The Washington Times : La révolte arabe s'étend à l'Europe
http://www.washingtontimes.com/news/2011/mar/10/arab-revolts-spread-to-europe/
Disons tout de même que l'auteur de cet article, Jeffrey T. Kuhner, est un eurosceptique convaincu. D'un autre côté si les eurosceptiques, qu'ils soient européens ou étrangers à notre continent, peuvent s'en donner à coeur joie en prenant le cas de la Croatie c'est bien parce que le processus d'adhésion de ce pays des Balkans est certainement le plus bâclé de toute l'histoire de l'Union européenne. Pire encore que celui de la Bulgarie et de la Roumanie.
Et c'est ici que se pose une fois de plus la question des responsabilités.
Pour le HDZ et l'Ordore Kosur il n'y a pas de doute que leurs jours sont comptés, par contre ceux à Washington et à Bruxelles qui ont fait de ces clowns leur partenaire privilégié ne risquent rien. Et pourtant leur appui a toujours été patent.
Qu'on se rappelle par exemple de l'individu Foley, le plus innommable de tous les innommables, la Rolls-Royce des innommables. Dès le début il avait apporté son appui à l'Ordore Kosur en disant qu'elle menait très bien la lutte contre la corruption. Or l'Ordore Kosur est Premier ministre depuis presque deux ans déjà et aucun jugement définitif n'a été rendu concernant de hauts responsables corrompus en Croatie. On voit donc à quel point l'individu Foley s'était moqué de son monde en proposant l'Ordore Kosur comme la panacée de quoi que ce soit.
Mais après tout qu'est-ce qu'on aurait pu attendre de l'individu Foley ? Un ambassadeur américain qui surpasse si banalement la banalité du mal dont font preuve ses collègues compatriotes. Que pouvait-on attendre de quelqu'un que sa propre mère aurait dû plastiquer dès sa naissance si elle n'avait pas jugé qu'il ne valait même pas le prix du plastique pour se débarrasser de lui ?
Maintenant cette lourde tâche d'en finir avec l'option américaine incarnée par le vil individu Foley revient exclusivement aux révolutionnaires croates.
Je leur souhaite bonne chance pour aller débusquer l'individu Foley dans sa tanière américaine à Zagreb, prétentieusement appelée ambassade, et le remercier de s'être constamment mêlé de leurs affaires.