques de la formation interculturelle
- Exposés de spécialistes (ONG, associations) dans le domaine politique, scientifique, culturel et social

 

Frais de participation

200 euros par sessions (hébergement, repas, transports sur place, formation compris)

50 euros de réduction si vous trouvez d'autres participants.

 

Remboursement des frais de transports (de 100 à 75 %)

 

Partenaires

Formation reconnue par l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse

Formation réalisée en partenariat avec :
Jugendbildungszentrum Blossin
Agency for local Democracy Osijek


Informations complémentaires

 

http://www.peuple-et-culture.org/spip.php?article341


Jean-Luc Menu, responsable du secteur international de Peuple et Culture
06 15 33 74 25
jeanlucmenu@hotmail.com

 

Nina Guillerme, relations publiques
ninaguillerme@hotmail.fr

 

Carmen Celis-Concha, secrétaire au service international de Peuple et Culture
01 49 29 42 80
concha@peuple-et-culture.org

 

Source : mozaik-asso.overblog.com, le 18 mai 2010. 


 


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posté le 18-05-2010 à 10:20:28

Deux mois pour arrêter Mladic !
 

Ratko Mladic, vous savez... le bourreau du massacre de Srebrenica... Cela fait 15 ans que ce général de l’armée serbe de Bosnie est en cavale. 15 ans de trop pour les familles des survivants et pour l’honneur de la justice internationale.

Dans deux mois, au milieu du mois de juillet 2010, les survivants de la ville de Srebrenica en Bosnie, réfugiés, exilés et habitants, se recueilleront pour commémorer le massacre en 1995 d’environ 8.000 hommes et jeunes garçons commis par les forces serbes. Pendant ce temps, Ratko Mladic coule une retraite paisible à Belgrade.

Le Bureau du Procureur du Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie de La Haye (TPIY) a déposé lundi 10 mai 2010 une requête aux fins de modification de l’acte d’accusation établi contre Ratko Mladić, ancien chef de l’état-major principal de l’armée des Serbes de Bosnie (VRS). Dans la nouvelle version proposée pour l’acte d’accusation, Ratko Mladić doit répondre de 11 chefs de génocide, crimes contre l’humanité et violations des lois ou coutumes de la guerre pour le nettoyage ethnique en Bosnie-Herzégovine (1992-1995), la campagne de terreur contre la population civile lors du siège de Sarajevo (1992-1995), la prise en otage de membres de l’ONU (mai et juin 1995) et le génocide de Srebrenica (juillet 1995).

Dix-huit ans ont passé depuis qu’ont été commis les premiers crimes reprochés dans cet acte d’accusation. Bien que le premier acte d’accusation établi contre Ratko Mladić ait été confirmé le 25 juillet 1995, l’accusé continue d’échapper à la justice.

L’enjeu est clair, il faut que d’ici la date de cette commémoration, le bourreau de Srebrenica soit traduit devant les tribunaux. C’est ce que sont en droit d’attendre les familles des victimes et les citoyens soucieux de justice.

A la demande de Hatidza Mehmedovic, responsable d’une des associations rassemblant des femmes de Srebrenica, le procureur du Tribunal pénal international (TPIY), Serge Brammertz, a lancé mardi 27 avril 2010, depuis le mémorial des victimes du massacre de Srebrenica, un appel pressant en faveur de l’arrestation de Ratko Mladic, ancien chef militaire des Serbes bosniaques. "Il n’y a pas d’alternative à l’arrestation de Ratko Mladic. C’est très important pour les victimes. C’est bien évidemment important pour le TPIY, afin d’achever son mandat. Mais c’est aussi une question de crédibilité pour la communauté internationale", a déclaré M. Brammertz devant des journalistes.

Srebrenica reste dans nos mémoires comme la pire tuerie en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale. Ce massacre a été qualifié de génocide par la justice internationale, et notamment par le TPIY. C’est à Srebrenica, alors zone protégée par l’ONU, que la campagne généralisée de persécutions, expulsions, tortures et meurtres menée en 1992 dans de vastes parties de la Bosnie-Herzégovine, notamment dans les tristement célèbres camps de détention d’Omarska, de Keraterm, de Manjača et de Trnopolje, a atteint son paroxysme.

Un léger espoir s’est laissé entrevoir avec la résolution du 30 mars 2010 , exprimé par le parlement serbe. Une résolution en demie-teinte qui exprime de la compassion pour les victimes et des excuses pour ne pas avoir tout fait pour éviter le massacre. Mais aucune reconnaissance du « génocide ». Un diplomate occidental posté en Bosnie lorsque le massacre de Srebrenica a eu lieu a affirmé que passer la résolution sans arrêter Mladic ne voulait pas dire grand-chose. Pour certains défenseurs des droit humains, c’est une duperie de plus pour obtenir les faveurs de l’UE et des investisseurs, sans avoir à livrer le général Mladic. Dans de nombreux milieux autorisés, ce dernier fait figure de héros national.

Ce n’est pas la première fois que les Serbes tentent d’amadouer la diplomatie européenne avec des gestes d’apparente bonne volonté. De plan d’actions en intentions, le pouvoir serbe a longtemps fait croire qu’il faisait le nécessaire pour capturer Ratko Mladic. C’est l’incapacité - réelle ou feinte – des autorités de Belgrade à respecter cet engagement qui avait incité la Commission européenne à suspendre les négociations pour l’entrée de la Serbie dans le giron européen, le 3 mai dernier. D’ailleurs, dans une interview publiée mardi par le quotidien serbe Vecernje Novosti, le leader de la Républica Serpska, Milorad Dodik a affirmé que les Serbes bosniaques ne qualifieraient "jamais" le massacre de Srebrenica de génocide.

Et le Tribunal Pénal International, que peut-il faire ? Contrairement aux autorités judiciaires nationales, le TPIY n’a pas de force de police ni le pouvoir de procéder à des arrestations. Il ne peut se passer de la coopération d’autres instances – notamment de celle des gouvernements nationaux et des forces internationales basées dans la région – pour arrêter les accusés encore en fuite.

En revanche, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité et au Statut du Tribunal, les États Membres ont l’obligation de coopérer sans réserve avec le Tribunal, de répondre à ses demandes d’assistance et de respecter les ordonnances rendues par ses juges. Au fil des années, le Président du TPIY a alerté à plusieurs reprises le Conseil de sécurité sur l’absence de coopération de certains États, reprochant particulièrement à la Serbie de ne pas procéder à l’arrestation et au transfert des accusés.

En fin de compte, ce sont les États, et non le Tribunal, qui ont le pouvoir d’arrêter les fugitifs, le Bureau du Procureur n’ayant qu’une petite équipe d’enquêteurs chargés de réunir des informations permettant de les localiser, les recherches et les arrestations proprement dites étant effectuées par les forces de police des pays concernés ou les forces internationales en poste dans la région. Le Procureur a maintes fois répété que l’arrestation de la plupart des fugitifs dépendait de Belgrade.

Mais l’arrestation d’accusés en fuite depuis parfois plus d’une décennie représente toujours un enjeu majeur. Le Procureur du TPIY a publiquement fait part de sa frustration face au manque de coopération des acteurs locaux et internationaux, les exhortant à mettre leurs efforts en commun pour rechercher les accusés encore en fuite.

Le TPIY reconnaît que sans l’arrestation et le jugement des derniers fugitifs, son objectif principal qui est de contribuer au rétablissement de la paix en ex-Yougoslavie ne pourra jamais être entièrement atteint. Le Tribunal continue de prier instamment le Conseil de sécurité de signifier clairement à ces accusés qu’ils ne sauraient échapper à la justice internationale et que leurs procès ne dépendent pas du calendrier de la stratégie d’achèvement des travaux du Tribunal.

Mais des intentions aux actes, on le sait, la route est sinueuse. C’est donc aux citoyens de se mobiliser pour que d’ici le mois de juillet, Mladic soit déféré devant la justice internationale.

par Yan de Kerorguen

Source : place-publique.fr, le 18 mai 2010.
 


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posté le 18-05-2010 à 02:50:33

Leo Andreis a préparé l'achat de TLM de Šibenik en faveur d'Adrial
 

Le président de l'Association du barreau, Leo Andreis, qui la semaine dernière a engagé une procédure disciplinaire à l'encontre de l'avocat Anto Nobilo en raison de la façon dont celui-ci défend l'ex vice-Premier ministre Damir Polančec face aux accusations du Bureau pour la prévention de la corruption et du crime organisé (USKOK) - des accusations selon lesquelles ce dernier serait mêlé aux malversations avec les ventes de courant entre l'HEP, TLM de Šibenik et Aluminij de Mostar - est également impliqué dans cette affaire. Andreis, en effet, a participé à la privatisation de TLM de Šibenik, quoiqu'il affirme ne pas être pour autant en conflit d'intérêt et que l'engagement de la procédure disciplinaire à l'encontre de l'avocat Ante Nobilo n'a aucun lien avec cela. 

Travail accompli

- J'ai été engagé par le consortium Adrial qui envisageait d'acheter TLM et j'ai effectué la partie juridique de l'audit préalable d'acquisition tandis que la partie économique a été effectuée par Price Waterhouse Coopers. Pour qui souhaite acheter une entreprise il est normal qu'il souhaite voir la véritable situation juridique et économique dans l'entreprise pour laquelle il est prêt à payer - a déclaré Andreis, qui affirme qu'il a reçu ses honoraires pour ce travail auprès d'Adrial et que l'engagement d'une procédure disciplinaire contre Nobilo n'a aucun lien avec le travail qu'il a réalisé concernant la privatisation de TLM. Andreis affirme par ailleurs que le Gouvernement n'a aucun lien avec l'engagement de son bureau d'avocat dans l'audit préalable d'acquisition de TLM et qu'il ne peut donc être question que la procédure contre Nobilo ait été lancée à l'instigation de Vladimir Šeks et de la Premier ministre J. Kosor, comme on pourrait le penser. [...] 



Leo Andreis za Adrial pripremao kupnju šibenskog TLM-a
 


Predsjednik Hrvatske odvjetničke komore Leo Andreis, koji je prošlog tjedna protiv odvjetnika Ante Nobila pokrenuo stegovni postupak zbog načina na koji bivšeg potpredsjednika Vlade, Damira Polančeca brani od USKOK-ove optužbe da je uključen u malverzacije strujom na relaciji HEP – TLM iz Šibenika – Aluminij iz Mostara, također je umiješan u slučaj. Andreis je, naime, sudjelovao u privatizaciji šibenskog TLM-a, no tvrdi da zbog toga nije u sukobu interesa te da pokretanje stegovnog postupka protiv odvjetnika Ante Nobila s time nema nikakve veze.

Gotov posao

– Angažirao me konzorcij Adrial koji je namjeravao kupiti TLM i radio sam pravni dio dubinskoga pregleda poslovanja, a ekonomski je dio radio Price Waterhouse Coopers. Za onoga tko želi kupiti neko poduzeće normalno je da želi vidjeti kakva je pravna i ekonomska situacija u tvrtki za koju se sprema dati novac – rekao je Andreis koji tvrdi da je za taj posao honorar primio od Adriala i da pokretanje postupka protiv Nobila nema baš nikakve veze s poslom koji je obavio u vezi s privatizacijom TLM-a. Andreis tvrdi i kako Vlada nema veze s angažmanom njegova odvjetničkog ureda u dubinskom pregledu poslovanja TLM-a pa stoga ne može ni biti govora da je postupak protiv Nobila pokrenut na poticaj Šeksa i premijerke Kosor, kako se stekao dojam. [...]

Source : vecernji.hr, le 17 mai 2010.

 

Note sur la GérontoCroatie : comme on le voit, le gérontocroate n'est pas nécessairement un politicien. Au contraire il possède de nombreuses attaches, toutes liées au système capitaliste occidental et dégénérescent.  

 


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