Démissions de secrétaires d'Etat en raison de gaspillage
Deux secrétaires d'Etat français, Christian Blanc et Alain Joyandet, ont remis leur démission suite aux scandales nés après que les médias eurent révélé leurs gaspillages. Est-il besoin de souligner que ce genre de scénario semble hautement improbable en Croatie ?
Tout cela pourrait mettre dans une fâcheuse posture l'impopulaire gouvernement de Sarkozy qui promeut la rigueur et les économies.
Confronté à une forte chute de sa cote de confiance et à un vaste mécontentement envers son plan de réforme des retraites, Sarkozy a laissé entendre la semaine dernière que le gouvernement pourrait faire l'objet d'un remaniement en octobre.
Dans une atmosphère générale marquée par les "économies", c'est-à-dire par les coupes budgétaires qui nous attendent, nos propres gaspilleurs locaux (ce qui inclut également l'opposition) ne songent même pas à donner leur démission à cause de leurs actions et de nous valoir une des administrations de l'Etat parmi les plus chères au monde. Quant à leurs critères pour placer des cadres qui ont endommagé les entreprises publiques, inutile d'en parler.
Qui peut quoi contre eux ?
Ostavke državnih tajnika zbog rasipnosti
Dva francuska državna tajnika, Christian Blanc i Alain Joyandet, dala su ostavku zbog skandala nastalih nakon što su mediji otkrili njihovu rasipnost. Treba li posebno naglašavati kako je ovo scenarij koji u Hrvatskoj zvuči krajnje nadrealno?
5 juli 2010 To bi moglo dovesti u neugodan položaj nepopularnu Sarkozyjevu vladu koja promiče umjerenost i štednju.
Sarkozy je, suočen s drastičnim padom potpore birača i raširenim nezadovoljstvom njegovim planom mirovinskih reformi, prošloga tjedna dao naslutiti da bi se u listopadu vlada mogla preustojiti.
U općoj atmosferi "štednje", odnosno, rezova koji nas čekaju, domaći rasipnici u vlasti (to uključuje i opoziciju) niti ne pomišljaju na ostavke zbog svojih poteza i jedne od skupljih državnih administracija u svijetu, a o postavljanju kadrova koji su oštetili državne tvrtke da i ne govorimo. Tko im što može.
Source : zamirzine.net, le 5 juillet 2010.